Geopolintel

L’empire planétarien du mensonge

mardi 8 décembre 2020

« De l’œuf de la haine, si petit qu’il soit d’abord, peuvent éclore des monstres  » 
Henri-Frédéric Amiel “Journal intime” 28 mars 1855. 

Il est vraisemblable que lorsque le dramaturge allemand Berthold Brecht évoqua pour la première fois au début de sa carrière en 1919 [1]« le ventre toujours fécond d’où a surgi la bête immonde » il ne pensait pas au nazisme encore dans les limbes, ni bien sûr à la résistible ascension du sénile Joe Biden, l’homme au pied cassé, digne représentant des oligarchies mafieuses d’outre-Atlantique, mais bien à la social-démocratie… Régime qui sous son dernier avatar social-libéral, transgenre et transhumaniste, nous dévore aussi sûrement que le chancre mou ronge le syphilitique. Serait-il excessif de parler, à propos du confinement et du port obligé de la muselière réglementaire, de goulag mou ? Oui da, le tabès – morbidité dégénérative d’origine vénérienne - social et économique nous guette bientôt suivi des affres de l’agonie ! Parce qu’enfin cette crise sanitaire cache mal, de plus en plus mal, sa vraie nature : une sinistre dictature infligée aux peuples de l’hémisphère nord par tous les États et leurs élites amorales communiant dans la triviale vulgate mondialiste.

Crise sanitaire qui n’est en fin de compte – mais ça nous le soupçonnions depuis le départ – qu’une mauvaise pièce de théâtre, une mise en scène montée autour d’une épidémie en grande partie virtuelle eu égard à une létalité à peine supérieure (0,5/0,3%) à celle d’une grippe sévère. La référence en la matière – rappelons-le pour la énième fois - étant celle dite de Hong Kong en 1968/1969 ! Nul ne s’en était à l’époque particulièrement ému, ce type de maladie appartenant de natura rerum au domaine des aléas météorologiques contre lesquels il serait vain (ou pusillanime) de s’insurger. Sachant en outre que, dixit la généticienne Alexandra Henrion-Caude, selon le génial laboratoire inventeur du vaccin transgénique, Pfizer, l’on a une chance sur huit de contracter une forme sévère du Covid après avoir été vacciné et une sur 16 en ne l’étant pas [2] ! Voudriez-vous me dire où se trouve alors le bénéfice vaccinal ?

L’information finit par remonter par capillarité

Tout cela commence à se savoir et à s’ébruiter : l’information a fini par remonter par capillarité depuis la base médicale jusqu’au influenceurs, lesquels commencent – apparemment – à trouver que les choses en se prolongeant indûment, prennent une tournure par trop déplaisante et même ubuesque – ne parle-t-on pas désormais d’absurdistan à propos de la France ? - d’abord au regard de cette lubie vaccinale forcenée : devant les réticences non dissimulées des populations en France, en Allemagne et ailleurs en Europe [3], les autorités ont renoncé « pour le moment » à rendre la vaccination obligatoire… mais c’est, semble-t-il, reculer pour mieux sauter car l’araignée de lâche pas si facilement sa proie. Au demeurant On ferme enfin les frontières… mais dans le sens des sorties uniquement. Le « virus n’ayant pas de passeport » à entendre M. Macron, fringant Père Ubu de la Nation céfrane, il s’agissait de continuer à laisser entrer tout et n’importe qui, tel ce jeune tueur tchétchène arrivé d’un trait depuis l’île de Lampedusa afin de trancher le chef d’un enseignant trop zélé à enseigner une laïcité sans tabou… ni limites ! Fermeture pour empêcher tout bonnement les Français d’aller skier en Suisse ou en Italie parce que, si les stations de sports d’hiver sont ouvertes en-deçà des Alpes, les remonte-pentes sont eux, par contre, à l’arrêt. Comprenne qui pourra !

D’un même élan, le Premier ministre annonçait triomphalement dans sa conférence de presse du 3 décembre, l’achat de deux cents millions de doses vaccinales – la France ne comptait en 2019 que 66,99 millions d’habitants !? - destinées à des publics prioritaires… Personnels soignants et personnes à risque, autrement dit les « vieux » qui serviront de cobayes à une concoction d’apprentis sorciers dont les responsables français de “la pharmacie et du médicament” ne savent rien ou presque, hormis les communiqués de presse des laboratoires.

M. Vaccin ne sait rien (et s’en bat l’œil)

Ça ne s’invente pas et c’est, mot pour mot ce que nous a révélé le tout nouveau, tout neuf « M. Vaccin », un certain Alain Fischer, professeur d’immunologie - proche paraît-il de la Maison Rothschild1 (mais qui ne l’est pas dans les premiers cercles du pouvoir ?) et impliqué dans la promotion du vaccin anti Covid israélo-américain de Moderna [4], concurrent du Pfizer - présent à l’occasion de ce point de presse au côté de M. Castex, ci-devant Premier ministre. Un homme étonnamment prudent, marchant sur des œufs et avançant à reculons [5]… « « Le recul, à ce jour, sur l’évaluation de la sécurité et l’efficacité de ces vaccins ne dépasse pas deux à trois mois [autant dire rien étant donné qu’un vaccin classique n’est mis sur le marché qu’après sept à huit années de tests], donc, c’est encore bref, même si c’est très significatif [raisonnement par l’absurde]. Les données ne sont pas encore complètes non plus, pour savoir jusqu’à quel point ces vaccins sont efficaces sur les personnes les plus à risque… Dernier point qui est critique, dont la solution prendra du temps, c’est de savoir si le vaccin, d’une part protège l’individu vacciné contre l’infection et, espérons-le, contre l’infection grave, mais aussi protège contre la transmission ». Consternant ! Enfin, pas un traître mot à propos d’éventuels effets indésirables.

Ce qui importe pour ces gens c’est le rapport coût (humain) / bénéfices. C’est en tout cas ce qu’ils claironnent. Il y a toutefois peu de chance que les résidents des Éhpad (Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) viennent se plaindre haut et fort si des réactions inattendues accélèrent leur passage dans l’autre monde. Ce sera évidemment mis sur le dos du Covid… La poussée de fièvre covidesque du mois de mars et d’avril, au plus fort du confinement, aurait entraîné le décès indu de quelque 16.000 (25.000 aux dires du Pr. Perronne [6]) personnes âgées séquestrées dans les établissements et dans leur chambre… Ajoutons que ceux dont le pronostic vital n’était pas très brillant, se voyaient illico expédiés ad patres (à la discrétion d’une décision individuelle), grâce (!) à une injection de Rivotril (sans accord et sans avertissement des familles) !

On comprend mieux pourquoi il est maintenant si urgent et si important de vacciner en priorité les plus vulnérables… Ça ne sera pas a priori pour les sauver mais pour leur faire - le cas échéant - essuyer les plâtres de vaccins sortis d’officines pratiquant sans aucun scrupule une science sans conscience. Toutefois puisqu’il faut des conteneurs spéciaux et une super chaîne du froid pour conserver et acheminer le poison providentiel, cet aspect de la stratégie vaccinale de M. Castex va faire des heureux en stimulant un secteur industriel autrement oublié. Question subsidiaire : le produit injecté le sera-t-il à - 80°C comme annoncé pour son entreposage et sa conservation ?

Donc M. Vaccin ne sait rien, il est l’homme le moins informé du pays - « Pour l’instant, nous ne disposons que des communiqués de presse de la part des industriels, nous attendons avec impatience des publications scientifiques ». Cela devrait en décourager plus d’un (mais la masse des Céfrans fait-elle seulement l’effort de s’informer au minimum ?). Quoiqu’il en soit, le bon M. Fischer semble avoir voulu, dès sa nomination, se prémunir contre un possible retour de bâton le jour où il faudra se résoudre à rendre des comptes… Parce qu’aujourd’hui, les recours se multiplient à l’encontre du gouvernement, pour sa gestion de la crise et les dommages collatéraux déjà repérables et prévisibles (plaintes entre autres pour “crime contre l’humanité”, les confinements devant s’avérer à l’arrivée plus meurtriers que le mal qu’ils étaient censés combattre). Ceci indépendamment du fait que les laboratoires en cas de pépin se trouvent automatiquement exonérés de toutes responsabilités quant aux incidences fâcheuses de leurs concoctions vénéneuses… Ce sont les États qui devront prendre en charge les dédommagements des possibles victimes collatérales de la vaccination !

Que les choses soient bien claires 

Un dernier mot enfin : de vaccin au sens classique, il n’y en a pas excepté la formule chinoise indisponible pour l’heure sur le marché occidental. Ce que nos gentils politiques – qui se gardent bien de se précipiter pour faire don de leurs personnes à la science et au salut collectif – veulent nous fourguer, ce sont des produits transgéniques jamais testés sur l’homme (sauf par quelques infortunés africains au motif de lutte contre la fièvre hémorragique Ebola… et sans que personne ne sache quelles en ont été les conséquence, bénignes ou gravissimes [7], pour la santé des patients ?). Comme le dit fort à propos le Pr. Christian Perronne les seuls organismes génétiquement modifiés que nous connaissions dans notre environnement sont des oléo-protéagineux (soja) ou éventuellement des choux ou des carottes hydroponiques. Sommes-nous donc des fraises ou des tomates génétiquement modifiés nés dans des serres expérimentales [8] ? Au final, pour les sorciers de l’ingénierie moléculaire, il importe peu qu’il y ait quelques perdants dans le petit peuple des déplorables, des sans-dent et des nuls et de ceux dont « l’espérance de vie est résiduelle », pourvu qu’il ait quelques magnifiques gagnants tel le PDG de Pfizer qui a eu la bonne idée de vendre les actions qu’il détenait et de réaliser ainsi une fructueuse opération boursière.

Reste que les jeux étaient faits par avance… En juillet 2020 le Conseil Scientifique avait émis un avis circonstancié sur les futurs vaccins ne recommandant d’entrée de jeu une obligation vaccinale sans envisager pour autant « une stratégie vaccinale fondée sur des choix purement individuels ». De l’art et de la manière de dire tout et son contraire dans la même phrase. En novembre laHaute Autorité de Santé lançait une enquête en vue d’assurer la transparence de la campagne de vaccination et la Commission européenne signait six contrats non transparents eux (le moins que l’on puisse dire car l’on n’en connaît pas les négociateurs) pour une vaccination complète de 1,2 milliard d’individus (deux injections sont nécessaires avec le Pfizer), soit des enjeux financiers colossaux ! Or de toute évidence, Big Pharma et Gros sous font bon ménage surtout si l’on a le mauvais goût d’imaginer que l’affaire du vaccin – dont personne ne connaît à ce jour l’efficacité ou l’innocuité bis repetita – suit le même cheminement que celui du Remdésivir, le médicament miracle qui devait évincer avec pertes et fracas l’hydroxychloroquine… qui elle ne coûtait rien (5€) au contraire de son concurrent de chez Gilead, 2076 € pour un traitement individuel de cinq jours (prix en juin 2020) ! Y avait pas photo, à ce prix-là ce Remdésivir ne pouvait être que cent fois meilleur ? Non ? Le 2 octobre, l’Agence européenne du médicament découvrait cependant tout à trac qu’il pourrait y avoir « des problèmes rénaux aigus » liés à l’usage du Remdésivir.

Reste que les jeux étaient faits par avance… En juillet 2020 le Conseil Scientifique avait émis un avis circonstancié sur les futurs vaccins ne recommandant d’entrée de jeu une obligation vaccinale sans envisager pour autant « une stratégie vaccinale fondée sur des choix purement individuels ». De l’art et de la manière de dire tout et son contraire dans la même phrase. En novembre laHaute Autorité de Santé lançait une enquête en vue d’assurer la transparence de la campagne de vaccination et la Commission européenne signait six contrats non transparents eux (le moins que l’on puisse dire car l’on n’en connaît pas les négociateurs) pour une vaccination complète de 1,2 milliard d’individus (deux injections sont nécessaires avec le Pfizer), soit des enjeux financiers colossaux ! Or de toute évidence, Big Pharma et Gros sous font bon ménage surtout si l’on a le mauvais goût d’imaginer que l’affaire du vaccin – dont personne ne connaît à ce jour l’efficacité ou l’innocuité bis repetita – suit le même cheminement que celui du Remdésivir, le médicament miracle qui devait évincer avec pertes et fracas l’hydroxychloroquine… qui elle ne coûtait rien (5€) au contraire de son concurrent de chez Gilead, 2076 € pour un traitement individuel de cinq jours (prix en juin 2020) ! Y avait pas photo, à ce prix-là ce Remdésivir ne pouvait être que cent fois meilleur ? Non ? Le 2 octobre, l’Agence européenne du médicament découvrait cependant tout à trac qu’il pourrait y avoir « des problèmes rénaux aigus » liés à l’usage du Remdésivir.

Un déroulé exemplaire… le 7 octobre « un contrat-cadre de passation de marchés communs » est conclu entre Gilead et la Commission européenne sur une commande de 500.000 traitements de Veklury (nom commercial du Remdésivir) pour un montant estimé à 1,035 milliard d’euros, alors que Gilead connaissait déjà les résultats négatifs des essais cliniques de l’OMS… Mais apparemment pas les Commissaires européens. Le 14 octobre, le ministère de la Santé informait les services hospitaliers qu’ils pouvaient utiliser ce produit gratis pro Deo. Le 20 novembre, l’Organisation mondiale de la santé prend position contre l’administration du Remdésivir aux malades du Covid-19 hospitalisés. Entre-temps, Gilead a fait savoir à ses actionnaires que les ventes de Remdésivir avaient rapporté au troisième trimestre 2020 quelque 900 millions de dollars… ! Il est à prévoir que les vaccins tombés du ciel pourraient connaître un sort analogue à celui du prodigieux médicament (surtout pour les agioteurs) et finir eux aussi rapidement à la poubelle !

Trump et Macron  : fin de partie

Finalement, si D. Trump finissait par avoir gain de cause, ce qui n’est pas totalement à exclure en dépit de la féroce guerre médiatique et juridique que livre le camp progressiste/mondialiste au peuple américain (c’est-à-dire aux classes laborieuses chrétiennes, indépendamment de la couleur de peau) l’un des piliers du mensonge universel s’écroulerait entraînant peut-être avec lui l’hypnose hologrammique de la pandémie ? Parce que les deux mégas mensonges actuels, électoral là-bas et covidesque ici sont un tout à comprendre et à penser dans le contexte du projet globaliste. Car les oligarchies mondiales forment un réseau, une Toile où les différents gouvernements sont politiquement coordonnés et interdépendants – ÉUA, Royaume-Uni, Canada, Nouvelle-Zélande, Australie, France, Allemagne – ce qui suffit en soi à expliquer (indépendamment de la prise régulière de substances neurostimulantes) l’assurance (et la suffisance) du sieur Macron en toutes circonstances.

Un président fantoche exécuteur des basses œuvres mondialistes en France (nation atteinte d’une grave affection auto-immune et devenue à son insu la Fille aînée de l’Église cosmopolitiste), qui compte bien nous en faire baver d’ici 2022 parce qu’au-delà ses ambitions sont certainement ailleurs… Peut-être se voit-il déjà, à l’instar de Giscard – les cheveux en sus - dans le costume de président d’une Union fédérale européenne ? Son programme, en politique intérieure n’est-il pas l’installation d’un communautarisme à l’anglo-saxonne [9] ? Et l’on peut craindre que le rythme n’aille crescendo… Considérons que la Constitution trahie dans les grandes largeurs en vertu d’un état d’urgence sanitaire prolongé sine die, a mis fin de facto à l’État de droit.

Merci M. Macron de nous avoir ainsi dessillé et fait voler en éclat le mythe de la démocratie républicaine. Notons que, dans son entretien du 30 novembre sur le site planétarien Brut, le président a trouvé intéressant de glisser en guise d’avertissement sibyllin qu’en 2022 « peut-être que je ne pourrai pas être candidat. Peut-être que je devrai faire des choses dans la dernière année, dans les derniers mois, dures parce que les circonstances l’exigeront et qui rendront impossible le fait que je puisse être candidat. Je n’exclus rien. On a vécu des choses absolument imprévisibles ». Nous voici prévenus (on appréciera au passage la qualité de l’expression verbale d’un homme soi-disant cultivé !), mais qu’est-ce à dire ? Quelles sont les circonstances pouvant le conduire à prendre des mesures « dures » ? Un troisième confinement puis un énième, annoncés et claironnés dès à présent dans les médias ? Un krach financier suivi de la taxation de l’épargne (85 milliards d’euros en octobre dernier… un fascinant Pactole) ? Un embrasement des banlieues débouchant sur des affrontements intercommunautaires ? L’arrivée de centaines de milliers voire d’un ou deux millions d’Algériens fuyant leur pays - si bellement délivré du joug colonial – en proie au chaos ? Dans cette perspective l’on comprendrait mieux la suspension de tous les droits élémentaires et autres atteintes aux libertés fondamentales que les Français subissent (et auxquels ils se soumettent un peu trop docilement) sous couvert de l’état d’urgence sanitaire, laquelle serait alors interprétables comme une préparation ou une répétition de ce qui pourrait advenir en pire dans les mois à venir ?

6 décembre 2020

Notes

[1L’expression est aujourd’hui associée à la pièce « La Résistible Ascension d’Arturo Ui » écrite en 1941. Une parabole sur la prise de pouvoir par Adolf Hitler transposées dans le milieu du crime aux États-Unis où Brecht s’était installé. Toutefois Brecht avait commencé sa carrière en 1919 avec Tambours dans la nuit aussitôt après l’écrasement des communistes spartakistes par les socio-démocrates fondateurs le 9 novembre 1918 de la République de Weimar. On sait la violente haine qui opposait alors bolchévistes et réformistes pourtant tous deux issus d’une même matrice matérialiste et messianique.

[2“Sud Radio” 4 déc. 2020 https://www.youtube.com/watch?v=aW1...

[3Le Danemark vient de connaître neuf jours de manifestations en continu pour refuser une loi devant rendre obligatoire la vaccination forcée pour certaines catégories de la population. Finalement la mobilisation populaire l’a emporté et cette scélérate a été retirée https://www.youtube.com/watch?v=bOA...

[4Alain Fischer – M. Vaccin - est président du Conseil d’administration de la Fondation Edmond de Rothschild pour la recherche scientifique. Vice-Président : M. Benjamin, baron (!) de Rothschild ; Secrétaire général : Julien Gottsmann ; Trésorier : Firoz Lakak. Un véritable soviet !

[5CNews 4 dec. 2020 “Vaccin ! Incroyable mais vrai...” youtube.com/watch ?v=irIk7Wivkog&feature=youtu.be

[6In « Y a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise ? » et BFMtv 23 juin 2020.

[7La palette des effets secondaires est variées, mais généralement minimisés comme par exemple à la suite de la vaccination contre le virus H1N1 (grippe A). Parmi les effets les plus délétères recensés ici ou là : scléroses en plaque, myofasciites à macrophages, syndrome de Guillain-Barré, cancers, etc.

[8Pr Christian Perronne : « Moderna, Pfizer, ce ne sont pas des vaccins, c’est de la thérapie génique » 2 décembre 2020. https://www.youtube.com/watch?v=2fc...

[9Macron entretien du 30 novembre sur “Brut” : « Il y a toute une part de notre Histoire qui parle à une jeunesse qui est noire ou maghrébine, et ils sont nos héros. Simplement, on ne les a pas reconnus, on ne leur a pas donné une place ». Ce que le président s’empresse de faire, place aux bronzés ! Une menace beaucoup plus large que celle réduite au simple islam.

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