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Macron veut la « majorité » à l’assemblée nationale avec la peur du Covid

lundi 27 juin 2022

La presse à la « langue nettoyeuse » et subventionnée par l’aide présidentielle, prévoyait que Macron aurait la majorité à l’assemblée nationale.
Le démographe, Hervé Le Bras, avait fait ses pronostics et pensait que les résultats du premier tour des législatives du parti Renaissance étaient sous estimés.
Il avait anticipé un total de 360 députés et donc la majorité absolue pour voter les lois de Bruxelles et Washington.
« Pour être franc, je ne comprends pas par quel mystère, les sondages anticipent une fourchette de 165 à 205 députés de la Nouvelle union populaire, écologique et sociale (Nupes) dans la prochaine Assemblée ».

La Macronie surfaite et arrogante n’a pas compris que la politique sanitaire de Macron a divisé l’opinion et que la crise économique ou l’effet « c’est la faute de Poutine » ne dure pas longtemps.
Devant tant de lassitude des français le meilleur recours pour avoir la majorité c’est le Covid et son cortège de télétoubibs sponsorisé par Pfizer et Moderna.

Pour cela, Manon Aubry a voté au parlement européen sur les ordres de Mélenchon la prolongation du Pass Vaccinal.
Nous attendions le parti LR pour assoir la majorité de Macron, mais c’est le Nupes qui va finalement être l’agent double du système.
Les socialistes maquillés en Nupes, ont toujours voté l’Europe, même si Ursula Von Der Leyen est d’une incompétence flagrante, doublée d’une romance avec Albert Burla le PDG de Pfizer.

Sans les tests PCR, la fraude du Covid s’effondre

L’hypnose collective que représente la massification des tests PCR inculque que positivité signifie COVID.
Cette « fake news » est répétée par les journalistes et analystes des plateaux de télévision et reste la pierre angulaire de la politique de la dictature sanitaire.
Les tests PCR n’indiquent pourtant que la présence d’un bout de virus mais absolument pas que celui ci est actif et potentiellement infectieux. Avant le Covid, la médecine ne considérait « malades » que les personnes qui avaient des symptômes...
La modélisation mathématique en médecine invente un nombre de cas éventuel et par extrapolation explique que les proches de ceux qui ont eu un test PCR positif sont à risque sans rechercher leur positivité et sont classifiés par un néologisme de programmeur informatique : « cas contact ».

Scientifiquement ça ne tient pas.

Le test PCR COVID-19 est destiné à fabriquer de faux positifs, et son inventeur Kary Mullis le dit : le « test Corona » n’est pas fait pour dépister un virus.
La PCR a joué un rôle central dans la guerre du VIH, une guerre dont on ignore l’existence, et qui dure depuis presque 40 ans.
L’expérience d’un développement de vaccin en Australie a tourné au fiasco.
Le vaccin anti-Covid, qui était en phase d’essai à l’université du Queensland, a provoqué un effet secondaire, qui a justifié sa suspension, car parmi les participants, il y avait de faux tests positifs au VIH-SIDA.

Pourquoi y-a-t’il des particules de VIH dans un vaccin contre la Covid ?
Kary Mullis le dit « Si vous prenez n’importe quel virus, et que vous dépensez 2 milliards de dollars, vous pouvez inventer tout un tas d’histoires mystérieuses à son sujet . »La PCR détecte un très petit segment de l’acide nucléique qui fait partie du virus. Le fragment spécifique détecté est déterminé par le choix quelque peu arbitraire des amorces d’ADN utilisées qui deviennent les extrémités du fragment amplifié.“

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