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La vaccination Covid est un génocide plus silencieux et plus efficace que la guerre

dimanche 29 octobre 2023

Si vous vous posez la question de savoir quand la troisième guerre mondiale a commencé, il n’y a pas de réponse claire sauf des indices parsemés dans les analyses sanguines des patients qui souffrent d’effets secondaires multiples des injections Covid.
En 2021, les médecins ont été informés par les Agences Régionales de Santé que ces injections étaient susceptibles de provoquer des péricardites et des myocardites.

Une analyse des données des essais cliniques du vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech, publiée ce mois-ci dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, montre que les fabricants de vaccins ont caché aux autorités de réglementation des données sur les décès afin de pouvoir bénéficier d’une autorisation d’utilisation d’urgence.

Pfizer-BioNTech a différé la publication des décès associés au vaccin parmi les participants à l’essai clinique BNT162b2 jusqu’à ce que la Food and Drug Administration (FDA) ait délivré une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) pour ce vaccin.

Le COVID 19 étant considéré comme une urgence sanitaire nationale, les autorités de réglementation ont abandonné le processus d’approbation établi, axé sur le patient et fondé sur la sécurité, qui exige des années d’essais précliniques sur les animaux qui par ailleurs sont presque tous morts pendant les essais.

Les médecins connaissaient les risques.

Quand à la vaccination covid obligatoire pour le corps médical, certains médecins ont préféré recevoir l’injection dans les cuisses plutôt que dans le bras. L’épaule est une zone corporelle plus proche du cœur et la migration du produit injecté peut potentiellement toucher la zone cardiaque et engendrer des péricardites et des myocardites.

Les inconvénients des injections dans les cuisses se sont révélés être différents au point de vue effets secondaires.
Un médecin généraliste dont on ne peut révéler le nom en raison de sa possible suspension par l’ordre des médecins a constaté une coagulation intravasculaire disséminée sur ses cuisses après avoir reçu sa troisième injection.
Les signes cliniques étaient des varicosités sur les jambes ainsi qu’une gène à la marche avec une sensation de lourdeur et une peine à l’effort.

La coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) se traduit par un excès de génération de thrombine et de fibrine dans la circulation. Les manifestations des CIVD sont des phénomènes thrombo-emboliques veineux qui entrainent une insuffisance cardiaque.
Bon nombre de vaccinés ont vu leur taux de D-dimères augmenter après l’injection. (Les D-dimères sont issus de la dégradation de la fibrine, une protéine impliquée dans la coagulation sanguine). Il est constaté sur leurs analyses de sang que si leur taux de D-dimères était fortement élevé, il y avait un risque de faire une thrombose. D’autres cas de CIVD ont produit des saignements dans le nez, dans les oreilles et dans les voies intimes.

Thrombose et cancer

La coagulation intravasculaire disséminée est une anomalie complexe de l’hémostase aux conséquences dramatiques et depuis longtemps décrite comme associée aux pathologies tumorales. Le bilan de dépistage du cancer au décours d’une maladie thromboembolique veineuse (MTEV) reste actuellement controversé. Le constat sérologique de la thrombose et des D-dimères supérieurs à 3,8μg/mL sont hautement associés à la pathologie carcinologique.

Le stroma tumoral est un terreau fertile pour la cellule cancéreuse, il se compose d’un tissu conjonctif servant de soutien ou de tissu nourricier à la prolifération tumorale dans lequel celle-ci se développe.
En 2017, l’INSERM constate que la fibronectine (fibrine) est nécessaire et essentielle pour la progression de la tumeur. La fibronectine est une glycoprotéine présente sous forme soluble dans les fluides physiologiques comme le plasma sanguin. Elle est impliquée dans le processus de la thrombose et de la cicatrisation. La fibronectine est utilisé comme un facteur d’attachement cellulaire lorsqu’elle est utilisée dans la culture des cellules.

Pour résumer, si après une injection covid votre taux de D Dimères augmente, c’est que vous activez la fabrication de fibrine avec un risque potentiel de stroma tumoral.
Dans la formation d’une cellule cancéreuse ; on constate que le réseau vasculaire est anarchique et présente une perméabilité élevée.

Les problèmes vasculaires sont donc un facteur majeur de risque de cancer, si une injection vaccinale entraine soit une thrombose, une CIVD ou un stroma tumoral.

Le stroma est le siège d’une réaction inflammatoire.

Prenons un cas concret d’une femme âgée de 48 ans qui a reçu trois injections du vaccin Pfizer.
L’antécédent est un cancer des deux seins en 2016.
La patiente constate en juillet 2023 une augmentation de volume sur la cicatrice du sein droit avec des douleurs à la palpation. Est ce une récidive ou bien un mécanisme d’évolution de la cicatrice ?
Une biopsie est réalisée par 5 carottages.
Le résultat est une prolifération carcinomateuse infiltrante de grade 1. La stroma réaction est fibreuse et inflammatoire avec une présence de lymphocytes dans le stroma de 10%.
En conclusion, nous somme en présence d’un carcinome infiltrant de type non spécifique du sein droit (classification OMS 2019) de grade 1.

Les effets secondaires du vaccin Covid 19 ne sont plus anonymes maintenant, chaque jour nous voyons dans notre entourage des personnes qui présentent des pathologies inflammatoires du sang.
Les premières personnes qui peuvent en témoigner sont les infirmières qui se rendent au domicile des patients. Leur constat est lapidaire : énormément de personnes présentent des analyses de sang qui témoignent de troubles. Il convient de ne pas oublier les cas d’AVC qui ont été aussi très importants.

Il est impératif d’effectuer régulièrement une prise de sang. La plupart des analyses sont réalisables sans ordonnance du médecin, en accès direct au laboratoire. Il suffit de signer un formulaire en précisant notre demande pour les examens qui ne seront pas pris en charge par l’Assurance Maladie ni par notre mutuelle.
Voyons ce qu’il est utile de demander dans votre analyse pour savoir si vous êtes à risque d’un effet secondaire du vaccin :

Les d-dimères
Les D-dimères sont issus de la dégradation de la fibrine, une protéine impliquée dans la coagulation sanguine. Dans la réparation d’une blessure, des constituants se fixent les uns aux autres, notamment à l’aide de la fibrine. Cela déterminera si nous avons un potentiel de thrombose veineuse profonde, d’une embolie pulmonaire ou encore d’un accident vasculaire cérébral.

Protéine C réactive
La protéine C-Réactive (ou CRP) est une protéine synthétisée par le foie à la suite d’une inflammation de l’organisme. C’est une stratégie de défense avec une réaction inflammatoire. Les CRP jouent un rôle important dans la réponse immunitaire en permettant la mobilisation et l’activation des globules blancs, ainsi que la stimulation de la phagocytose, un processus de la destruction cellulaire.

Troponine
La troponine est une substance protéique qui entre dans la constitution des fibres musculaires et régule leur contraction, y compris au niveau du muscle cardiaque. Le dosage des troponines cardiaques permet de détecter une atteinte cardiaque et de diagnostiquer un infarctus du myocarde.

Fibrinogène
Le fibrinogène est une protéine essentielle à la formation du caillot sanguin. Il est un de la vingtaine de facteurs de coagulation produits par le foie.

Le PH du sang
Ce qui est utile d’apprendre, c’est que les effets secondaires de la vaccination sont observables quand notre sang est acide. Il convient de revenir à ce que préconisaient les vieux médecins dans les années 50, à savoir prendre du bicarbonate pour corriger l’acidité.
Une fois votre analyse faite, allez voir votre généraliste pour qu’il puisse faire une ordonnance souvent à base d’anticoagulant comme l’aspirine pour réduire les possibles thromboses.

L’Insee a constaté la persistance d’une nette surmortalité en France en 2022 par rapport à une année « normale » (hors épidémie ou événement inhabituel), que le Covid ne suffit pas à expliquer, selon les chiffres publiés mardi 6 juin par l’Institut de la statistique.

Pour l’Insee, 675 000 personnes sont mortes en France en 2022, soit 53 800 décès de plus que ce qui était prévisible, compte tenu de l’âge de la population et des tendances enregistrées sur les 10 ou 15 ans précédentes.

L’écart à la prévision (+ 8,7 %) est supérieur à celui constaté en 2021 (+ 6,9 %) et en 2020 (+ 7,8 %) - l’année ou l’épidémie de Covid avait explosé.

Geopolintel 29 octobre 2019

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