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Mister DAY connaît-il Mrs LAGARDE ?

vendredi 26 décembre 2008

Extrait :

"Bien que cela ne figure pas sur sa biographie officielle, Madame Lagarde militait aux États-Unis au Center for Strategic & International Studies (CSIS) [3]. Au sein de ce think tank, elle co-présidait avec Zbigniew Brzezinski la commission Action USA/UE/Pologne et suivait plus particulièrement le groupe de travail Industries de défense USA-Pologne (1995-2002) et les questions liées à la libéralisation des échanges polonais. Or, dans ces instances, elle représentait les intérêts états-uniens contre ceux du Commerce extérieur français dont elle est aujourd’hui la ministre. En sa qualité d’avocate du cabinet Baker & McKenzie, elle poussait plus particulièrement les intérêts de Boeing et Lockheed-Martin contre ceux d’Airbus et de Dassault.

Parmi les personnalités membres du CSIS a longtemps figuré en bonne place... Mme Christine Lagarde, actuelle ministre français des finances.

Source : http://www.voltairenet.org/article1...

En 2003, Christine Lagarde est également devenue membre, toujours au sein du CSIS, de la Commission pour l’élargissement de la communauté euro-atlantique aux côtés de son ami Brzezinki et de diverses personnalités dont l’ancien directeur de l’OMC Reanto Ruggiero et l’ancien ambassadeur spécial pour la restitution des biens religieux en Europe centrale, Stuart Eizenstat. Cette commission s’est occupée des investissements possibles en Pologne, Slovaquie, Lettonie, Roumanie, République tchèque et Hongrie."

(Mme Lagarde, dont aucun Français ne sait vraiment pourquoi elle est ministre des finances, sans avoir jamais été élue par quiconque ni jamais avoir fait de politique, a donc fréquenté les mêmes institutions étrangères que M. Robert Day. Ce n’est bien sûr qu’un hasard. Et cela ne devrait surtout pas expliquer le soutien indéfectible de Mme Lagarde à la thèse officielle de la Société Générale, thèse que personne, sauf Mme Lagarde, ne prétend sérieusement croire.)


http://www.boursier.com/vals/FR/societe … 269810.htm

Robert Day n’était pas au courant des problèmes de la banque Société Générale au moment ou l’on se renseignait sur Kerviel.
La transaction est de 40 millions d’euros et chaque titre valant 90 euros faîtes le calcul.
De plus comme dans tout blanchiement il existe des sociétés éponyme (même nom) comme sa fondation qui porte son nom et qui vendit aussi 4,5 millions d’actions.Donc au total soit 95 millions d’action Société Générale.

La Robert A. Day Foundation et la Kelly Day Foundation, ont également vendu le 10 janvier pour 8,63 millions d’euros et 959066 euros d’actions.
Le volume des transactions sur le titre Socgen a été multiplié par 2 et demi, de 4 millions de titres échangés en moyenne par jour habituellement, à 10 millions par jour entre le 18 janvier, jour où la direction a appris le problème, et le 24 janvier, jour où l’affaire a été rendu publique. Délit d’initié ? C’est curieux que l’AMF ne réagisse pas sur ces échanges. Ils n’ont réagi que sur une vente survenu le 9 janvier. Il est aussi curieux que la banque de France, au courant depuis le 18, ne prévienne le gouvernement que le 23.

Tribune : ’Fraude’ à la Société Générale, génie isolé ou insouciance généralisée ?
28-01-2008
www.silicon.fr/fr/news/2008/01/28/tribu … eneralisee
Par E.B. Sirius (*)

Un communiqué de cinq pages publié par la Société Générale le 27 janvier liste les « techniques de fraude » employées par Kerviel. Or cette liste peut se lire comme un florilège assez classique des mauvaises pratiques en sécurité informatique, extraits

Publicité Le plus gros : Kerviel a usurpé « des codes d’accès informatiques appartenant à des opérateurs pour annuler certaines opérations ». Cela veut dire qu’il a conservé d’anciens mots de passe ? Qu’il en a obtenus ? Qu’il s’est fait passer pour ces opérateurs qui auraient dû voir quelque chose ! A moins que lesdits opérateurs ne puissent voir ce que l’on fait en leur nom ? À moins qu’ils ne soient plus en poste ?

Dans tous les cas de figure, il y a là une très mauvaise gestion des login et une sensibilisation très insuffisante des intéressés à la sécurité. Et un contrôle absent. Trouver cette situation dans une grande banque française est surprenant. La préoccupation de la sécurité doit amener la hiérarchie à sensibiliser en permanence sur ces points : il y a là un manquement grave de la hiérarchie. Par ailleurs, il est très étonnant que les audits n’aient rien vu… cela peut laisser penser que ces manquements à la sécurité sont absolument courants.

Deuxième point surprenant : le trader aurait justifié certaines opérations fictives « en falsifiant des documents » dont on peut penser que certains sont des courriels. Etant donné l’importance de ces envois, il est surprenant de constater qu’ils ne sont pas protégés dans un système de dépôt sécurisé. Là encore le contrôle ou les audits se contentent de vraiment peu ! Il est donc possible de se justifier avec un courriel trafiqué ?

Troisième point un peu plus subtil tout de même : il semble que Kerviel connaissant bien les contrôles se soit glissé dans les failles. Faut-il en déduire que ces failles n’étaient pas connues des auditeurs ou contrôleurs ? Des failles minimes et peu risquées, passe encore ; mais des failles à 50 milliards d’Euro d’exposition ? L’analyse de risque n’est pas correcte ! A-t-elle seulement eu lieu ?

Enfin, il semble que le contrôle ne soit pas systématique sur toutes les opérations, mais plutôt statistique ou sur les opérations les plus courantes ou les plus grosses financièrement. Le compromis entre le risque et la complétude du contrôle est toujours difficile à trouver, mais dans le cas qui nous préoccupe, il est très défavorable !

Pour finir, la page 5 du communiqué donne un renseignement important :« la position [de la banque] sur futures a été rapprochée de la position de notre contrepartie (compensateur) », ceci, afin de s’assurer que toutes les opérations fictives ont été identifiées. Cette phrase indique donc qu’il existe un moyen externe et ‘holistique’ de contrôle qui visiblement n’a pas été utilisé jusque là.

Sans préjuger des torts de Kerviel, on peut dire à la lecture de ce communiqué que l’analyse des risques liés à l’usage de l’informatique est très insuffisante dans cette banque. La politique de sécurité et la préoccupation de son maintien auprès des utilisateurs de l’informatique est aussi déficiente. Partant de là, les contrôles et audit passent à côté de la réalité opérationnelle. C’est un retour aux vrais risques informatiques qui doit s’opérer avant tout, car sans informatique de base sécurisée, tout n’est qu’illusion.

(*) Consultant, Duquesne Research


Affaire de la Société générale

http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_de … %C3%A9rale
Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

Le jeudi 7 novembre 2002, en début d’après midi, s’est ouvert à Paris le procès de l’un des plus grands scandales politico-financiers des années 1980. Seuls quatre hommes (dont Georges Soros), sur les 11 mis en examen, ont comparu devant le tribunal correctionnel pour des « délits d’initiés », en s’étant enrichis illégalement lors d’un raid boursier manqué contre la banque Société générale, le premier groupe bancaire privé français, lancé par Georges Pébereau en 1988.

À l’époque des faits, ce sont les grands noms de la finance française et ceux de plusieurs hommes politiques du Parti socialiste, dont celui de Pierre Bérégovoy, alors ministre des Finances de François Mitterrand qui étaient cités. Depuis, cinq des mis en examen ont bénéficié d’un non-lieu et deux, Marc Viénot, ex-pdg de la Société générale, et Georges Pébereau, ex-pdg de la société Marceau investissements (aussi surprenant que cela puisse paraître), ont été amnistiés.

Il restait donc quatre prévenus : le financier américain Georges Soros, 72 ans, le financier libanais Samir Traboulsi, 64 ans, l’ex-patron de la banque Rivaud, Jean-Pierre Peyraud, 88 ans (en raison de son âge, il était absent à l’ouverture du procès) et l’ex-directeur de cabinet de Pierre Bérégovoy, devenu PDG de la société Euris, propriétaire du groupe de distribution Casino, Jean-Charles Naouri, 53 ans. Ces personnes étaient soupçonnées d’avoir spéculé sur des actions Société générale au cours du deuxième semestre 1988, avant que le raid boursier lancé par Georges Pébereau ne soit connu du public.

L’enquête a mis au jour un montage financier, à l’initiative de Georges Pébereau, permettant à un groupement d’hommes d’affaires de faire d’importants bénéfices. Plus de 30 millions d’actions de la Société générale ont été échangées sur le seul marché parisien. Ces transactions ont mobilisé quelque 2,07 milliards d’euros de capitaux, et Jean-Pierre Peyraud a encaissé une plus-value de 5,3 millions d’euros, Georges Soros 2,4 millions d’euros, Samir Traboulsi 3,96 millions d’euros, et Jean-Charles Naouri un peu moins de 53.000 euros.

La substitut du procureur Marie-Christine Daubigney avait requis 2,2 millions d’euros d’amende contre Georges Soros. L’amende demandée était égale au profit que le prévenu était soupçonné d’avoir réalisé. La substitut a estimé que Samir Traboulsi ne pouvait être condamné que pour recel de délit d’initié et a demandé qu’il paie une amende qui représente la moitié de son profit présumé, soit 1,98 millions d’euros. Il s’agissait là des peines minimales prévues par la loi en cas de condamnation.

Finalement, le tribunal correctionnel de Paris condamnera le financier américain George Soros à 2,2 millions d’euros d’amende. Jean-Charles Naouri et Samir Traboulsi furent relaxés et ainsi innocentés dans un volet judiciaire qui fut critiqué par toutes les parties pour avoir été un des procès les plus longs (plus de 15 ans) de la République française.


Michel Pébereau
http://fr.wikipedia.org/wiki/Michel...
Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

Michel Pébereau (23 janvier 1942 - ) est un homme d’affaires français, président du conseil d’administration de BNP Paribas et membre de l’Institut. Il est le frère de Georges Pébereau.

Carrière
Ancien élève de l’École polytechnique (X 1961) et de l’École nationale d’administration, Michel Pébereau a choisi à la sortie de cette dernière l’Inspection des Finances.
A partir de 1970, il sera chargé de mission puis conseiller technique auprès du ministre de l’Économie et des finances, Valéry Giscard d’Estaing. Il occupera ces fonctions durant 4 ans. Il restera au ministère jusqu’en 1982 où il occupera notamment la direction du Trésor.
Parallèlement il devient directeur de cabinet de René Monory à partir de 1978.
Par la suite, il a mené à bien la privatisation du Crédit commercial de France (1986), qu’il a présidé de 1983 à 1993, puis de la Banque nationale de Paris (1993), qu’il préside de 1993 à 2000.
En août 1999, il lance une double offre publique d’échange sur les titres de la Société générale et de Paribas. La première offre échoue, mais le succès de la seconde permet la création de BNP Paribas, entité dont il est PDG de 2000 à 2003, date à laquelle les fonctions de président et de directeur général sont séparées.
Depuis lors, il assume les fonctions de président du conseil d’administration de BNP Paribas.
Parallèlement à son activité de banquier, il a enseigné à l’Institut d’études politiques de Paris en tant que maître de conférences de 1968 à 1980, puis en tant que professeur de 1980 à 2000. Il est président du conseil de direction de l’établissement.

En 2005, il est chargé par Thierry Breton, ministre des finances, de créer une commission chargée d’étudier la dette de la France. Il rend son rapport le 14 décembre 2005.

M. Pébereau est aussi réputé pour être un grand amateur d’ouvrages de science-fiction.

Autres mandats sociaux
En 2005, il devient président de l’Institut de l’entreprise[1].
Depuis novembre 2004, il est président de l’Institut Aspen France et par là même président du conseil de surveillance[2] et du conseil d’orientation[3].
Il est membre du Haut Conseil de l’éducation[4] (HCE), désigné par le président du Conseil économique et social, depuis sa création en 2005.
En 2007, il devient représentant de l’Etat au conseil d’administration d’EADS, posté laissé vacant par Louis Gallois.
Il est membre du club Le Siècle
Il a été élu membre de l’Académie des sciences morales et politiques le 26 novembre 2007 au fauteuil de Pierre Tabatoni.
Président du Conseil d’administration de BNP Paribas et divers mandats sociaux dans les filiales de ce groupe.
Administrateur de Total
Administrateur de Saint-Gobain
Administrateur de Lafarge
Membre du conseil de surveillance d’Axa
Censeur des Galeries Lafayette


Le raid de la BNP sur la Société Générale ne se fit pas attendre après l’affaire Kervièl. On voit que les frères Pebereau ont une longue histoire avec la Société Générale mais aussi que Georges est en relation avec Bolloré.
Que du beau monde de la finance avec en 88 Soros l’américain et Robert Day en 2008
On voit aussi que Michel Pebereau est administrateur D’EADS et comme par hasard toutes cs affaires ont en point commun le délit d’initié.

www.marketvisual.com/d/Ge/Georges_P...

Concernant les institutions bancaires Clearstream et le Patriot Act

Le USA PATRIOT Act (qui signifie Uniting and Strengthening America by Providing Appropriate Tools Required to Intercept and Obstruct Terrorism Act ou en français Loi pour unir et renforcer l’Amérique en fournissant les outils appropriés pour déceler et contrer le terrorisme) est une loi américaine qui a été votée par le Congrès des États-Unis et signée par George W. Bush, le 26 octobre 2001.

Une loi d’exception à l’origine
Cette loi, conséquence directe des attentats du 11 septembre 2001, renforce énormément les pouvoirs des différentes agences gouvernementales des États-Unis (FBI, CIA, NSA et l’armée) . Elle fut considérée comme une loi d’exception, dont les dispositions n’étaient valables que pour quatre années. Le 15 juin 2005, le Congrès a voté un amendement pour empêcher le FBI et le ministère de la Justice d’utiliser le Patriot Act afin d’avoir accès aux fichiers de lecteurs des bibliothèques et des librairies. Sont également modifiées, les lois sur l’immigration, les lois d’opérations bancaires, la loi de surveillance d’intelligence étrangère (FISA). Il crée une nouvelle catégorie de crime du « terrorisme intérieur » (section 802). Cette accusation s’applique par exemple à la consultation privée de documents qui réfutent la théorie officielle.

Les « axes » du Patriot Act sont les suivants :

Titre I : Augmenter la sécurité intérieure contre le terrorisme
Titre II : Procédures augmentées de surveillance
Titre III : Réduction du blanchiment d’argent international et Lois de financement anti-terroriste de 2001
Titre IV : Protection des frontières
Titre V : Enlèvement des obstacles sur l’investigation dans le terrorisme
Titre VI : Aide aux victimes du terrorisme, des officiers de securité publique et des familles
Titre VII : Partage accru des informations pour la protection d’infrastructures critiques
Titre VIII : Renforcement de la législation pénale contre le terrorisme
Titre IX : Amélioration du renseignement
Les cours fédérales ont affirmées que quelques dispositions sont des infractions inconstitutionnelles sur des libertés civiles. Le Patriot Act fut renouvelé par un vote du Sénat et de la chambre des représentants le 2 mars 2006 avec 89 pour et 11 contre dans le Sénat, et le 7 mars 280 pour 138 à la Chambre des représentants. Le renouvellement a été signé par le Président George W. Bush le 9 mars 2006.

Voici ce que l’on peut lire sur le site de Clearstream
www.clearstream.com/ci/dispatch/en/kir/ … atriot_act
USA Patriot Act Certification
Conformément à l’USA Patriot Act et les dernières règles édictées par le Département américain du Trésor, une banque américaine ou un courtier US-revendeur (une « institution financière couvert ») est nécessaire pour obtenir une certification de toute « banques étrangères » qui maintient une correspondant compte avec elle.
Tel que permis par les règles définitives, Clearstream Banking Luxembourg a établi une certification pour l’utilisation par toute institution financière qui a besoin ..

http://74.125.39.104/search?q=cache:H4X … &gl=fr
Enfin, nous pouvons relever parmi les contributeurs de la FAF de New York, EADS, l’Oréal USA [14] ou encore la Société Générale [15].

La FAF française n’a, de son côté, pas à rougir de sa jumelle new-yorkaise. Dirigée à ses débuts par le président de Péchiney, Pierre Jouven, la Fondation est présidée depuis 1997 par Michel Garcin [16], directeur général de Hervé Consultants (spécialiste en accompagnement d’entreprises). Le Conseil de surveillance [17] réunit EADS France, BNP Paribas, la Caisse des dépôts ainsi que des représentants comme Yves de Gaulle (secrétaire général de Suez), Jean-Louis Gergorin (vice-président de la coordination stratégique chez EADS, mais dont les activités ont cessé avec l’affaire Clearstream) ou Marwan Lahoud, PDG du leader européen dans le secteur des missiles MBDA dont EADS est actionnaire à 37,5% et dont le frère Imad Lahoud [18] a connu quelques démêlées judiciaires en liaison avec Jean-Louis Gergorin lors de l’affaire Clearstream.

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