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L’OMS, Ferguson et Agnès Buzyn ont vendu leur « prophétie apocalyptique » à la France.

vendredi 8 mai 2020

L’état d’urgence sanitaire est une mesure exceptionnelle pouvant être décidée en conseil des ministres en cas de catastrophe sanitaire, notamment d’épidémie, mettant en péril la santé de la population.
L’état d’urgence est déclaré la première fois par décret en conseil des ministres sur le rapport du ministre chargé de la santé (Buzyn, Véran, Salomon) pour une durée maximale d’un mois. Le décret détermine la ou les circonscriptions territoriales dans lesquelles il s’applique. Les données sanitaires sur lesquelles s’appuie le décret sont rendues publiques.

Au-delà d’un mois, sa prorogation doit être autorisée par la loi. La loi de prorogation fixe la durée de l’état d’urgence sanitaire. Un décret pris en conseil des ministres peut mettre fin à l’état d’urgence sanitaire avant l’expiration du délai fixé par la loi.

Les mesures prises dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire prennent fin dès qu’il est mis fin à l’état d’urgence sanitaire.

L’apocapypse selon Neil Ferguson

Le Centre de l’Imperial College de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) publique a été créé en 2007 pour soutenir le travail de l’OMS et son objectif fondateur : « Permettre à tous les peuples d’atteindre un niveau de santé le plus haut qu’il soit ». Les deux organisations reçoivent un soutien financier de la Fondation Bill & Melinda Gates.
Neil Ferguson, épidémiologiste de l’Imperial College et du comité scientifique de Boris Johnson, a démissionné ces jours-ci ( il recevait en cachette sa maîtresse ) en ne respectant pas les règles de confinement qu’il avait modélisées et conseillées auprès de plusieurs gouvernements comme le Royaume Uni, la France et les Etats Unis.

Sa modélisation mathématique a établi différents scénarios de progression de l’épidémie qui étaient catastrophiques, évaluant des milliers, voir des millions de morts comme pour la grippe espagnole. Cette modélisation s’appuie sur l’analyse de plusieurs pandémies grippales et propose différentes interventions avec la fermeture des écoles, la quarantaine des personnes infectées, et la fermeture des frontières.

Fergusson à Macron « si tu ne confines pas, il y aura 500000 morts en France »
La France a étudié la « prophétie apocalyptique » le jeudi 12 mars à l’Elysée, soit quelques heures avant que Macron prenne la parole pour expliquer « l’urgence » de la situation aux français et qualifier cette épidémie de « guerre ».

« Pour une épidémie non maîtrisée, nous prévoyons que la capacité en lits de soins intensifs sera dépassée dès la deuxième semaine d’avril, avec un pic de la demande en soins intensifs plus de 30 fois supérieur à l’offre maximale possible dans les deux pays et un nombre total de décès de 510000 en Grande Bretagne et de 2,2 millions aux USA, et cela sans tenir compte des morts supplémentaires liées à l’absence de traitement d’autres maladies du fait de la saturation des hôpitaux. »

Les hypothèses retenues ainsi que le comportement du virus ont suscité des incertitudes de l’Etat avec des chiffres qui donnaient le vertige. La simulation pour la France était de 300 000 à 500 000 morts . Simon Cauchemez, épidémiologiste de l’Institut Pasteur, disait que « même en divisant par deux, trois ou quatre, c’est une situation très sérieuse »

Le conseil scientifique a présenté à Emmanuel Macron les chiffres et les différentes modélisations, mais quid des recommandations du professeur Raoult ?

C’est à ce moment précis que la« guerre » médiatique anti-Raoult a commencé, l’épidémiologiste de Marseille ne conseillait pas de confiner l’intégralité de la population française. L’influence de l’institut Pasteur, l’INSERM et le Conseil scientifique ont eut raison de sa patience et il a préféré claquer la porte et quitter le conseil scientifique. Le rapport de force étant en sa défaveur.

L’Elysée a défendu son choix en mentant et en déclarant :
« Mais si l’un des scientifiques avait mis son veto à l’une des mesures envisagées, cela aurait été pris en compte. Cela n’a pas été le cas ».

Ce qui montre que le confinement n’est pas seulement dû à la modélisation de l’Imperial College, il est de la volonté préméditée du chef de l’Etat qui a pris une décision que l’on peut étrangement qualifier de très rapide, ou incroyablement opportuniste.

L’Elysée a réagi pour minimiser l’étude anglaise en évoquant les chiffres du ministère de la santé : « Mais les chiffres évoqués [de 300 000 à 500 000 morts en cas d’absence de mesures d’endiguement] sont infiniment supérieurs à ceux communiqués par le ministère de la santé, ils apparaissent disproportionnés  ». Si l’Elysée ne voyait pas l’exagération de l’estimation, il a pourtant pris la responsabilité de paralyser le pays, contrairement aux Suédois.

Retour le 24 février 2020.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré que le monde est entré en « Phase 6 » de pandémie. Comme si l’intox anglaise n’avait pas suffit, il y a au départ une lourde responsabilité de l’OMS qui estimait qu’un animal était « la source primaire la plus vraisemblable », avec « une transmission limitée d’humain à humain par contact étroit ». C’est aussi à ce moment précis qu’Agnès Buzyn a préféré démissionner, et nous la comprenons maintenant, le mensonge était trop lourd à assumer, elle a tout « balancé ».

« Quand j’ai quitté le ministère, assure-t-elle, je pleurais parce que je savais que la vague du tsunami était devant nous. Je suis partie en sachant que les élections n’auraient pas lieu. »
« Je me demande ce que je vais faire de ma vie. »
« Depuis le début je ne pensais qu’à une seule chose : au coronavirus. On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade. La dernière semaine a été un cauchemar. J’avais peur à chaque meeting. J’ai vécu cette campagne de manière dissociée. ».
« J’ai repris les propos de l’OMS »

Un déferlement médiatique a suivi ses déclarations car on comprenanit que la crise était bien plus grave que ce que l’on disait et qu’elle avait délibérément menti à la France. Ses propos ont pour l’occasion validé à la fois les dires de l’OMS et les prévisions alarmistes de l’Imperial College de Londres.
Avec le recul que nous avons maintenant, il est fort à parier que madame Buzyn est pour la France, un pivot de l’opération psychologique planétaire qui s’articule dans l’effondrement d’un système bancaire sous perfusion des banques centrales et à l’organisation mondialiste opposée à la réélection de Donald Trump.

Orwell 1984

Le lobbying de Bill Gates qui corrompt à tout de bras tout ce qui touche à l’obtention d’un contrôle de la population inaugure ce que disait l’auteur et romancier George Orwell en 1949 dans son ouvrage intitulé 1984.

La dystopie décrite dans le roman « 1984 » de George Orwell, vieux de près de 70 ans, nous est maintenant familière. Un monde dans lequel Big Brother ou peut-être l’Etat profond est toujours à l’écoute grâce à des appareils de haute technologie pouvant écouter les gens jusque dans leur domicile.

Les politiques du ministère de la santé allié au ministère de l’intérieur et du secrétariat au numérique promettent un bracelet électronique à ceux qui ne seront pas traçables par manque d’équipement en smartphone. Ce qui est qualifié de « smart »nous rend dépendant et idiot.

« L’existence même de la réalité extérieure a été tacitement niée par leur philosophie. L’hérésie des hérésies était le bon sens ». Indépendamment des faits, « Big Brother est omnipotent » et « le Parti est infaillible ».
« La liberté, est la liberté de dire que deux plus deux font quatre », même si le Parti oblige à accepter que « DEUX ET DEUX FASSENT CINQ »

Agnès Buzyn porte la responsabilité d’avoir permis à l’OMS de prendre les commandes du plan d’urgence sanitaire et de détruire le peu desouveraineté qui nous restait. Sa complainte personnelle face à cette crise n’est qu’un morceau du scénario qui n’aurait pas été si catastrophique si elle n’avait joué sa partition jusqu’aux larmes pour augmenter sa fausse sincérité.

Rappelons-nous, c’est ce jour là que le peuple français a basculé dans la terreur.

Geopolintel Mai 2020

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