Le livre Rules for radicals a été écrit par Saul Alinsky (1909-1972) en 1971. Il s’agit d’une approche fondée sur le principe « la fin justifie les moyens », qui vise à provoquer un changement radical dans la société. Elle s’est avérée à la fois efficace et dangereuse. De nombreux gauchistes ont utilisé les principes de ce livre comme plan d’organisation, de radicalisation et de mise en œuvre d’idéologies « progressistes ». L’homosexualité, le transgendérisme, le racisme, les LGBTQ, le féminisme radical, etc. sont autant de sujets qui étaient autrefois tabous, mais qui sont aujourd’hui courants sur les ondes, dans la presse et sur l’internet.
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George soros radicalise la démocratie avec Saul Alinsky
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Ismael Cortés a été choisi par Podemos comme tête de liste pour Tarragone aux prochaines élections de 2019.
Cortés a travaillé pour l’Open Society Foundation (OSF), la fondation du spéculateur milliardaire George Soros, chargée de financer les organisations impliquées dans l’affaire El Tarajal contre la Garde civile à Ceuta, ou qui a financé le centre suisse qui a servi d’intermédiaire entre l’ancien président José Luis Rodríguez Zapatero et le groupe terroriste ETA. OK Diario
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Novembre 2022
OK Diario
La ministre de l’Égalité, Irene Montero, a réaffirmé jeudi ses déclarations controversées de septembre dernier, lorsqu’elle a défendu que « tous les garçons, les filles et les enfants ont le droit de savoir qu’ils peuvent aimer ou avoir des relations sexuelles avec qui ils veulent, sur la base du consentement ». Lors de son intervention au forum La vague verte en Amérique latine, à Buenos Aires, Mme Montero a réaffirmé que « quelle que soit leur famille, les enfants ont le droit de savoir que leur corps est viable, que les traiter bien est bien et les traiter mal est mal, qu’ils peuvent aimer qui ils veulent et avoir des relations sexuelles avec qui ils veulent, qu’ils ont le droit à l’avortement ».
La ministre a dénoncé la « très forte remise en cause » qui, selon elle, existe « de la part de secteurs réactionnaires » de l’éducation sexuelle que son ministère a imposée à tous les niveaux du système éducatif, et a défendu le fait qu’il s’agit d’un « pilier de l’accès aux droits sexuels et reproductifs » et d’une « question de droits humains, pas d’une option idéologique ».
« C’est leur droit, leur droit, et pourtant ils ont déployé une campagne très forte pour nous accuser d’être des pédophiles », s’est-elle plainte, faisant allusion à la critique de ses paroles, que Mme Montero a qualifiée de « schéma répété par les secteurs réactionnaires ».
En septembre, les déclarations de Mme Montero devant la commission de l’égalité du Congrès des députés ont suscité une vive controverse et la réaction de l’opposition, qui a exigé sa démission.
Loin de rectifier, la ministre a réitéré devant le Parlement, où elle a exclu de quitter ses fonctions et dénoncé « une campagne de violence politique et contre le droit à l’éducation sexuelle des enfants et des adolescents ». « Les féministes et les démocrates doivent les arrêter dans leur élan et adopter la loi sur l’avortement maintenant parce que ces fascistes sont arrêtés avec les droits », a harangué le leader de Podemos après les critiques de Vox. Bien que le ministère de l’égalité ait assuré, au milieu de la controverse, que Mme Montero faisait référence aux jeunes de 16 et 17 ans et non à tous les enfants, la vérité est que la ministre n’a jamais publiquement nuancé ses propos.
La ministre vient de réitérer cette déclaration à l’occasion d’un forum sur l’avortement, dans le cadre de sa tournée en Argentine et en Colombie. La réforme de cette loi, l’une de ses mesures phares, est actuellement en cours de procédure parlementaire. En plus de permettre aux jeunes filles de 16 ans d’interrompre leur grossesse sans l’accord de leurs parents, la loi rend l’éducation sexuelle obligatoire à tous les niveaux d’enseignement.