La« boule de cristal » des mondialistes va changer de main d’ici peu de temps. The Economist est le magazine le plus influent du monde. C’est une révolution dans l’information et dans le paysage médiatique, puisque ce magazine annonçait (étonnamment mais peut-être pas tant que ça) toujours à l’avance les événements qui allaient bouleverser le monde.
La mondialisation a pris fin avec l’élection de Donald Trump en 2016, coupant net le programme de la présidence Obama et de l’élection avortée d’Hillary Clinton qui devait mettre la planète à feu et à sang par la guerre nucléaire.
Si Lynn Forester de Rothschild, grande amie d’Hillary Clinton et référente de Jeffrey Epstein par l’entremise du PDG de la Barclays de Londres, abandonne son magazine, c’est peut être à cause de son implication dans le réseau qui a compromis les politiciens du monde entier sur l’île Saint James d’Epstein.
Nous constatons, avec délice, que si la liste Epstein n’est pas divulguée, l’administration Trump s’en sert pour mener des négociations et évincer les mondialistes.
Ces dernières années, les acheteurs internationaux, notamment en Asie, se sont rués sur les marques occidentales de médias financiers. L’homme d’affaires thaïlandais Chatchaval Jiaravanon a racheté le magazine Fortune pour 150 millions de dollars en 2018, tandis que le conglomérat médiatique japonais Nikkei a acquis le Financial Times pour 1,3 milliard de dollars en 2015.
La vente du magazine The Economist acte la fin du capitalisme inclusif.
L’ESG devait être l’outil que les mondialistes et les gouvernements utiliseraient pour forcer les entreprises à adopter le modèle du capitalisme inclusif. C’était une sorte de système de crédit social. Plus le score ESG d’une entreprise était élevé, plus elle avait accès aux capitaux et aux prêts faciles.
L’ESG moderne a vu le jour en 2005 avec le changement climatique, en incitant les entreprises à participer au marché des crédits carbone sous peine d’être soumises à des taxes supplémentaires.
Mais en 2016, elle a pris une autre tournure. L’ESG a largement adopté de nouvelles politiques avec notamment la théorie critique des races, le féminisme, l’idéologie transgenre, divers éléments du marxisme, etc.
Ayons une petite pensée pour Sarkozy au fond de sa cellule.
Déclaration de M. Nicolas Sarkozy, Président de la République, sur la refondation d’un nouvel ordre mondial, à New York le 23 septembre 2009.
« Nous sommes en plein milieu d’une crise financière, économique, sociale sans précédent, nous sommes à la veille d’une catastrophe écologique planétaire, nous devons maintenant inventer un monde nouveau où les folies d’hier ne seront plus possibles. C’est la responsabilité qui nous incombe. »
« Je puis vous dire une chose : l’Europe aura une position commune et forte. Je puis vous dire une deuxième chose : nous n’accepterons pas un Sommet qui ne décidera pas. Je puis vous dire une troisième chose : on ira ensemble vers ce nouvel ordre mondial et personne, je dis bien personne, ne pourra s’y opposer. Car, à travers le monde, les forces au service du changement sont considérablement plus fortes que les conservatismes et les immobilismes. »
Game Over
La famille Rothschild va vendre l’intégralité de sa participation dans The Economist
7 octobre (Reuters) - La philanthrope britannique Lynn Forester de Rothschild cherche à céder l’intégralité de la participation de sa famille dans la société mondiale de médias et d’information The Economist, a rapporté mardi Axios, citant une source proche de la transaction.
Selon un document officiel, les Rothschild détiennent une participation de 26,7 % dans la société fondée en 1843, dont environ 20 % en actions avec droit de vote.
The Economist compte également parmi ses principaux actionnaires la branche financière de la famille italienne Agnelli, Exor (EXOR.AS), qui détient une participation d’environ 43,4 % dans la société.
La vente de cette participation, dans le haut de la fourchette, pourrait valoriser l’ensemble du groupe Economist à environ 800 millions de livres sterling (1,07 milliard de dollars), selon le rapport, qui ajoute que la participation totale de la famille pourrait être évaluée à 400 millions de livres sterling.
Les conseillers de Rothschild ont entamé des discussions avec des acheteurs potentiels aux États-Unis et au Royaume-Uni, notamment des family offices et des investisseurs stratégiques, selon le rapport. Le processus est mené par Lazard, comme l’avait précédemment rapporté Bloomberg News.
Les vendeurs espèrent conclure la vente cette année, selon Axios.
The Economist et la famille Rothschild n’ont pas immédiatement répondu aux demandes de commentaires de Reuters.
La dernière transaction majeure impliquant The Economist remonte à 2015, lorsque la société britannique Pearson a vendu sa participation de 50 %, mettant fin à près de 60 ans de propriété du magazine.
Dans son communiqué annuel sur ses résultats, The Economist a annoncé une hausse de 2 % de son chiffre d’affaires, qui s’élève à 368,5 millions de livres sterling, avec environ 1,25 million d’abonnés. Selon son site web, le groupe est présent dans 14 pays, dont les États-Unis, la Chine, l’Inde et les Émirats arabes unis.