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Fact Check de l’AFP : Le zona causé par le vaccin Covid 19 ressemble étrangement à la variole du singe

lundi 5 décembre 2022

AFP : La multiplication de cas de variole du singe en Europe n’a pas de rapport avec la vaccination anti-Covid
https://factuel.afp.com/doc.afp.com...

« Le zona causé par le vaccin Covid-19 ressemble étrangement à la variole du singe », titre de son côté un article de blog du site Geopolintel.

Fact checkons pour une fois l’AFP.
C’est article est repris pour nous impliquer dans un mensonge où l’AFP prétend que Geopolintel affirme que la variole du singe est un effet secondaire du vaccin.

FAUX

Non Geopolintel n’affirme pas que la variole du singe est un effet secondaire du vaccin, mais que la similitude du zona avec la variole du singe est utilisée pour faire croire que l’épidémie de variole explose.

Oui, Juliette Mansour, vous amalgamez un peu vite nos propos, vos commanditaires ont mal vérifié notre information. Nous citons deux sources concernant le Zona et la variole du singe qui sont Le Figaro et Reuters.
Amicalement FR

A force de chercher les traces du patient zéro de la variole du singe, il semble que les pouvoirs publics du monde entier veulent nous faire avaler une nouvelle épidémie pour masquer les effets secondaires du vaccin covid.
Le zona est un effet indésirable connu de la vaccination.
Le zona se manifeste sous forme d’éruption cutanée douloureuse qui, après quelques jours, sèche en formant des croûtes qui finissent par tomber.

En date du 6 avril 2021, Swissmedic avait évalué, en partenariat avec les centres régionaux de pharmacovigilance (dont le centre de référence tessinois de l’EOC) 1 174 déclarations d’effets indésirables (EI) présumés de vaccins contre le Covid-19 en Suisse.
Ont été déclarés 44 cas de zona, dont 26 ont été considérés comme graves, pour la plupart pour des raisons médicales. Le zona est une maladie qui est due à une réactivation du virus varicelle-zona (varicella-zoster virus, VZV).

Pour Comirnaty (Pfizer), les derniers rapports de pharmacovigilance répertorient 528 cas de zona parmi les événements indésirables graves, depuis le début de la campagne et jusqu’en novembre 2021. Parmi eux, 40 ont fait l’objet d’une hospitalisation et 1 a été suivi d’un décès. Pour la dose de rappel spécifiquement : 47 cas ont été rapportés au total (Focus mensuel n° 5, données jusqu’au 3 février).

La varicelle est une maladie infectieuse virale extrêmement contagieuse qui atteint le plus souvent les bébés ou jeunes enfants. Elle est responsable d’une éruption de vésicules sur la peau et les muqueuses. Elle guérit en une dizaine de jours, mais des réactivations sous forme de zona sont possibles à l’âge adulte.

Comme la varicelle ressemble comme deux gouttes d’eau au zona, il semble que cette nouvelle campagne de peur soit dirigée vers les enfants :
Bill Gates et la FDA veulent vacciner à tout prix les enfants et pour cela, nous faire croire que la varicelle ou le zona sont les signes de la variole du singe.

Le zona, un effet secondaire inattendu de la vaccination ?

Une étude suggère un lien entre la vaccination avec Pfizer ou Moderna et l’apparition de cas de zona.

Depuis le début de la vaccination en France fin décembre dernier, 112 cas de zona potentiellement liés à l’inoculation du sérum anti-Covid ont été documentés par l’ANSM (Agence nationale de sécurité des médicaments). Dans le détail, on recense 86 cas avec le vaccin Pfizer-BioNTech et 26 avec le Moderna. Avec ce dernier, les symptômes surviennent en moyenne 4 jours après la vaccination. Dans le même temps, en Suisse, 61 cas ont aussi été signalés. C’est essentiellement la technologie à ARN messager qui semble être en cause. Si la fréquence de ces zonas post-vaccination reste anecdotique, les cas sont suivis de près par les autorités de santé car ils n’avaient pas été prévus par les laboratoires.

Le zona est une maladie liée à la réactivation du virus de la varicelle, souvent observée chez des personnes aux défenses immunitaires faibles. L’affection entraîne des pustules qui restent très douloureuses pendant des jours ou des semaines. « Si aucune caractéristique particulière en termes d’âge et de sexe n’a été retrouvée lors de cette nouvelle analyse, la notification d’un nombre élevé de cas, [...], est en faveur d’un signal potentiel », indique l’autorité de santé dans sa dernière note.
Le Figaro

Le nombre de cas de variole du singe au Royaume-Uni a plus que doublé pour atteindre 20.

LONDRES (Reuters) - L’Agence britannique de sécurité sanitaire a déclaré vendredi avoir détecté 11 nouveaux cas de monkeypox en Angleterre, portant à 20 le nombre total de cas confirmés dans le pays.

La Grande-Bretagne avait précédemment signalé un total de neuf cas de cette maladie virale habituellement bénigne, caractérisée par des symptômes de fièvre ainsi que par une éruption cutanée bosselée distinctive.

« Nous nous attendons à ce que cette augmentation se poursuive dans les jours à venir et à ce que davantage de cas soient identifiés dans la communauté au sens large. Parallèlement, nous recevons des rapports faisant état de nouveaux cas identifiés dans d’autres pays du monde », a déclaré Susan Hopkins, conseillère médicale en chef de l’UKHSA, dans un communiqué.

« Nous continuons à enquêter rapidement sur la source de ces infections et à sensibiliser les professionnels de la santé. »

Le ministre britannique de la Santé, Sajid Javid, a déclaré qu’il avait informé les ministres de la Santé du G7 de ce que l’on savait jusqu’à présent de cette épidémie.

« La plupart des cas sont bénins, et je peux confirmer que nous avons obtenu des doses supplémentaires de vaccins efficaces contre la variole du singe », a déclaré Javid sur Twitter.

Il n’existe pas de vaccin spécifique contre la variole du singe, mais l’UKHSA a déclaré qu’un vaccin contre la variole offrait une certaine protection.

Identifiée pour la première fois chez les singes, cette maladie virale se propage généralement par contact étroit et se rencontre principalement en Afrique centrale et occidentale. Elle s’est rarement propagée ailleurs, aussi cette nouvelle vague de cas en dehors du continent a-t-elle suscité des inquiétudes.

L’UKHSA a déclaré qu’une proportion notable des cas récents en Grande-Bretagne et en Europe ont été découverts chez des hommes homosexuels et bisexuels.

(Reportage de Kylie MacLellan. Édition : Andrew MacAskill et Louise Heavens)

Reuters 2022

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