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L’enjeu de la promotion LGBTQ+

jeudi 1er août 2024

Quand on voit qu’on en arrive à faire la promotion d’une orientation sexuelle, érigée en fierté, on est en droit de se demander si cette surexposition est saine et constructive...car au lieu de promouvoir la mixité naturelle et complémentaire des genres, on met en avant les minorités sexuelles. C’est l’inversion des valeurs traditionnelles qui, elles, priorisent le collectif et le général plutôt que l’individuel et le marginal.

La sexualité fait partie de l’intimité, la rendre publique et la mettre en avant ne peut que causer des troubles et des divisions au sein de la société.

Et cette initiative pour charitable qu’elle apparaisse ne l’est pas. Elle est issue du National Security Study Memorandum NSSM 200 ou Rapport Kissinger sur l’évolution de la population.
https://pdf.usaid.gov/pdf_docs/Pcaa...

  • « Les politiques visant à réduire la fécondité n’auront leurs principaux effets sur les effectifs totaux qu’après plusieurs décennies. Cependant, si l’on veut maintenir les chiffres futurs dans des limites raisonnables, il est urgent que des mesures de réduction de la fécondité soient prises et rendues efficaces dans les années 70 et 80. »

La promotion LGBTQ+ est ainsi une politique visant à faire chuter la natalité : l’homosexualité et la transexualité deviennent un outil d’ingénierie sociale supplémentaire pour palier les limites de la contraception et de l’avortement.

Les projections de ce rapport, estiment que la population mondiale atteindra 12 milliards d’habitants en 2075.

Après avoir validé le rapport Kissinger, Richard Nixon a proclamé en 1971, qu’il était sensible au sort des homosexuels.

« Je suis la personne la plus tolérante à ce sujet parmi tous ceux qui se trouvent dans cette boutique », a-t-il déclaré.

En 1974, Henry Kissinger a recommandé l’homosexualité pour le contrôle de la population dans la communauté noire.

A son tour Gérald Ford a appelé ses collègues républicains à se joindre à lui pour soutenir l’égalité de traitement des homosexuels.
La Republican Unity Coalition a invité Ford à rejoindre son conseil d’administration. Il accepte, devenant ainsi le premier président américain à rejoindre le conseil d’administration d’une organisation de défense des droits des homosexuels.
Sur la question du mariage homosexuel, Ford répond : « Je ne vois pas pourquoi ils ne le feraient pas. Je pense que c’est un objectif approprié. Je pense qu’ils doivent être traités de manière égale. Point final. »

  • Le cabinet McKinsey a décidé de lancer une grande enquête, LGBT+ Voices, réalisée auprès de 2 000 salariés à travers le monde. « Afin de définir nos actions prioritaires, nous sommes partis des besoins des personnes LGBTQ+. Nous avons ainsi identifié quatre défis spécifiques : le coming out, la discrimination, les micro-agressions, l’isolement. En retranscrivant la voix de ces salariés, qui pour la plupart cachent leur orientation sexuelle, nous avons voulu donner aux dirigeants les moyens de mener des actions qui répondront aux besoins de tous les salariés », confirme Pierre-François Bacquet, directeur associé de McKinsey. (Consultor)

Trois consultants lauréats 2022 de la « cause LGBT »

Héloïse Dheilly d’Oliver Wyman, Florent Couasnon du BCG, Basile Anthonioz de Roland Berger : ils sont trois consultants en stratégie (sur 100 lauréats, 100 leaders emblèmes des LGBT+) à avoir été mis à l’honneur de l’édition 2022 de L’Autre Cercle des Rôles Modèles LGBT+ et Allié·es (comme sont nommées les personnes non LGBT+ qui les soutiennent).

Dans la catégorie Allié·es leaders, et parmi la vingtaine de lauréat(e)s, une seule représentante du secteur conseil, Héloïse Dheilly, engagement manager chez Oliver Wyman, référente au bureau parisien du prOWd, collectif de salariés du cabinet qui œuvre pour la diversité et l’inclusion des personnes LGBT+. « Je suis très fière d’avoir reçu ce prix. C’est une marque de reconnaissance et une très belle visibilité de ce que nous faisons chez Oliver Wyman en matière d’inclusion et de diversité. Cela montre aussi que la parole se libère et que les mentalités évoluent. J’ai toujours eu l’intime conviction que la responsabilité de la diversité et de l’inclusion ne pouvait pas reposer que sur les seules épaules de cette minorité que sont les LGBT. Le soutien net et visible de la majorité – et c’est la même chose pour la cause des femmes – est essentiel afin que la question de l’inclusion devienne un non-sujet dans le futur », partage à Consultor Héloïse Dheilly.

Cette ingénieure des Ponts ParisTech (2015), consultante chez Roland Berger entre 2015 et 2021 à Boston, New York et Paris, depuis un an chez Oliver Wyman Paris, s’est tout de suite impliquée dans le collectif prOWd. Et pour cause, elle a été personnellement sensibilisée à la diversité et à l’inclusion dès le collège, lorsque « le père d’un ami proche a fait son coming out et a vécu un véritable rejet ». La consultante d’Oliver Wyman a ensuite fait partie de l’association LGBT Allié.es de son école d’ingénieurs, avant de s’engager dans le groupe d’inclusion des collaborateurs LGBT+ chez Roland Berger.

Deux autres consultants en stratégie ont été distingués lors de la cérémonie de l’Autre Cercle dans une autre catégorie, celle des Rôles Modèles LGBT+ leaders. Parmi la quarantaine de lauréats, Florent Couasnon, consultant au BCG depuis 2019, et Basile Anthonioz, case team leader chez Roland Berger, co-président fondateur de @Working Out, premier programme de mentoring à destination des étudiants et jeunes diplômés LGBTQI+ en France.

Consultor

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