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La Darpa couvre un programme militaire sous un prétexte humanitaire

vendredi 16 juin 2023

La DARPA a accordé à Moderna Therapeutics une subvention de 25 millions de dollars en octobre 2013, pour développer des thérapies à base d’ARN messager.
La plateforme d’ARN messager thérapeutique devait être un moyen rapide et fiable pour fabriquer des médicaments produisant des anticorps pour se protéger contre un grand nombre de maladies infectieuses émergentes connues et inconnues et contre les menaces biologiques conçues par l’ingénierie.
C’est ainsi que Moderna est né, devenant une activité civile pour cacher un projet militaire.
Ce processus est une habitude de la CIA pour utiliser l’argent fédéral sans rendre de compte au Congrès et aux américains.

Stéphane Bancel est le porte dossier de Robert Langer, qui est lié à l’armée et au MIT et à Jeffrey Epstein.

Cette subvention 25 millions de dollars de 2013, fait partie d’un programme de la DARPA appelé ADEPT : PROTECT (Autonomous Diagnostics to Enable Prevention and Therapeutics : Prophylactic Options to Environmental and Contagious Threats). L’objectif est de mettre au point des plates-formes technologiques pouvant être déployées rapidement et en toute sécurité afin d’offrir à la population américaine une protection quasi immédiate contre les maladies infectieuses émergentes et les armes biologiques artificielle.

Al Qaida, Daesh, Isis, Al Nostra, sont des groupes terroristes crées de toute pièce par la CIA pour fabriquer des guerres et alimenter le lobby militaro-industriel, et intervenir sur toute la planète pour faire régner l’ordre hégémonique du dollar.

Avec le Covid 19, le Pentagone est passé sur une nouvelle version de la guerre en activant le programme de guerre biologique, et la phase de vaccination était une expérimentation pour tester les futures armes biologiques de la Darpa.

Le nouveau programme de la Darpa s’appelle Nucleic acids On-demand Worldwide.

Le programme Nucleic acids On-demand Worldwide (NOW) vise à développer une plateforme mobile de fabrication de contre-mesures médicales (MCM) destinée à être utilisée dans le cadre d’opérations de stabilisation et humanitaires afin de produire, formuler et conditionner rapidement des centaines de doses de thérapies à base d’acides nucléiques (ADN et/ou ARN). Ces MCM à la demande peuvent également mieux préparer nos forces déployées sur le terrain contre les attaques de bioterrorisme et les maladies infectieuses émergentes. La mise en place d’une telle plateforme de fabrication d’acides nucléiques permettra de déployer des MCM purs et précis en quelques jours, plutôt qu’en plusieurs mois ou années. En outre, la nature mobile de la plateforme NOW permettra de répondre immédiatement aux menaces partout où l’armée opère, d’atténuer la surprise causée par les menaces de maladies et de garantir une filière de fabrication de MCM à base d’acides nucléiques résiliente et facilement accessible.

Maintenant nous comprenons mieux comment Bill Gates peut prévoir de nouvelles épidémies, il n’est qu’un rouage de la Darpa et du DOD, et l’affaire Jeffrey Epstein, a du peser dans sa contribution, puisque le pédophile milliardaire le faisait chanter lui aussi.

Au final nous comprenons que L’OMS, qui représente la structure sanitaire mondiale est le dernier rouage de la planification de la guerre biologique.

A la demande de la Darpa, DNA Script s’associe à Moderna pour prévenir les futures pandémies

Dans le cadre d’un programme de la Darpa, DNA Script et Moderna s’associent pour développer un laboratoire mobile destiné à la fabrication rapide de vaccins et de produits thérapeutiques à base d’ARN messager. La pépite française, à l’origine d’une technologie de synthèse enzymatique, va recevoir 5 millions de dollars.

La biotech française DNA Script a annoncé le 27 avril la signature d’un partenariat avec Moderna, laboratoire à l’origine d’un vaccin contre le Covid-19. A travers ce rapprochement, les deux sociétés souhaitent concevoir un prototype d’unité mobile de fabrication rapide de vaccins et de produits thérapeutiques. Dans le cadre de ce partenariat, DNA Script va recevoir une enveloppe de 5 millions de dollars.

Créer des vaccins dans un temps record

L’objectif est de prévenir et d’organiser la réaction face aux futures pandémies virales grâce à la fabrication d’un laboratoire mobile, installé dans un conteneur de 1,8 m x 1,8 m x 1,8 m. Il doit permettre de fabriquer très rapidement des traitements préventifs sur les terrains d’opérations, même dans les régions les plus reculées.

Ce partenariat s’inscrit dans le cadre du programme Nucleic Acids On-Demand World-Wide (Now) de la Defense Advanced Research Projects Agency (Darpa), la célèbre agence du département de la Défense des Etats-Unis chargée des projets de recherche avec des technologies de pointe. GE Research, la division de R&D de General Electric, participe également à ce projet.

Une technologie de synthèse enzymatique

DNA Script, implanté en Ile-de-France et en Californie, est à l’origine d’une technologie de synthèse enzymatique qui a été intégrée dans une sorte d’imprimante moléculaire, baptisée « Synthax ». Elle est capable d’élaborer une séquence ADN personnalisée grâce à des cartouches contenant des enzymes naturelles en seulement quelques heures, soit plus rapidement que les méthodes classiques.

Cette technologie va être intégrée dans le processus existant de fabrication rapide de vaccins et produits thérapeutiques à base d’ARN messager développé par la pépite américaine Moderna, dirigée par le Français Stéphane Bancel.

DNA Script a également été mandaté en janvier 2021 par l’Agence de l’innovation de défense du ministère des Armées pour développer « un prototype de laboratoire » pour la détection et le diagnostic rapides d’agents pathogènes, en lien avec la pandémie de Covid-19.

Usine Digitale

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Pourquoi la biotech DNA Script a levé 200 millions de dollars

Par Claire Bouleau

Thomas Ybert, polytechnicien, a créé en 2014, avec
Sylvain Gariel et Xavier Godron, une technologie d’imprimante à ADN. Ils ont levé 200 millions de dollars en début d’année. Il est l’invité du Club entrepreneurs Challenges - Grant Thornton.

Challenges - DNA Script est présentée comme l’une des plus belles biotechs françaises. En quoi avez-vous révolutionné la science ?

Thomas Ybert - Nous sommes la première société à avoir développé avec succès une technologie de synthèse enzymatique de l’ADN et à l’avoir transformée en un produit commercial, aujourd’hui dans les mains de plusieurs clients et partenaires : Moderna, la Direction générale de l’armement… Jusqu’ici, la synthèse de l’ADN s’effectuait selon des approches de chimie organique très compliquées à gérer. De nombreux acteurs s’étaient intéressés à la possibilité d’une synthèse enzymatique, mais nous, nous l’avons fait : ce n’est pas resté dans un article de recherche.

Vous avez créé une imprimante à ADN. A quoi sert-elle ?

Elle sert à produire de l’ADN, le vecteur pour programmer ou reprogrammer des systèmes biologiques, comme on programme un ordinateur grâce à des lignes de code.

Qui sont vos clients ?

Ce sont des équipes de recherche. Notre système Syntax leur permet d’avoir accès à de l’ADN directement dans leur labo, quand elles le veulent, en seulement quelques heures. Elles ne passent plus plusieurs jours, semaines, voire mois à en récupérer. Plus d’une dizaine d’équipes ont participé à nos programmes d’évaluation. La commercialisation a démarré à l’été 2021. Notre imprimante coûte plusieurs centaines de milliers d’euros.

En huit ans, quels ont été les moments charnières ?

Après avoir levé de l’argent auprès des proches, la première décision clé a été d’aller voir des fonds spécialisés et internationaux. Nous voulions lever beaucoup pour tenir une forte croissance. La deuxième a été de s’implanter aux Etats-Unis dès 2019. Mais toute la R&D est en France. Nous réalisons 3.000 synthèses par semaine dans nos locaux à Paris. Nous avons environ 200 salariés dans les deux pays.

Qu’a changé la pandémie ?

Elle a accéléré la visibilité de notre segment, celui des outils de biotechnologie. Elle a mis la technique PCR sur le devant de la scène et permis de valider que la synthèse de l’ADN avait une réalité thérapeutique. Cela a montré que pouvoir accéder à de l’ADN de synthèse de façon simple, totalement contrôlée et rapide, est crucial. C’est pour cela que nous avons réussi à attirer de très gros investisseurs, comme Fidelity.

Vous avez en effet levé 200 millions de dollars en début d’année…

Le premier objectif est de continuer à commercialiser Syntax et de le faire évoluer. Nous allons sortir de nouveaux kits de réactifs (les cartouches de l’imprimante) qui permettront d’obtenir davantage de performances et de capacités. Les premiers kits servent à fabriquer de l’ADN standard, les prochains permettront de faire de l’ADN avec des modifications. Le deuxième objectif est d’élargir notre gamme de produits.

Votre rêve de croissance ?

Devenir l’Illumina de la synthèse d’ADN. C’est l’entreprise qui, vingt ans avant nous, a complètement révolutionné la lecture de l’ADN. Nous, nous sommes spécialisés dans l’écriture de l’ADN.

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