Économistes, chefs de petites ou moyennes entreprises,représentants d’organisations internationales, dirigeants de multinationales, entrepreneurs sociaux, acteurs du monde académique, sociologues, climatologues...
Le groupe de réflexion sur l’économie positive a réuni un large groupe de personnalités,françaises et internationales, issues d’horizons très divers, pour permettre des échanges vifs, riches et nourris, une appréhension la plus large possible du thème abordé et l’émergence de propositions ambitieuses destinées à rompre avec le système économique actuel.
Voilà la présentation que l’on peut lire sur le PDF visible en bas d’article pour comprendre que l’initiative vient du chef de l’Etat.
Attali propose un remède à la maladie qu’il a crée, être à la fois le problème et la solution nous semble être une manipulation mentale qui ne cesse de s’exercer depuis le mandat de Nicolas Sarkozy « travailler plus pour gagner plus ».
Encourager « une économie positive ».
« les enjeux de l’environnement, les injustices, le racisme, l’éducation, l’emploi, l’inégalité entre les sexes, la démocratie, la lutte contre la corruption (…) Il faut réfléchir aux enjeux de très long terme pour notre pays et la planète et essayer de proposer des solutions concrètes pour qu’on sorte de l’urgence. »
« celle qui prend en compte l’avenir de ses enfants, l’intérêt des générations suivantes. Celle qui fait passer le long-terme avant le court-terme, y compris sur les marchés financiers, ce qu’on appelle le capitalisme patient ».
« Il est très important, et c’est le rôle du gouvernement, de pousser les investisseurs à prendre des décisions, non pas en fonction de leur intérêt immédiat mais en fonction de leur intérêt de long terme »
En marketing le « risque » est l’élément perturbateur des stratégies. Le facteur premier du risque en démocratie c’est le peuple, et par cette « économie positive » nous allons être soumis à encore payer une dette financée par l’assistance sociale pour ne plus demander de compte comme le font les "gilets jaunes.
Le long terme est urgent, la démocratisation du monde nous attend !!!!
tout comme l’’accession à la classe moyenne.
Attali a raisonné par l’absurde : imaginons un monde où il n’y aurait plus de naissance, une lutte de chacun pour sa survie, les survivants du monde, ce monde c’est l’enfer. C’est le risque de somalisation du monde, un pays qui n’a pas d’Etat plus de droit, concilier le long terme avec la démocratie ce n’est pas possible.
La démocratie pousse au court terme, la dictature au long terme.