Les complotistes avaient raison. Depuis le 23 juillet 2024, la journaliste Ava Velázquez a mis en ligne tous les documents de la cellule de crise de l’Institut Robert Koch (RKI), connus sous le nom de « dossiers RKI », sans que personne ne puisse dénoncer leur authenticité. Les médias et le ministère de la santé ont censuré tous les avis divergents qui dénonçaient l’arnaque Covid. Le résultat de l’examen de ces documents prouvent qu’ils étaient tous complices pour cacher la vérité de cette opération psychologique qui a donné le feu vert à une vaccination qui a tué des êtres innocents.
Les données concernant les enfants :
- « Les enfants ne sont pas des maillons importants dans les chaînes de transmission » (procès-verbal du RKI du 26 février 2020).
- « Il est peu probable que la fermeture des écoles ait eu un impact majeur sur le contrôle des épidémies » (24 avril 2020).
- « Cependant, l’opinion selon laquelle les écoles et les enfants sont des super propagateurs doit être réfutée » (4 août 2020). I
Quiconque exprimait ces opinions pendant la pandémie était dépeint comme un complotiste, un trouillard ou un négationniste du coronavirus par l’ensemble des pédiatres, des virologues et des politiques.
Les données concernant des masques :
- Le port des masques n’était qu’une protection minime (14 mai 2020).
- L’obligation de porter un masque pour les élèves de l’école primaire est discutable (10 octobre 2020).
- La protection des masques en tissu ou des masques FFP2 n’est pas clairement prouvée (21 avril 2021).
Les données concernant la vaccination :
- 12 cas de thrombose veineuse sinusale après la vaccination AstraZeneca, ces femmes étaient toutes âgées de moins de 55 ans (9 mars 2021).
- Actuellement, les rappels vaccination des enfants sont recommandée par le ministère, bien qu’il n’y ait pas de recommandation ou d’approbation à ce sujet" (15 décembre 2021).
L’indépendance de l’Institut Robert Koch :
- L’indépendance scientifique du RKI vis-à-vis de la politique est limitée à cet égard" (10 septembre 2022).
Pendant la pandémie, le soupçon d’une influence politique sur les experts scientifiques a conduit à l’accusation d’appartenir aux complotistes.
La publication des « dossiers du RKI » marque un tournant dans l’histoire de la recherche allemande sur les coronavirus, paradoxalement parce qu’elle révèle une vérité évidente : dès le départ, les actions des responsables politiques allemands étaient scientifiquement faux. Elles étaient motivées par des considérations politiques. Le virologue Christian Drosten, conseiller principal du gouvernement allemand, ose affirmer qu’il n’y a eu aucun conflit avec les scientifiques.
Il est remarquable que les mêmes journalistes scientifiques et les « experts » officiels qui, pendant la pandémie, ont joué le rôle d’organe de propagande de la politique gouvernementale et ont attaqué toute opinion divergente, agissent aujourd’hui comme si la controverse qui vient d’être révélée par les dossiers du RKI était connue depuis longtemps.
Ce n’est pas une coïncidence si c’est une journaliste indépendante, et non les médias traditionnels, qui a obtenu le dossier complet auprès d’un lanceur d’alerte.
Aya Velazques, a été traité de complotiste par la Cour constitutionnelle pour avoir attaqué l’État de droit. La véritable menace pour la démocratie et l’État de droit était la censure des opinions qui s’opposait au protocole sanitaire du ministère de la santé allemande.
Maintenant il est urgent de déclencher une enquête parlementaire au Bundestag. Cette enquête devrait impliquer toutes les institutions comme la Chancellerie et l’Académie allemande des sciences, qui ont également joué un rôle décisif en coulisse.
Les dossiers du RKI ne ne sont que le début de la révélation de cette manipulation.