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Macron veut « Carboniser » notre industrie et notre économie

mercredi 9 novembre 2022

Peut-être que la revanche des Rothschild consiste à se venger de la nationalisation de leur banque en 1981 avec l’élection de Mitterrand en utilisant Macron comme fossoyeur de la République.
Pour l’instant les chiffres nous donnent raison, comment peut-on croire dans la politique zéro carbone qui détruit l’économie d’un pays ?
Macron distribue des milliards aux milliardaires et personne ne bronche.

  • Emmanuel Macron : « On va donner un milliard d’euros à l’Afrique du Sud pour les aider à sortir du charbon pendant qu’on redémarrera la centrale à charbon de Saint-Avold en Moselle. »

Marc Touati analyste financier

Nouvelle catastrophe économique pour la France : en septembre, le déficit commercial français a atteint un triple record historique : 17,5 milliards d’euros sur un mois, 47,6 milliards sur 3 mois et 149,9 milliards sur un an.
Et le cauchemar n’est malheureusement pas terminé...

La France va débloquer un milliard d’euros pour aider l’Afrique du Sud à sortir du charbon

La France va débloquer une enveloppe d’un milliard d’euros pour aider l’Afrique du Sud à sortir du charbon, a annoncé lundi le Président français Emmanuel Macron, lors de son discours en ouverture de la COP27 en Égypte.

Le chef de l’Etat souhaite ainsi faire reposer sa stratégie sur « le renouvelable, le nucléaire, les économies d’énergie ».

Il promet « d’intensifier » ce processus notamment « avec l’Indonésie, avec l’Inde, avec le Sénégal » plaidant pour « aller plus loin et plus fort ».

« La révolution énergétique est possible et elle passe par cette stratégie avec les pays émergents », a-t-il déclaré avant de préciser qu’il considère que le déploiement de « stratégies renouvelables accélérées » était nécessaire.

Il assure que « les énergies renouvelables sont moins chères, plus sûres et moins carbonées que les autres » et « démontrent toute leur pertinence dans le contexte que (nous) vivons ».

Emmanuel Macron est, par ailleurs, revenu sur la situation liée à la guerre en Ukraine en affirmant que « le climat ne saurait être la variable d’ajustement de la guerre lancée par la Russie sur le sol ukrainien ».

« Nous ne sacrifierons pas nos engagements climatiques sous la menace énergétique de la Russie », a-t-il martelé, considérant que « l’ensemble des engagements pris par les pays doivent se poursuivre ».

Le Président français a enfin fait savoir qu’il a été demandé « au FMI (Fond monétaire international, NDLR), à la Banque mondiale et à l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques, NDLR) » de proposer des « financements innovants sur le climat ».

AA/Nice/Feïza Ben Mohamed

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