En novembre 2021, des flacons étiquetés « variole » ont été trouvés dans un congélateur de laboratoire en Pennsylvanie. D’après le CDC ces flacons retrouvés ne contiennent aucune trace du virus de la variole.
Les flacons congelés étiquetés « variole » découverts dans un congélateur d’un centre de recherche sur les vaccins en Pennsylvanie « ne contiennent aucune trace du virus connu pour causer la variole », ont déclaré les autorités sanitaires fédérales. Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont déclaré jeudi que les tests ont montré que les flacons contenaient « le vaccin avec le virus utilisé dans le vaccin antivariolique » et non le virus de la variole, qui cause la variole.
Le CDC avait déclaré lundi que les flacons « ont été découverts par hasard par un employé de laboratoire » qui portait des gants et un masque pour nettoyer le congélateur. Le CDC a précisé que personne n’avait été exposé à leur contenu.
Mark O’Neill, porte-parole du ministère de la Santé de Pennsylvanie, a déclaré au New York Times que les flacons avaient été trouvés dans un établissement Merck du comté de Montgomery.
En 2023, l’infectiologue Karine Lacombe, cible de la complosphère, pourfendeuse du professeur Didier Raoult, s’est éclipsée de la scène publique pour réintégrer les lobbies qui ont contribué à son ascension médiatique.
Si le Covid fut son heure de gloire, la Variole du Singe a sonné le glas de sa carrière médiatique et politique.
En juin 2022, Karine Lacombe, chef de service d’infectiologie de l’hôpital Saint-Antoine à Paris mettait en garde face à une « poussée épidémique » de la variole du singe dans l’Hexagone, alors qu’aucun vaccin n’avait encore été trouvé pour prévenir la maladie.
Avec 51 personnes infectées en France, notre Marianne de la médecine jouait à nous faire peur, elle même disait s’inquiéter que la maladie comporte encore « beaucoup d’inconnues ».
Le pays était en « pleine poussée épidémique » sans traitement existant.
Mais sur ces belles paroles, le constat était différent dans les hôpitaux où l’on ne constatait pas de cas d’hospitalisation ; au contraire, la varicelle pouvait induire un mauvais diagnostic par la similarité des signes cliniques et les patients qui allaient directement chez le médecins n’étaient pas comptabilisés comme cas.
Pourquoi une infectiologue de réputation mondiale qui avait autorité sur le Covid s’est-elle plantée sur la Variole du Singe ?
Tout simplement en obéissant aux injonctions de l’OMS avec qui elle collabore. L’OMS a classé le virus monkeypox comme agent pathogène.
Selon les déclarations de Karine Lacombe dans la presse en juin 2022, La France n’était pas prête pour lutter contre la Variole du Singe parce que « L’industrie pharmaceutique n’investit que lorsque cela est rentable pour elle ». Elle avait même prédit que « Si l’épidémie nécessite beaucoup d’hospitalisations, on retournera, comme pour le Covid, dans un système d’exception ».
La vérité sort toujours de la bouches des idiots, si l’industrie n’a pas choisi de faire fortune avec le virus Monkeypox c’est que l’épidémie n’existait pas, maintenant il relance cette menace qui coïncide avec les élections présidentielles américaines et l’obligation de vote par correspondance pour frauder encore une fois le poste suprême de la Maison Blanche.
En août 2022, le docteur Shmuel Shapira : la variole du singe est peut être un effet secondaire du vaccin COVID
Twitter avait censuré le scientifique israélien de renommée mondiale après un commentaire sur la variole du singe
Le professeur Shmuel Shapira, M.D., MPH, ancien directeur général de l’Institut israélien de recherche biologique (IIBR), et l’un des meilleurs scientifiques de médecine au monde, est devenu l’un des principaux détracteurs des vaccins COVID-19 après être tombé malade depuis sa vaccination.
Le professeur Shmuel Shapira, M.D., MPH, a occupé le poste de directeur général de l’Institut israélien de recherche biologique (IIBR), en Israël, entre 2013 et 2021. Il est le fondateur et le chef du département de médecine militaire de la faculté de médecine de l’Université hébraïque et du corps médical des FDI. Il est également chercheur principal à l’Institut international pour le contre-terrorisme (ICT) de l’Université Reichman en Israël.
« J’ai reçu 3 vaccins, j’ai été physiquement atteint de manière très significative comme beaucoup d’autres ont été victimes de dommages », a tweeté Shapira le 13 mai 2022. « Et en plus, ma confiance dans les décisions et dans les processus de prise de décision a été sévèrement ébranlée ».
M. Shapiro a joué un rôle primordial dans le développement du vaccin israélien BriLife COVID-19, qui est basé sur une structure virale. Après deux ans de développement, le vaccin n’en est qu’à la phase 3 des essais en raison de la paperasserie, a-t-il déclaré au CTC Sentinel. « Nous avons été beaucoup impactés par la bureaucratie, et cela nous a vraiment retardés ».
Twitter a censuré Shapira pour avoir publié de la « désinformation » après qu’il ait suggéré que l’épidémie de variole du singe pouvait être liée aux vaccins à ARNm.
« Les cas de variole du singe ont été rares pendant des années. Ces dernières années, un seul cas a été recensé en Israël », a-t-il tweeté. « Il est bien établi que les vaccins à ARNm affectent le système immunitaire naturel. Une épidémie de variole du singe après une vaccination massive de covidés n’est pas une coïncidence. »
Twitter a contraint l’expert en recherche biologique et en médecine militaire à retirer le tweet.
Décembre 2022, le zona causé par le vaccin Covid 19 ressemble étrangement à la variole du singe
AFP : La multiplication de cas de variole du singe en Europe n’a pas de rapport avec la vaccination anti-Covid
https://factuel.afp.com/doc.afp.com...
« Le zona causé par le vaccin Covid-19 ressemble étrangement à la variole du singe », titre de son côté un article de blog du site Geopolintel.
Fact checkons pour une fois l’AFP.
C’est article est repris pour nous impliquer dans un mensonge où l’AFP prétend que Geopolintel affirme que la variole du singe est un effet secondaire du vaccin.
FAUX
Non Geopolintel n’affirme pas que la variole du singe est un effet secondaire du vaccin, mais que la similitude du zona avec la variole du singe est utilisée pour faire croire que l’épidémie de variole explose.
Oui, Juliette Mansour, vous amalgamez un peu vite nos propos, vos commanditaires ont mal vérifié notre information. Nous citons deux sources concernant le Zona et la variole du singe qui sont Le Figaro et Reuters.
Amicalement FR
A force de chercher les traces du patient zéro de la variole du singe, il semble que les pouvoirs publics du monde entier veulent nous faire avaler une nouvelle épidémie pour masquer les effets secondaires du vaccin covid.
Le zona est un effet indésirable connu de la vaccination.
Le zona se manifeste sous forme d’éruption cutanée douloureuse qui, après quelques jours, sèche en formant des croûtes qui finissent par tomber.
En date du 6 avril 2021, Swissmedic avait évalué, en partenariat avec les centres régionaux de pharmacovigilance (dont le centre de référence tessinois de l’EOC) 1 174 déclarations d’effets indésirables (EI) présumés de vaccins contre le Covid-19 en Suisse.
Ont été déclarés 44 cas de zona, dont 26 ont été considérés comme graves, pour la plupart pour des raisons médicales. Le zona est une maladie qui est due à une réactivation du virus varicelle-zona (varicella-zoster virus, VZV).
Pour Comirnaty (Pfizer), les derniers rapports de pharmacovigilance répertorient 528 cas de zona parmi les événements indésirables graves, depuis le début de la campagne et jusqu’en novembre 2021. Parmi eux, 40 ont fait l’objet d’une hospitalisation et 1 a été suivi d’un décès. Pour la dose de rappel spécifiquement : 47 cas ont été rapportés au total (Focus mensuel n° 5, données jusqu’au 3 février).
La varicelle est une maladie infectieuse virale extrêmement contagieuse qui atteint le plus souvent les bébés ou jeunes enfants. Elle est responsable d’une éruption de vésicules sur la peau et les muqueuses. Elle guérit en une dizaine de jours, mais des réactivations sous forme de zona sont possibles à l’âge adulte.
Comme la varicelle ressemble comme deux gouttes d’eau au zona, il semble que cette nouvelle campagne de peur soit dirigée vers les enfants :
Bill Gates et la FDA veulent vacciner à tout prix les enfants et pour cela, nous faire croire que la varicelle ou le zona sont les signes de la variole du singe.
Le nombre de cas de variole du singe au Royaume-Uni avait à cette époque plus que doublé pour atteindre le nombre de 20 cas.
LONDRES (Reuters) - L’Agence britannique de sécurité sanitaire a déclaré vendredi avoir détecté 11 nouveaux cas de monkeypox en Angleterre, portant à 20 le nombre total de cas confirmés dans le pays.
La Grande-Bretagne avait précédemment signalé un total de neuf cas de cette maladie virale habituellement bénigne, caractérisée par des symptômes de fièvre ainsi que par une éruption cutanée bosselée distinctive.
« Nous nous attendons à ce que cette augmentation se poursuive dans les jours à venir et à ce que davantage de cas soient identifiés dans la communauté au sens large. Parallèlement, nous recevons des rapports faisant état de nouveaux cas identifiés dans d’autres pays du monde », a déclaré Susan Hopkins, conseillère médicale en chef de l’UKHSA, dans un communiqué.
« Nous continuons à enquêter rapidement sur la source de ces infections et à sensibiliser les professionnels de la santé. »
Le ministre britannique de la Santé, Sajid Javid, a déclaré qu’il avait informé les ministres de la Santé du G7 de ce que l’on savait jusqu’à présent de cette épidémie.
« La plupart des cas sont bénins, et je peux confirmer que nous avons obtenu des doses supplémentaires de vaccins efficaces contre la variole du singe », a déclaré Javid sur Twitter.
Il n’existe pas de vaccin spécifique contre la variole du singe, mais l’UKHSA a déclaré qu’un vaccin contre la variole offrait une certaine protection.
Identifiée pour la première fois chez les singes, cette maladie virale se propage généralement par contact étroit et se rencontre principalement en Afrique centrale et occidentale. Elle s’est rarement propagée ailleurs, aussi cette nouvelle vague de cas en dehors du continent a-t-elle suscité des inquiétudes.
L’UKHSA a déclaré qu’une proportion notable des cas récents en Grande-Bretagne et en Europe ont été découverts chez des hommes homosexuels et bisexuels.
Aux Etats Unis en 2022, un camion transportant des singes « cobayes » de laboratoire s’est renversé sur la route
Un camion transportant 100 singes de laboratoire a eu un accident en Pennsylvanie. Une conductrice qui s’est arrêtée pour leur porter secours a mis sa main dans l’une des cages. Maintenant, elle a une toux et une conjonctivite après qu’un des macaques lui ait craché au visage.
Si les accidents de laboratoires existent, la presse sait comment terroriser les lecteurs avec une histoire banale d’accident.
L’association PETA (Pour une Éthique dans le Traitement des Animaux) a rappelé aux résidents après l’accident qu’il n’y a aucun moyen de garantir que les singes sont exempts de virus, notant que « les dossiers montrent que des singes dans des laboratoires aux États-Unis ont été trouvés avec la tuberculose, la maladie de Chagas, le choléra et le SARM ».
Les singes, dont l’ADN est similaire à celui des humains, ont été très demandés dans le cadre de la pandémie de COVID-19, certains scientifiques appelant à la constitution d’une réserve d’urgence de sujets d’expérience.
Michelle Fallon, de Danville près de Scranton, se trouvait juste derrière le camion.
Dès le lendemain de l’accident, elle a commencé à tousser et à avoir une conjonctivite.
Elle a commencé à prendre des médicaments antiviraux et à suivre un traitement contre la rage. Le dernier des quatre singes échappés a été retrouvé samedi en fin de journée. L’un des macaques cynomolgus, également connus sous le nom de macaques mangeurs de crabes ou macaques à longue queue, a été retrouvé dans un arbre. Les habitants de Pennsylvanie avaient été avertis de ne pas s’approcher du macaque qui s’était échappé. Le camion transportait une centaine de singes vers un laboratoire.
Après l’accident, des caisses contenant des singes vivants étaient éparpillées sur la route nationale 54 à Danville, à 130 miles de Philadelphie. Un témoin a déclaré qu’il avait cru voir un chat traverser la route en courant avant de réaliser qu’il s’agissait en fait d’un primate en fuite.
Michelle Fallon, originaire de Danville près de Scranton, conduisait juste derrière le véhicule lorsque celui-ci s’est renversé, projetant des caisses d’animaux sur l’autoroute. Trois des macaques se sont échappés des caisses cassées et ont pris la fuite, mais tous les singes ont depuis été capturés et euthanasiés. Les singes sont arrivés aux États-Unis le matin même en provenance de l’île Maurice et étaient en route vers un laboratoire.
Madame Fallon a été vaccinée contre la rage et a décrit les symptômes dont elle a souffert depuis sur Facebook. Elle a également déclaré à PA Homepage qu’elle avait développé les symptômes de la conjonctivite, une inflammation ou une infection du globe oculaire.
"J’étais proche des singes, j’ai touché les caisses, j’ai marché dans leurs excréments, j’étais donc très proche. Alors j’ai appelé (une ligne d’assistance) pour demander si j’étais en sécurité ?
Le singe m’a craché dessus et il y avait des excréments partout autour de moi, et j’avais une plaie ouverte.
Mme Fallon a déclaré qu’elle était sortie pour aider le conducteur et les animaux dans leurs cages, croyant d’abord qu’il s’agissait de chats. Lorsqu’elle s’est approchée et a posé sa main sur la cage, elle dit que le singe lui a craché dessus.
Le lendemain de l’accident, Fallon a soudainement développé une toux et une conjonctivite, qui se sont aggravées au point qu’elle a dû se rendre aux urgences du Geisinger Medical Center de Danville.
Les médecins spécialistes en maladies infectieuses lui ont administré la première des quatre injections contre la rage ainsi que des médicaments antiviraux.
Elle a déclaré sur Facebook qu’elle surveillait les symptômes de la rage et de l’herpèsvirus B du singe.
Quelle journée ! J’ai essayé d’aider sur un accident et on m’a dit qu’il y avait des chats dans des caisses. Je suis donc allée les caresser, mais j’ai découvert que c’était des singes. Puis j’ai remarqué qu’il y en avait trois dans chaque caisse, dont certains étaient complètement cassés, j’ai appris que quatre singes s’étaient échappés", a écrit Fallon sur sa page Facebook.
Je suis rentrée à la maison pour me coucher et ma tante a rencontré une équipe de journalistes qui lui a dit de ne pas trop s’approcher des singes. Eh bien, j’ai essayé d’en caresser un. J’ai touché les caisses et j’ai marché dans des excréments. On m’a dit de contacter la police sur les lieux pour dire que je les avais touché’.
J’ai parlé avec la police et une femme du CDC. J’ai reçu une lettre m’expliquant que je suis à très faible risque mais je ne sais pas de quoi. Mais mes symptômes sont des symptômes de covid. Sérieusement. C’était ne journée d’enfer !
On a demandé à Fallon de surveiller de près sa santé pendant le mois à venir au cas où elle développerait une maladie infectieuse à cause de sa proximité avec les singes.
Les singes de laboratoire étaient en route pour un laboratoire en Floride lorsque le camion a percuté un camion-poubelle. Mme Fallon a déclaré qu’elle avait parlé avec le conducteur de la camionnette et un passager directement après l’accident.
Le conducteur semblait désorienté, et le passager pensait qu’il s’était peut-être blessé aux jambes.
Le pick-up se dirigeait vers l’ouest sur l’I-80 lorsqu’il est sorti à la sortie Danville et a immédiatement essayé de remonter en traversant l’autre voie.