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Macron Zelensky, un accord bilatéral de 3 milliards qui reste flou

samedi 17 février 2024

L’accord bilatéral de sécurité entre la France et l’Ukraine signé cette semaine n’est pas encore connu et ne figure pas dans l’agenda parlementaire de défense. Ce flou législatif laisse penser que le président est seul à décider des dettes qu’il impose au français sans justifier et clarifier le contenu de l’accord. La loi de programmation militaire pour 2024 a augmenté notre budget de défense avec des moyens limités sur les opérations extérieures après le retrait français de certains pays africains.

Macron a signé cet accord comme s’il représentait la Supra nation Européenne, sans donner les principes ni le financement. Cette opacité diplomatique se réfère aux engagements passés lors du dernier sommet de l’OTAN à Vilnius (Lituanie) en juillet 2023. Cette rencontre des pays du G7, a abouti à aider financièrement et militairement l’Ukraine pour faire durer le conflit qui l’oppose à la Russie. Nous suspectons que ces accords profitent aux fonds de gestion d’actifs comme BlacRock, qui ont quitté le marché climatique non rentable, pour engranger des profits plus rapides et plus sécurisés avec la guerre.

La stratégie de la guerre, du point de vue des militaires est devenue obsolète, puisque ce sont les marchands d’armes qui donnent les ordres à Washington et à Bruxelles. Ces aides militaires sont en quelque sorte une subvention de l’économie de guerre qui ne profite pas à l’armée ukrainienne composée de mercenaires étrangers et de conscrits sous entraînés, enrôlés de force sur le front de bataille.

Les anglais et les allemands ont été les premiers à signer ces accords avec Zelensky, avant qu’il ne se rende en France. L’agenda de Zelensky ressemble à s’y méprendre à celui de son épouse qui fait ses emplettes dans les magasins de luxe de Paris et New York, dilapidant les impôts des citoyens des pays appartennant au G7.
L’Elysée a précisé que la France couvrirait le « soutien militaire dans la durée », ainsi que « le soutien économique et en matière d’assistance civile, pour renforcer la stabilité économique et la résilience de l’Ukraine ».
L’Ukraine a besoin de 7 milliards de dollars mensuels pour couvrir les frais de fonctionnement du pays et payer l’aide militaire. Sans l’intervention du FMI, ce pays, qui est en faillite, représente un risque de défaut de paiement pour tous ceux qui le finance. L’argent reçu et dépensé sans commune mesure, a attiré l’attention du chef de la CIA, William Burns, qui a rencontré secrètement Zelensky pour lui demander de mieux gérer l’aide financière et éviter les débordements de détournement et de corruption en Ukraine.
La CIA tente de lutter contre la corruption en Ukraine et de freiner les détournement de l’aide américaine et européenne par Zelensky, qui semble incontrôlable et très gourmand de cet argent qui arrive dans les caisses de son pays.

Au-delà des accords de Vilnuis, Zelensky demande un accroissement de l’aide française et européenne puisque le congrès américain ne veut plus financer cette guerre qui siphonne les impôts des américains et condamne le projet de sécurisation de la frontière américano-mexicaine. Les américains en ont plus qu’assez que l’état fédéral finance un voyou qui donne des millions à son épouse pour les dépenser en bijoux ornées de diamants.

Dans ce contexte ubuesque, l’armée ukrainienne réclame toujours plus d’aide militaire en raison de la pénurie d’obus et de l’accroissement de la productivité militaire russe.
Les engagements d’aide militaire de l’Europe pour l’Ukraine, sont de l’ordre de 50 milliards d’euros. La commission européenne n’a pas tenu ses promesses puisque la moitié des obus ne seront livrés qu’en mars 2024, le complexe militaro-industriel européen n’a pas la capacité de produire aussi vite que celui de la Russie.

Il faut donc se poser les bonnes questions :

  • Comment l’Ukraine peut elle gagner cette guerre si les capacités de l’OTAN sont plus faibles que celles de Poutine ?
  • Pourquoi financer encore et encore ce pays qui n’a pas obtenu de victoire majeure sur le front ?
  • Pourquoi devons nous accepter de laisser Macron dilapider l’argent des français ?

L’industrie militaire et de la défense est un sujet controversé. Même si, pour des raisons morales compréhensibles, les actions du secteur de l’armement sont un investissement à proscrire pour beaucoup, l’industrie est florissante, surtout en période de crise. En effet, les clients des entreprises d’armement sont presque exclusivement des États, qui disposent généralement de budgets importants. En outre, les technologies des entreprises aérospatiales, militaires et de défense sont souvent utilisées dans l’aviation civile et la navigation spatiale après leur introduction. (source Just EFT)
l’EFT qui se porte le mieux est celui de l’OTAN
HANetf Future of Defence UCITS ETF avec +18,68% en six mois.

Les entreprises cotées en bourse et actives dans l’industrie militaire et de la défense peuvent être regroupées dans un indice d’actions et rendues investissables par le biais d’un ETF.

La réponse semble claire, la guerre en Ukraine est un prétexte de détournement géant de nos impôts au profit des fonds de gestion d’actifs qui gangrènent notre économie.
Les ETF, Exchange Traded Funds ou fonds indiciels cotés en Bourse, sont déjà utilisés par les banques privées, les caisses de pension et les organismes publics. Aujourd’hui, le capital investi dans les ETF au niveau mondial est de 7860 milliards de dollars.
https://www.etfstream.com/articles/...

BlackRock est devenu le troisième investisseur à entrer dans la bataille des ETF de défense en Europe en 2024. Cette structure économique s’intègre dans les plans du capitalisme inclusif et des critères ESG. Ces indices permettent aux pays de financer des lobbyies de l’armement au détriment de leur propre armée. L’OTAN, comme BlackRock, possède un fond d’investissement appelé Future of Defence UCITS ETF (NATO). https://www.zonebourse.com/cours/et...

l’OTAN regroupe 11 des 20 premières entreprises de défense. BlackRock regroupe sept des 10 premières entreprises, y compris des entreprises chinoises. Vanguard suit aussi avec une préférence pour le marché chinois.
La guerre du 21 ème siècle n’est plus dans les stratégies des généraux, elle est dans la stratégie des marchés spéculatifs.
La guerre en Ukraine a encore de beaux jours pour dilapider nos milliards dans les fonds spéculatifs de L’OTAN et de BlackRock. Cette guerre devait durer longtemps selon l’expression de Macron, il n’a jamais été question de penser une seule fois à la victoire, il faut gagner, gagner, gagner, beaucoup d’argent en détournant nos impôts dans des fonds spéculatifs avec la mise en scène des marionnettes du G7, qui ne sont que des VRP au costard bien taillé qui mentent avec la complicité des médias et qui censurent les réalités du front ukrainien sur les réseaux sociaux pour financer des fonds spéculatifs qui vivent à nos crochets.
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