Depuis la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris, l’occulte s’est affranchi du tabou pour s’étaler en grande pompe en bravant les interdits comme le blasphème de la Cène vécu comme une insulte à la chrétienté. La parodie du dernier repas du Christ avant sa crucifixion, par des acteurs sortis du carnaval républicain, a été un choc. Les détails de cette cérémonie ont montré un danseur exhibant un testicule tout en mimant le signe d’égorgement de la petit fille à sa gauche. L’abject comme le trash est une norme pour la cour élyséenne mais la représentation du dieu Bacchus par le chanteur Philippe Katrine était le summum de cette dépravation par l’invocation des rites sexuels et mortifères.
Si Bacchus représente les pulsions les plus basses il incarne la face cachée de la caste qui s’adonne aux plus grands méfaits dans une totale impunité. Ces rituels de la transcendance sont un des aspects cachés du transhumanisme qui offre un exutoire pour s’adonner aux plus bas instincts.
Philippe Katrine a incarné ce que l’on nomme les Bacchanales, qui a été au cœur d’un scandale politico religieux à Rome en 186 avant Jésus Chirst.
Aebutius était fils d’un chevalier romain, laissé orphelin de bonne heure et ayant perdu aussi ses tuteurs, il fut élevé par sa mère Duronia et son beau-père T. Sempronius Rutilus. Rutilus administra la fortune de son beau-fils de manière à n’en pouvoir rendre compte. Aussi songeait-il à le faire disparaître ou à en faire sa créature.
L’initiation aux mystères de Bacchus était le meilleur moyen de mettre le jeune homme dans sa dépendance. Duronia, d’accord avec son mari, déclare à son fils qu’elle a fait voeu, alors qu’il était malade, de le faire initier, dès sa guérison, aux mystères de Bacchus ; la cérémonie d’initiation aura lieu après une sorte de retraite préparatoire de dix jours.
Hispala Fecenia, sa future femme, lui révéla que les mystères auxquels on veut l’initier sont une école de toutes les corruptions, et le conjure, s’il tient à son honneur et même à sa vie, de ne pas se laisser affilier à la secte des initiés.
Effrayé par la possible révélation de cette initiation, le Sénat vote le fameux sénatus-consulte De bacchanalibus, décrétant l’interdiction de ces rites à travers toute l’Italie.
Philippe Katrine, initié ou ignorant, nous a offert l’image de la plus grande révélation des moeurs de nos élites. Les Bacchanales introduisent le rite de l’omophagie avec des sacrifices humains. Ce rite consistait à dépecer une victime sacrée et à s’assimiler son caractère divin en dévorant sa chair crue. Le sparagmos dans la religion grecque antique, était un acte de démembrement rituel, de déchirement ou de mutilation, généralement dans un contexte dionysiaque. (Bacchus chez les romains)
Si certains ont voulu voir en Dionysos, sur un plateau garni de fruits et de fleurs, le dieu du foulage du vin, c’est ignorer ce rituel démoniaque par le blasphème de la Cène et le signe d’égorgement de cette petite fille par ce danseur habillé de noir. Tout était là pour nous expliquer comment la secte mondialiste use de son pouvoir et tente de se transcender par l’extase du meurtre et l’omophagie.
Cette transcendance démoniaque ne peut être un hasard. Dionysos portait un masque pour tromper, cette fois ci il est tombé pour mettre en avant ces dégénérés qui s’initient aux rituels de l’extase mortifère.
Devant le tollé médiatique les annonceurs des Jeux Olympiques retirent leur publicités pour ne pas déteriorer leur image de marque, et l’après jeux sera terrible avec des pertes à la hauteur de la cérémonie d’ouverture.
Si Dionysos était le dieu de l’extase, du délire et de l’interdit, si la cérémonie d’ouverture singeait les démons au travers les danseurs LGBT, il est certain que cette mascarade est annonciatrice de la chute de l’Empire du pire incarné par le couple présidentiel qui brise tous les tabous y compris celui de nous forcer à adorer l’antéchrist.
Le christianisme a remplacé les anciens dieux romains. Bacchus représentait la victoire sur la mort. Les chrétiens ont délaissé la mythologie en choisissant une autre incarnation de la victoire de la mort, et son nom était Jésus.