- L’immunité des politiques.
Le chef de l’État peut être destitué par le parlement réunit en Haute cour – sorte de tribunal habilité à le priver de son mandat politique – « en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat »
Les membres du gouvernement sont justiciables des tribunaux ordinaires pour les faits détachables de leurs fonctions ministérielles. Ils sont jugés que par une Cour de justice de la République (CJR) elle-même essentiellement constituée de députés ou de sénateurs, même après la fin de leurs fonctions (art. 68-1 et 68-2 C.).
Un député peut être mis en examen dans les mêmes conditions que n’importe quel citoyen pour tous les actes qui ne sont pas directement liés à l’exercice de son mandat. Le principe est celui de la liberté des poursuites contre un parlementaire.
Mais comme toutes les corruptions sont en rapport avec leur mandat, ils ne risquent rien, absolument rien.
Tous les élus, à l’exception d’une poignée, se taisent pour recevoir la course du « laitier » qui arrose de billets ceux qui ont participé, ceux qui dénoncent et qui se couchent, et ceux qui on refusé de participer et qui veulent la récompense de leur silence.
Avons nous vu un politique condamné pour le scandale du sang contaminé ? NON
Avons nous vu un dirigeant ou un politique condamné dans la vente d’Alstom ? NON
Voilà où nous en sommes avec le dicton des instances judiciaires « Responsable mais pas coupable ».
Darmanin a été blanchi d’une plainte pour « viol », il avait reconnu par la voix d’un de ses avocats avoir eu une relation sexuelle avec son accusatrice, mais librement consentie.
« Le défaut de consentement ne suffit pas à caractériser le viol. Encore faut-il que le mis en cause ait eu conscience d’imposer un acte sexuel par violence, menace, contrainte ou surprise », affirme le juge.
Il est temps de réfléchir à une réforme de la protection constitutionnelle. Les politiques peuvent mettre leur écharpe tricolore et jurer devant Mariane qu’ils sont blanc comme la neige, leur priorité c’est la sauvegarde de leur privilèges.
- Le cheval de Troie au ministère de l’économie.
Comme l’économie c’est le nerf de la guerre revenons dans l’histoire pour scruter plusieurs agents américains qui ont occupés le poste de ministre de l’économie et des finances.
Ukraine : une Américaine ministre des Finances en 2014
L’Ukraine s’est dotée mardi d’un nouveau gouvernement pro-occidental et international... Y sont nommés, une Américaine, un Géorgien et un Lituanien (naturalisés ukrainiens dans la matinée) à des postes clé, censés aider le pays à sortir d’une grave crise économique et faire face au sanglant conflit armé dans l’Est. Ces nominations surviennent alors que, sur le terrain, des trêves ont été annoncées dans les combats entre les séparatistes pro-russes et l’armée ukrainienne dans la zone de l’aéroport de Donetsk et dans la région de Lougansk, les points les plus chauds.
« Nous devons intégrer dans notre gouvernement les meilleures compétences internationales », a déclaré le président Petro Porochenko. Natalie Jaresko, une Américaine d’origine ukrainienne ayant travaillé pour le Département d’Etat américain et pour un fonds d’investissement ukrainien financé par le Congrès américain, se retrouve ainsi ministre des Finances. (Le Parisien)
L’ambassadrice américaine d’Ukraine Oksana Markarova a commencé son travail comme fonctionnaire en 2015, lorsqu’elle a été nommée sous-ministre des Finances sous Natalie Jaresko. C’est la même filière de Biden pour détourner l’argent de l’aide internationale.
Oksana Markarova a été ministre des finances de l’Ukraine en 2018 et a fait partie du ministère des finances depuis mars 2015 sous les ordres de Natalie Jaresko.
Concernant la France deux ministres de l’économie ont contribué à l’ingérence américaine dans l’Etat Français :
Nicolas Sarkozy, dit Sarko l’Américain et Thierry Breton ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie de Jacques Chirac de 2005 à 2007. Thierry Breton a effectué son service militaire en 1979 comme professeur de maths au lycée français de New York. Après son poste de ministre de l’Economie, pour attendre la fin de la période de conflits d’intérêts, il enseigne pendant deux ans la « gouvernance d’entreprise » à Harvard.
En 2019, il est nommé commissaire européen, chargé du marché intérieur, de la politique industrielle, du tourisme, du numérique, de l’audiovisuel, de la défense et de l’espace.
Pour finir la liste des agents américains, Emmanuel Macron à été nommé au poste stratégique du ministère de l’économie, c’est une « créature » de McKinsey depuis 2014.
McKinsey a participé à la rédaction du projet de « loi Macron 2 » et à la création du mouvement En Marche.
Soutenir la numérisation des secteurs traditionnels de l’économie, comme l’artisanat et le commerce, faire émerger une économie de l’innovation en finançant les investissements des start-up qui leur permettront d’acquérir une taille internationale, faciliter l’entrepreneuriat, adapter les niveaux de qualification : telles étaient quelques-unes des priorités du projet de loi Nouvelles Opportunités économiques, dite « loi Macron 2 » (après celle votée le 6 août 2015 sur la croissance et l’activité) présentée par Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie, le 10 novembre 2015. Les propositions de la loi seront finalement portées dans d’autres textes de loi et la « loi Macron 2 » enterrée par l’opposition de Manuel Valls.
La technique de McKinsey qui est le « New Public Management » (NPM) a constitué un virage radical pour la gestion publique de l’État dans de nombreux pays en visant à rapprocher le fonctionnement de l’État de celui d’une entreprise. Ses pratiques et ses méthodes sont inspirées de celles du secteur privé pour les appliquer au secteur public. Ainsi, les termes « compétitif », « résultat », « efficacité » et « amélioration » intègrent largement la fonction publique et la recherche de performance dans la politique publique devient le fil conducteur des administrations. Le recours au conseil extérieur privé est l’un des changements majeurs de ce nouveau mode de management public. (apri-influences.fr)
Pour valider la loi Macron 2, McKinsey a crée le parti En Marche et facilité l’élection d’Emmanuel Macron pour prendre place dans notre gouvernement.
- Macron agent américain.
Quel fil peut bien relier les ministres ou anciens ministres Emmanuel Macron, Fleur Pellerin et Najat Vallaud-Belkacem, la présidente du conseil régional d’Île-de-France Valérie Pécresse, les journalistes Jean-Marie Colombani et Christine Ockrent, l’homme d’affaires Alain Minc, le banquier Matthieu Pigasse (l’un des propriétaires du Monde SA) ou encore l’ancien premier ministre Alain Juppé ? Tous ont effectué un passage par la French-American Foundation dans le cadre de son programme « Young Leaders ». Tout comme cinq cents autres personnalités françaises, parmi lesquelles le président François Hollande lui-même.
Aurélie piau. — « Le Sacré Pouvoir d’H A », 2011
La liste des anciens « Young Leaders » a de quoi faire pâlir d’envie les écoles les plus prestigieuses. On y trouve deux présidents français (François Hollande et Emmanuel Macron) et un américain (Bill Clinton), deux Premiers ministres (Alain Juppé et Edouard Philippe) et de nombreux ministres, un maire de Los Angeles (Eric Garcetti), des dizaines de chefs d’entreprises et de journalistes renommés… et même un astronaute (Thomas Pesquet). Beau palmarès pour un programme lancé alors que la France et les Etats-Unis semblaient plus éloignés que jamais, en 1981, année de l’arrivée au pouvoir de Ronald Reagan et François Mitterrand. (France Amérique)
Macron Alstom :
« Ce n’était pas l’État qui était à la tête d’Alstom » « J’étais collaborateur (de François Hollande) à l’époque », a rappelé le président, « et ce n’était pas l’État qui était à la tête d’Alstom ». « Compte tenu de son histoire, sa structure capitalistique, son emprise, l’État avait à en connaître, y compris aussi parce qu’il peut bloquer certains types d’investissements (jugés comme stratégiques). Mais d’abord, c’était le choix d’une entreprise privée ». « À la fin des fins, malgré tout cela, avec une certaine amertume, l’opération s’est faite ». « Quand je suis venu quand j’étais ministre », en 2015, « ce n’était pas une période facile ». « C’était ça ou l’arrêt. J’ai défendu que c’était mieux que la suppression complète des activités ou le choix de désinvestir. C’est la vie industrielle ». « Cette aventure n’aurait pas été possible s’il n’y avait pas eu à ce moment-là ce qui était quasiment un sauvetage ».
Pour espérer avoir un avenir politique en France il faut passer un pacte avec les Etats Unis, ou bien une autre entité étrangère. Macron l’a bien compris en collaborant avec la CIA pour la vente d’Alstom.
- Punir la France.
Les Etats-Unis ont sanctionné la France pour son hostilité envers la guerre en Irak. C’’est confirmé par le secrétaire d’Etat américain Colin Powell, selon qui la France aura à subir les conséquences de son attitude.
Le contentieux Usa France date du discours de Dominique de Villepin au conseil de sécurité des Nations Unies, actant que la France juge les preuves d’armes de destruction massive pas assez précises et ne participera pas à la guerre en Irak.
- « Il faut ignorer l’Allemagne, pardonner à la Russie et punir la France. »
Condoleezza Rice conseillère du président Bush pour la sécurité nationale
- Les Américains doivent savoir que la France « n’est pas seulement une alliée irritante ou une rivale jalouse. Elle est devenue l’ennemie des Etats-Unis »
Thomas L. Friedman éditorialiste du New York Times 2003
« Nous avons servi trop longtemps de punching-ball à cette nation de troisième rang. Nous ne devons plus les considérer comme des alliés et le leur faire comprendre là où ça fait mal, au porte-monnaie. » Pete King, représentant républicain de New York
- « Nous voulons faire passer un message au gouvernement français pour lui montrer que sa politique internationale a des conséquences économiques » Jack Kingston
Les conséquences économiques se sont vues très rapidement puisque la France ne construit pas les catapultes à vapeur du Charles-de-Gaulle ce type d’équipement, indispensable à la mise en œuvre du groupe aérien est acheté aux Etats-Unis. En représailles de la non participation à la guerre en irak, le porte avion Charles De Gaulle n’a pas eu de livraison de catapultes, le rendant ainsi inutilisable pour une quelconque manœuvre militaire.
la grande muette s’est retrouvée de facto sous la tutelle américaine, dans un processus de guerre économique dont Macron sera le parachèvement via la CIA.
L’armée française doit composer avec le bon vouloir des américains pour le renouvellement d’équipement militaire ainsi que pour la maintenance.
Les Américains nous font payer l’affront du conseil de sécurité des Nations Unies. « Ils ont interrompu toute coopération militaire » Général Henri Bentégeat chef d’état-major des armées à cette période de 2003.
« C’est en partie pour cette raison que j’ai poussé le président Chirac à envoyer nos forces spéciales en Afghanistan. Les Américains nous le réclamaient depuis le début. Et nos soldats étaient demandeurs. »
Le porte avion Charles De Gaulle a pu reprendre son activité seulement en 2005, deux ans de corruption et de mise sous tutelle de l’armée française, vasal des américains.
Les américains ont une arme redoutable : « le système Itar [International Traffic in Arms Regulations]. Ça leur permet, lorsque dans un système d’armement il y a du matériel américain, d’en interdire la vente. On l’a ainsi expérimenté avec la vente de Rafale aux Égyptiens »
Alain Juillet, ex-directeur de la DGSE
Le chantage économique s’exerce jusque dans notre souveraineté nucléaire et de nos centrales. L’écologie n’y est pour rien. Le changement climatique c’est du pipeau, l’objectif c’est de détruire toutes les forces d’opposition au système américain.
N’oublions pas que l’équipe de Président Biden est composée essentiellement de néo-conservateurs auteur du Project for the New American Century (Projet pour un nouveau siècle américain). Davos et consort ne sont que de l’habillage et la politique militaire américaine contraint une majorité de puissances Européennes.
Jusque où vont aller les sanctions envers la France ?. Macron a décidé le démantèlement de l’énergie française et la destruction d’EDF avec le projet Hercules piloté par le cabinet McKinsey.
EDF le nouvel Enron français piloté par le cabinet McKinsey
McKinsey était le cabinet stratégique qui conseillait la société américaine Enron. Kenneth Lay a innové en lançant une nouvelle politique de trading d’électricité et des matières premières. Cette affaire Enron est particulièrement significative des effets d’une dérèglementation sans contrôle et des excès que peut engendrer le marché. Le secteur de l’énergie en France est en danger, puisque Macron veut réformer le secteur de l’électricité en France.
La réforme du nucléaire français et la réorganisation du groupe EDF ont progressé et pourraient se conclure bientôt.
Auditionnée à l’Assemblée nationale, Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique a indiqué qu’à ce stade, « l’Etat n’a pas la certitude de parvenir à un accord avec Bruxelles » sur le projet de réforme d’EDF. Elle estime que le statu quo n’est pas tenable.
Ce dossier a été mené par Nicolas Hulot pour pousser EDF à revoir son modèle
L’ancien ministre de la Transition écologique avait demandé un « plan précis » à EDF pour une orientation plus massive vers les énergies renouvelables.
Le pire est à redouter car même Jean-Bernard Lévy PDG d’EDF pousse à cette réforme :
« Sans Hercule, EDF risque de devenir un acteur de second rang »
EDF est Lourdement endetté et n’a pas les moyens de se restructurer pour la nouvelle transition énergétique. EDF n’a plus les moyens pour assurer la maintenance et le renouvellement du parc nucléaire français.
Nicolas Hulot sur les conseils de McKinsey voulait « voir les choses en grand » avec un investissement de 100 millions d’euros sur l’hydrogène. Barbara Pompili sa remplaçante, l’a fait. La ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili et le ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, Bruno Le Maire, ont présenté, le 9 septembre 2020, la stratégie nationale pour le développement de l’hydrogène décarboné en France devant l’association française pour l’hydrogène et les piles à combustible (AFHYPAC) et l’ensemble des acteurs et partenaires de la filière.
Mais la pilule est encore plus grosse quand on apprend que EDF a embauché un ex de chez McKinsey comme chef économiste.
Thomas-Olivier Léautier (Polytechnique 1988, Ponts et chaussées 1995), ancien consultant chez McKinsey, est en passe d’être nommé chef économiste chez EDF. Thomas-Olivier Léautier est par ailleurs directeur de recherche à la Toulouse School of Economics (TSE). Il a auparavant travaillé comme consultant dans le secteur de l’énergie chez McKinsey de 1997 à 2003.
Passons sur la vente avortée des sous marins à l’Australie et des rafales à l’Indonésie.
Comme le dit Trump, « tout ce que touche macron se transforme en merde ».
- Macron et « l’Etat profond » français.
La France a toujours respecté les alliances conclues avec ses partenaires étrangers sans s’aligner sur les Etats Unis. Les tendances ont changé avec Sarkozy et Hollande qui ont du coopérer avec les néoconservateurs américains. Le Quay d’Orsay a été identifié comme un « Etat profond » qui symbolisait l’indépendance de la France.
Avec l’arrivée de Macron cette indépendance a volé en éclat pour avoir une soumission totale sur les stratégies américaines avec l’introduction de la CIA au sommet de l’Etat avec le cabinet de consulting McKinsey.
« Alors je sais, comme diraient certains théoriciens étrangers, nous avons, nous aussi, un État profond, explique soudainement M. Macron. Et donc, parfois, le président de la République dit des choses, et puis la tendance collective pourrait être de dire : “Il a dit ça, mais enfin nous on connaît la vérité, on va continuer comme on a toujours fait.” » « il ne faut pas suivre cette voie »
« Cette déclaration a été très mal prise au Quai » selon un diplomate français.
« J’ai été un peu étonné par la référence à l’État profond. Le Quai est l’administration la plus loyale qui soit et la plus profondément régalienne. Il existe un continuum entre les ambassadeurs et le président de la République. La politique étrangère, c’est la parole de l’État, celle du président de la République. » Pierre Sellal ancien secrétaire général du Quai d’Orsay.
« Une grande partie du Quai, a la nostalgie d’une grande politique vis-à-vis de la Russie, politique qui s’est réduite aux sanctions. S’il y a eu des éléments de résistance, ils étaient ailleurs, parmi les ONG, les médias. ».
Macron l’a compris, il doit exécuter la dernière poche de résistance de la France en supprimant le corps diplomatique français.
Un décret, publié dimanche 17 avril 2022, annonce la suppression du corps diplomatique dès 2023. cette réforme de la haute fonction publique n’augure rien de bon sinon que Macron prépare la guerre.
Macron va supprimer les conseillers des affaires étrangères et les ministres plénipotentiaires. les 800 hauts fonctionnaires du ministère des Affaires étrangères ont jusqu’au 1er janvier 2023 pour choisir de rejoindre le pot commun d’« administrateurs d’État ».
Ceux qui refusent se seront pas renouvelés à l’échéance de 2023.
« Après l’ENA, vous alliez dans un corps dont vous ne sortiez pas. Aujourd’hui, nos diplomates désirent varier les expériences. Au quai d’Orsay, vous pouvez avoir envie d’aller au ministère de l’Agriculture, puis revenir » Amélie de Montchalin Ministre de la transformation publique qui a été restructuré par McKinsey.
« Le Journal Officiel publie la suppression du Corps Diplomatique. La France sera donc le seul grand pays occidental sans diplomates professionnels. Une histoire de plusieurs siècles s’achève ainsi. La porte est désormais ouverte aux nominations à l’américaine »
Gérard Araud, ancien ambassadeur à l’Onu et aux États-Unis
« Avec ce texte, un sous-préfet de Lozère pourrait devenir ambassadeur au Caire. Ce n’est pas le même métier. J’ai été ambassadeur en Algérie, et malgré la proximité géographique de ce pays avec la France, j’ai eu besoin d’un an ou deux pour comprendre son fonctionnement, sa complexité, ses codes, les pièges à éviter » Xavier Driencourt ancien ambassadeur.
- La destruction des dernières poches de résistance.
Coup de poing dans le milieu du renseignement français, le général Eric Vidaud, patron de la Direction du renseignement militaire a été limogé. il s’est vu signifier son remerciement par le général Thierry Burkhard, chef d’état-major des armées et validé par Macron.
La raison est que la DRM n’a pas vu arriver le conflit ukrainien contrairement aux services anglais et surtout américain. la DRM avait analysé que l’opération militaire était trop lourde en pertes matérielles et humaines, pour qu’une invasion soit rationnelle.
Pour avoir l’information que Poutine allait attaquer, il aurait mieux valu confier cette tache à la DGSE, spécialiste de l’infiltration, pour espionner le cercle restreint du président russe.
La guerre entre la DGSE et la DRM existe sur fond d’ingérence américaine par la CIA qui via la société Palantir contrôle les services de renseignements français.
Le mai 23 mai 2018, une cinquantaine de patrons de géants du numérique sont invités par le chef de l’État, Emmanuel Macron, lors d’une réunion baptisée Tech for Good. Parmi eux, figure Alexander Karp, le PDG de Palantir. La société américaine, Palantir, a un œil sur les données des services secrets français depuis un contrat passé en 2016. Depuis 2016 Palantir (CIA), travaille pour le renseignement intérieur français, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).
Mais comment exclure que la DGSE ne travaille pas non plus pour la CIA et la NSA ?
Palantir travaille pour plusieurs agences de renseignement, comme la NSA, mais aussi le FBI, et le secrétariat d’État de la Défense et de la Justice. Tout se tient.
« Un risque majeur pour le renseignement »
« Peut-on avoir complètement confiance dans le fait que les informations qui vont être traitées par Palantir ne vont pas fuiter vers les États-Unis ?, s’interroge Serge Abiteboul, membre du collège de l’Autorité de régulation des communications électroniques (Arcep). Le fait que cette société soit proche des services secrets américains pose question. »
« À partir du moment où Palantir ne donne pas le code source de son logiciel, qui est son secret de fabrication, il y a toujours le risque qu’une porte dérobée soit mise en œuvre et qu’elle recrache des données essentielles, sans contrôle, estime en revanche le représentant français des questions numériques auprès de la Commission européenne, Gilles Babinet. C’est un risque majeur pour le renseignement. »
En vérité, Macron nous mène à la troisième guerre mondiale, il ne mesure pas les conséquences de son aveuglement en tant qu’agent d’influence, il semble possédé par la transcendance.
Geopolintel Avril 2022