Le Green New Deal a pour but de réduire les émissions de carbone et donc ralentir le changement climatique, mais cette doctrine contient d’autres motivations politiques qui ne sont pas directement liées à la politique climatique, c’est une nouvelle dictature contre les économie détentrices d’énergie fossile comme la Russie, l’Arabie Saoudite et les économies dominantes comme la Chine et l’Inde.
L’administration Biden nous donne les raisons de cette promesse maquillée en vert :
. Une transition de 10 ans vers un réseau électrique exclusivement à faible émission de carbone ;
. Des transports ferroviaires à grande vitesse en nombre suffisant pour que les voyages en avion deviennent inutiles
. Garantir des emplois syndiqués avec un salaire permettant de subvenir aux besoins de la famille, des congés familiaux et médicaux adéquats, des vacances payées et la sécurité de la retraite pour tous les habitants des États-Unis
. Des soins de santé universels
. La garantie d’un logement pour chaque Américain ; et la sécurité alimentaire pour tous les habitants des États-Unis.
Ca parait beau mais ça ne tient pas sur le raisonnement.
Une fois que le réseau électrique aura été complètement transformé en énergie « propre », la modernisation coûteuse de toutes les structures aux États-Unis ne sera pas bénéfique pour l’environnement. Une telle modernisation n’aurait aucun impact sur les émissions.
Si tous les américains bénéficient d’un bon revenu, pourquoi est-il nécessaire de fournir des programmes pour l’alimentation, le logement et les soins de santé ?
Le dispositif d’électricité renouvelable va faire passer la facture d’électricité mensuelle moyenne de 111 dollars à 295 dollars selon les chiffres de American Action Forum.
Le Green New Deal va couter très cher aux américains. Le gouvernement fédéral va dicter leur quotidien avec une énorme dépense de 93 000 milliards de dollars.
Cette bulle spéculative, permettra la mise en place de la nouvelle monnaie numérique des banques centrales.
Le chef de cabinet de l’AOC admet que le Green New Deal n’a rien à voir avec le changement climatique
Jack Crowe
12 juillet 2019
Le chef de cabinet de la représentante Alexandria Ocasio-Cortez, Saikat Chakrabarti, a récemment admis que la véritable motivation derrière l’introduction du Green New Deal est de réviser « l’ensemble de l’économie. »
Chakrabarti a déclaré que la lutte contre le changement climatique n’était pas la principale priorité d’Ocasio-Cortez lorsqu’elle a proposé le Green New Deal lors d’une réunion avec le gouverneur de l’État de Washington, Jay Inslee.
« Ce qui est intéressant avec le Green New Deal, c’est qu’à l’origine, il n’était pas du tout question de climat », a dit Chakrabarti au directeur du climat d’Inslee, Sam Ricketts, selon un journaliste du Washington Post qui a assisté à la réunion pour un profil publié mercredi.
« Est-ce que vous pensez que c’est une question de climat ? » Parce que nous pensons vraiment qu’il s’agit d’une question de comment changer l’ensemble de l’économie", a-t-il ajouté.
Le Green New Deal, proposé en début d’année par Ocasio-Cortez et le sénateur Ed Markey (D., Mass.), permettrait à l’économie américaine de s’affranchir entièrement des combustibles fossiles dans un délai de dix ans, tout en offrant une garantie fédérale en matière d’emploi et de soins de santé. Selon ses promoteurs, elle ferait également progresser « la justice sociale, économique, raciale, régionale et sexiste, ainsi que l’égalité et la propriété coopérative et publique ».
Au total, la proposition coûtera jusqu’à 93 000 milliards de dollars en nouvelles dépenses publiques sur dix ans, selon un rapport récent de l’organisation conservatrice American Action Forum.
