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la moitié de la dette de la France est détenue par des pays étrangers

jeudi 18 juillet 2024

Si vous voulez savoir qui détient la dette de la France vous serez confronté à une omerta digne d’une structure mafieuse. De ce que nous savons la moitié de la dette française est possédée par des entités étrangères qui influencent notre politique nationale. Certaines lois comme celle de la réforme des retraites ont été imposé par des organismes étrangers comme BlackRock. Ceux qui possèdent la dette française ont plus d’influence que notre propre gouvernement.

Prenons l’exemple de l’aide militaire à l’Ukraine, cette dette va dans le fond spéculatif de l’OTAN pour financer les entreprises du complexe militaro industriel.
Ce sont nos impôts et nos dettes qui font vivre les mondialistes au détriment des investissements dans nos infrastructures et du remboursement de la dette.

Cette tutelle de la dette a été décidé en 2007 avec la crise bancaire ses subprimes et l’intervention de la banque JP Morgan et la traitresse Blythe Master.
La banque JP Morgan est intervenue auprès du président Hollande pour augmenter la dette et aboutir à la Cop 21 pour lancer la transition climatique.
Toutes ces normes du changement climatique n’ont servi qu’à maintenir les investissements dans les énergies renouvelables et accroître la dette.

La conséquence est que notre dette nationale représente 3100 milliards d’euros et la dette des engagements de paiements de l’Etat représente plus de 5000 milliards d’euros.
Cette paralysie de la dette contrôle l’intégralité des interventions du gouvernement qui obéit à ses créanciers sans qu’un plan de règlement soit proposé pour assainir nos finances.

La loi de finance publique pour 2025 va représenter la dernière alternative à cette politique qui va nous mener à prendre des décisions autoritaires pour ne pas avoir de paralysie de l’Etat. En cas de crise prolongée pour financer notre budget 2025 et dans le cadre d’une instabilité politique où aucun parti politique ne vote la loi du budget 2025, Macron pourra invoquer l’article 16 et prendre les pleins pouvoir.

Lui seul pourra décider d’abandonner le pouvoir national dans les mains de la future présidente de la commission européenne qui a réussi à se maintenir en tête des partis politiques européens pour assurer sa réélection.
C’est en ce sens que les élections européennes éraient un enjeu prioritaire.

Il faut savoir que la banque centrale européenne possède 20% de la dette française et que l’autre acteur majeur et détenteur de la dette française sont les Etats Unis. Ces deux mastodontes nous imposent l’intégralité de nos dettes pour valider les décisions de la banque des règlements internationaux, véritable institution opaque et mafieuse.

La BRI regroupe aujourd’hui soixante-trois banques centrales et autorités financières qui représentent 95 % du PIB mondial.
Le 13 septembre 2021, la France a signé un accord reconnaissant la personnalité juridique internationale et la capacité juridique de la BRI sur son territoire.
La BRI a le pouvoir d’adopter des règles et des règlements au sein du Centre Eurosystème (Paris) du BISIH pour les besoins de l’ensemble de ses activités et le plein exercice de ses fonctions en toute indépendance.
La BRI n’est pas soumise à la réglementation ou aux contrôles nationaux (sous réserve des mesures de sûreté prévues à l’article 18 du présent Accord), ni à aucune forme de supervision financière ou bancaire, et n’est contrainte d’appliquer aucune norme comptable ni de respecter aucune obligation en matière d’autorisation ou d’enregistrement.

Bruno Le Maire a présenté en juillet 2022, un projet de loi autorisant l’approbation de l’accord de siège entre le Gouvernement de la République française et la Banque des règlements internationaux. Avec cet accord, la BRI permettra de renforcer la position de Paris dans la finance mondiale et comme centre d’innovation pour intégrer des nouvelles technologies dans les domaines bancaire et financier.

Cet accord acte la venue de la monnaie numérique qui sera programmable, c’est à dire avec une durée limitée d’utilisation qui interdira de faire des économies et conditionnelle qui validera nos achats si nous sommes en accord avec les critères fixés sur le climat, la vaccination etc...

L’introduction de l’intelligence artificielle dans la monnaie sera la fin de la dette puisque notre argent ne nous appartiendra plus et comblera la dette abyssale que nous devons à la BCE et aux Etats Unis.

Analyse des 47% de la dette publique française détenue par des étrangers

Fin 2022, 47 % de la dette publique française était détenue par des étrangers. C’est un peu plus qu’en Allemagne (41 %) et qu’en Italie (27 %). L’Italie a fait le choix d’une dette importante mais en la conservant largement « nationale ». Pour l’ensemble des principaux pays de la zone euro, le pourcentage de la dette publique détenue par des étrangers atteint 39 %. On peut ajouter que 23 % de la dette américaine est détenue par des étrangers, 29 % de la dette du Royaume-Uni et 14 % de celle du Japon.

On observe une baisse depuis quelques années de la part de la dette publique détenue par des non-résidents partout dans le monde. Ceci est en grande partie le résultat des politiques monétaires non conventionnelles menées par les Banques centrales depuis la crise des Subprimes. Les Banques centrales nationales se sont substituées aux détenteurs nationaux (notamment les banques), mais également aux détenteurs étrangers.

Les Banques centrales des principaux pays de la zone euro détenaient 2 % des dettes publiques de leurs pays fin 2007. Elles possèdent aujourd’hui 21 % des dettes publiques de leurs pays. La Banque du Japon possède 44 % de la dette publique japonaise (contre 9 % fin 2007), la FED (États-Unis) possède 19 % de la dette publique américaine (contre 9 % fin 2007). La Banque centrale d’Angleterre possède 33 % de la dette publique du Royaume-Uni (contre 0 % fin 2007).

Le fait qu’il y ait de moins en moins de dettes allemande et italienne peut apparaître risqué. Les non-résidents sont appétents pour la dette française (il y en a beaucoup et elle n’est pas jugée trop risquée). C’est ce qui peut expliquer la part relativement élevée de la dette publique détenue par des étrangers.

Si cette part a baissé, comme partout dans le monde, elle reste à un niveau relativement élevé. Les non-résidents détiennent environ 1 400 milliards € de dette publique française, que ceux-ci soient des entités officielles (Fonds souverains, BCE…) qui en détiennent 580 milliards €, des banques étrangères (135 milliards €) ou d’autres étrangers (680 milliards €).

Depuis 2015, la détention de la dette publique française par la Banque de France (+21 %) a fait presque autant diminuer la part détenue par les autres résidents (-8 %) que la part détenue par les étrangers (-12 %). On note par ailleurs, avant même l’action de la Banque de France, un recul lent, mais régulier de la part de la dette française détenue par les résidents (passée de 45 % en 2004 à 30 % en 2022). La détention par la Banque de France n’explique que la moitié de la chute de cette part.

Nous sommes plus proches de la situation allemande qu’italienne (la part de dette détenue par les étrangers demeure supérieure à celle détenue par les nationaux hors Banque centrale). La question des années à venir est la façon dont, avec le recul de la part détenue par les Banques centrales, vont évoluer les parts de dette détenues par les étrangers et nationaux (hors banques centrales).

La dette publique détenue par la Banque de France

Avec la mise en œuvre d’une politique monétaire non conventionnelle par la BCE, la Banque de France a acquis une part importante de la dette négociable sur le marché secondaire depuis 2015. À la fin du second trimestre 2023, l’encours de titres de dette publique détenue par la Banque de France atteignait 719 milliards €.

La dette publique détenue par les non-résidents (détails pour la France)

Début 2022, les non-résidents détenaient 48 % de la dette négociable de l’État à long terme (948 milliards € de dette à moyen et long terme détenue par les non-résidents) et 78 % de la dette négociable de l’État à court terme (122 milliards €), soit 47 % de l’ensemble de la dette négociable de l’État, pour un total de 1 070 milliards €.

IFRAP

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