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Les Arnaqueurs & les Covidés

mardi 2 juin 2020

Le plus fascinant dans toute cette affaire, c’est encore l’impavidité du rouleau compresseur mondialiste qui continue d’avancer inexorablement et imperturbablement équipé de son arme de destruction massive des cervelles et des peuples  : le mensonge nécessaire à l’asservissement des âmes. Depuis un siècle au moins, pour ne pas remonter plus haut – depuis le torpillage orchestré du Lusitania via Pearl Harbor le 7 décembre 1941 ou l’attaque “terroriste” du 11 septembre 2001 contre les Tours Jumelles [1] - “nous baignons au sein de la Matrice dans l’épais liquide amniotique du mensonge  »  ! À telle enseigne que la composition chimique de notre cerveau et sa “résonance” [2] en ont été partiellement modifiées. Ceci à tel point que, dans un monde abreuvé de pilpoul sophistique, de constant abrutissement télé-audiovisuel sous la férule de commissaires politiques tout droit sortis du ventre putride de l’immonde bête social-démocrate, nous ne percevons plus la réalité qu’en demi-teintes, déformée, grotesque à l’instar des ombres dansant sur les parois de la grotte platonicienne.

En effet, la falsification du réel a, de nos jours, atteint un tel niveau, que désormais une part significative de l’humanité – surtout dans le vieil occident cacochyme - croit dur comme fer que deux et deux font cinq. Le déchaînement de haine à l’encontre du traitement préconisé par le Dr. Raoult en est un exemple éclatant  : peu importe les résultats car il suffit de les nier avec suffisamment d’aplomb et de hargne [3] pour faire taire et pour effacer les plus implacables et irréfragables évidences. Nul, ou si peu, ne pose plus la question élémentaire «  ça marche ou ça ne marche pas  »  ! Aussi, le spectacle que nous offre cette polémique surréaliste – dont les fondements sont ceux de la puissance matérielle adossée à de formidables enjeux financiers - est absolument consternant… et plus encore angoissant pour ce qu’elle révèle de dérive potentiellement totalitaire de nos sociétés vieillissantes… et peut-être finissantes  !

Petit florilège de haines très ordinaires

Boulevard Voltaire publiait le 28 mai un petit florilège que quelques gracieusetés balancées sur les plateaux qui en disent long tant sur l’arrogance sans limites de nos élites issues des sentines génétiques [4] de la République Universelle, que sur leur abyssal mépris du Pays réel… Des gens qui devraient se sevrer de leurs habituelles drogues narcissiques pour se regarder sans fard dans une glace  : le pédomane Daniel Cohn-Bendit sur LCI «  Qu’il ferme sa gueule, y en a marre de ce genre de mecs  !  »  ; «  Est-ce que, psychologiquement, le Pr Raoult n’est pas un fou furieux  ?  » Maurice Szafran, éditorialiste à Challenges  ; «  Raoult  ? C’est un vulgaire youtuber  » Yaël Goosz, chef du service politique de France Inter  ; «  L’animateur d’un Barnum, un clown se donnant en spectacle dans un cirque  » Olivier Duhamel, animateur sur Europe1  ; Alain Duhamel, son frère, cette face d’empeigne  : «  un déséquilibré psychique  »  ; ou encore de «  sombre connard  » twitte Robert Namias, directeur des rédactions du groupe Nice-Matin. S’y ajoute tout un lot d’étiquettes réputées infamantes  : «  populiste  »… «  conspirationniste  »… «  Le Pr. Didier Raoult est devenu une figure centrale des théories complotistes  » dixit “Le Monde”. Pas encore antisémite et négationniste, mais cela ne saurait tarder ! Épithètes et noms d’oiseau plus désobligeants les uns que les autres, mais apportant de précieuses indications quant à la corruption mentale et à la vilenie corrosive d’une classe politico-médiatique grassement rétribuée pour exposer sa bêtise au feu des projecteurs… et défendre les intérêts crapuleux de certaines industries pharmaceutiques via l’immense cascade de ceux – des politiques aux unités de recherche et divers services hospitaliers - émargeant à leurs largesses.

Lutte sélective contre l’expression de la “haine”

L’époustouflante Mme Avia ne s’intéresse évidemment pas à la nomenklatura médiatique, laquelle peut tout se permettre sans risque aucun. Mme Avia prétend de toute son imposante personne – enflée des forces obscures qui se profilent derrière elle - civiliser les réseaux sociaux en combattant la méchante “haine” qui s’y déverse à gros bouillons. Pour ce faire, elle invite benoîtement à développer une culture de la délation - à mettre bien entendu en parallèle avec le rôle que la Caisse d’Assurance maladie qui entend confier aux médecins généralistes le rôle de sycophantes stipendiés, rémunérés pour tout signalement de séropositif au Covid - un signalement suffira alors pour vous faire exclure de tel ou tel réseau… Chacun surveillant son voisin afin de l’épingler et le faire éjecter le cas échéant d’un simple clic  ! Le citoyen éclairé des lumières de la bien-pensance se fera ainsi un devoir de veiller à ce que nul ne s’écarte du chemin étroitement balisé par la correction éthico-politique. Une charia laïque en quelque sorte  ! Nous sommes entrés – en sus ou en complément des caméras de reconnaissance faciale et du traçage par carte bancaire – dans une société de l’auto-surveillance généralisée qui n’est certes pas sans rappeler les plus belles heures du communisme… Sous Staline ou durant la Révolution culturelle de 1967, quand les juvéniles étaient honorés pour la dénonciation de leur père et mère. À coup sûr, sectes, groupuscules, communautaristes et autres partisans en bandes organisées de la lutte contre le crime de la pensée déviante (ou simplement mal sonnante) s’en donneront à cœur joie pour convertir leurs aversions idéologiques en une censure féroce …

Lutte sans merci contre la «  haine  », mais toujours à sens unique. Jamais contre les monopolistes de la langue de bois ayant pignon sur rue dans l’audiovisuel tous secteurs confondus (public comme privé), et dont l’une des premières raisons d’être – outre leurs faramineux émoluments [5] - l’abrutissement et le gavage industriel avec de l’information frelatée, biaisée, faisandée – est d’interdire, de bloquer l’expression de toute pensée autre, de toute vision du monde pouvant contredire ou infirmer la version officielle. À côté du brouillage de la réalité et de la confusion des esprits, la négation de toute alternative à la pensée unique est à exclure, à proscrire et, in fine, à détruire.

Il faut attendre que des événements catastrophiques surviennent pour apporter une esquisse de démenti à la doxa hyper-dominante… Et encore  ! On le voit dans les émeutes qui secouent nombre de grandes villes américaines… Minneapolis, Houston Atlanta, Miami, Chicago, Los Angeles, New York, boutiques pillées et incendiées, jusqu’à une statue monumentale de Louis XVI amputé à Louisville  ! Tous les prétexte sont bons à l’embrasement [6]. Reste que, loin de démentir l’idéologie mortifère de la cohabitation pacifique de communautés hétérogènes voire hétéroclites dans un même cadre national… Nous avons en mémoire le Liban, la Yougoslavie, l’Irak, la Syrie, etc. Flamands et Wallons sont trop peu nombreux et trop avachis pour s’entre-tuer, mais s’ils le pouvaient  ! Ces troubles à quelques mois de l’élection présidentielle américaine sont du pain béni pour nos idéocrates et nos propagandistes du suicide national et de la guerre civile inter ethno-confessionnelle qui trouvent là l’occasion de réactiver leur vaseuse grille d’explication néomarxiste  : anciens esclaves malmenés et toujours ségrégués par une dominance blanche toujours travaillée par de récurrentes tentations suprématistes… Cela, un siècle et demi après une atroce guerre civile censé avoir aboli tous les préjugés raciaux avec l’odieuse pratique de l’esclavage.

«  Black Lives Matter  » La vie des Noirs compte… Celle des blancs également  !

Donc lutte contre contre la mauvaise « haine » mais contre la bonne, celle qui s’affiche et s’étale sur les écrans domestiques. En son nom, c’est le désaccord politique qu’on cherche de plus en plus ouvertement à proscrire. Résumons toute critique du système ou des individus sera automatiquement requalifié en «  haine  » autorisant et recommandant l’expulsion immédiate de l’espace public… avec repli assuré pour les moins audacieux ou les moins téméraires, dans les bastions de l’autocensure. La vérité est alors condamnée à trouver un ultime refuge dans les catacombes… Déjà en 2018, le pacte de Marrakech nous en avait avertis – mais à quoi servent les avertissements à des foules covidées en attente fébrile d’un surcroît de confinement  ? - invitant expressément les États à ne plus « allouer des fonds publics ou d’apporter un soutien matériel aux médias qui propagent systématiquement l’intolérance, la xénophobie, le racisme et les autres formes de discrimination envers les migrants, dans le plein respect de la liberté de la presse  ». Il ne s’agit maintenant de médias mais toute personne jetant un regard négatif sur les bienfait de la mondialisation béate et du merveilleux vivre-ensemble. Le lacet se resserre sans cesse et la criminalisation du désaccord progresse. Bientôt nous serons asphyxié de la même façon sous le talon de fer de la démocratie libérale-participative que le malheureux George Floyd l’a été par le genou pesant d’un policier trop zélé [cf. note7].

Une histoire de haine sans fin…

Quant aux adeptes de son protocole de traitement - «  des hydroxychlori-connards  » à en croire Roselyne Bachelot, ancienne ministre de la Santé et chroniqueuse cochonou sur France 5 - Raphaël Enthoven (disserteur mondain qui s’est naguère partagé avec son père les faveurs de Carla Bruni Tedeschi), ne les traite pas mieux : «  On a autant de chances de convaincre un partisan du Dr Raoult qu’un platiste  »… C’est-à-dire un croyant en la platitude de la sphère terrestre… Une intéressante déviation mentale à l’instar de celle relative aux “reptiliens”, si utile à tourner en dérision tous ceux qui s’efforcent d’ouvrir les yeux de leurs contemporains sur l’immédiate et aveuglante conspiration contre les nations que forment, entre autres, l’Union européenne ou l’OMS. Cette Organisation mondiale de la Santé, organe majeur de la bio-dictature en cours d’instauration dont nous venons de voir les prémisses à l’occasion de cette dernière crise sanitaire (et il y en aura d’autres… déjà l’On prépare l’opinion à un reconfinement à l’automne histoire de contenir les tempêtes sociales qui s’annoncent dans le contexte de faillites économiques en tombée de dominos) aux allures de baudruche gonflée aux dimensions planétaires exception faite de quelques pays africains trop arriérés (ou trop échaudés) pour tout gober.

Merci au président Trump pour avoir quitté cette Organisation dévoyée et tenues en sous-main par des intérêts privés (ceux par exemple de la Fondation Gates), autrement dit des intérêts bassement lucratifs pour ne pas parler d’objectifs crapuleux… pendant la crise du SRAS-CoV-2, la vie de dix-sept mille vieillards n’a-t-elle pas été en partie sacrifiée sur l’autel dédiée à BigPharma [7]  ? (Ce président Trump, présenté lui aussi comme fou, tente de textuellement de “libérer” les États-Unis de l’État profond [8] et, parce qu’il serait – à entendre les mêmes médiacrates qui vomissent tout autant le Pr. Raoult que le président américain – lequel se flattait le 18 mai dans un point de presse dans les jardins de la Maison-Blanche de prendre - sur les conseils de membres d’un corps médical sans doute tout aussi déjanté que leur patron  ! – de l’hydroxychloroquine… «  J’en prends depuis une semaine et demie… je prends un comprimé par jour ». Rappelons que tous les expatriés en zones tropicales en ont pris – sous forme de nivaquine - pendant plus d’un demi-siècle et n’en sont pas morts pour autant. Mais c’était avant Mme Buzyn et sa larme facile [9]… aujourd’hui le pathos tient lieu de vade-mecum à toutes les incuries doublées des mensonges les plus cyniques chez ceux-là où l’insuffisance intellectuelle le dispute à la vénalité. Et faites-moi plaisir, jetez aux cabinets toutes les autres explications freudo-marxistes, ces gens ne sont pas victimes de leur inconscient, ils ne culpabilisent jamais, en témoigne la vitesse de réaction d’Olivier Véran, l’actuel ministricule de la Santé et de la Solidarité, pour faire interdire la prescription d’hydroxycloroquine aussitôt la publication mensongère du Lancet  ! Qualifiée de «  foireuse  » par Didier Raoult lui-même et «  de la merde » aux dires du Dr. Philippe Froguel, professeur au CHU de Lille et à l’Imperial College de Londres… «  Je ne suis pas pro-Raoult, mais l’étude publiée par The Lancet, c’est une merde   »  ! Mais que valent ces avis face à nos grands marquis décatis – tous gaullo-gauchistes et trotskistes reconvertis - qui se pavanent dans l’œil de bœuf télévisuel  ?

Geignardises et jérémiades, LREM est pathétique

Dans l’art de la guerre, avec une infernale constance, le mensonge éhonté et massif a cru en force et en insolence tout au long du siècle passé, faisant reculer toujours plus loin ses limites… Or cette bulle démesurée, à l’instar de la dette mondiale, finira-t-elle quelque jour par crever  ? Le principe d’espérance nous contraint à y croire. Mais les miracles n’interviennent que dans la mesure où nous leur ouvrons le chemin avec une ardeur soutenue. Souvenons de Jeanne la pieuse par qui fut restaurée la royauté divine sur cette bonne terre de France  : «  Les gens d’armes batailleront et Dieu donnera la victoire  ». Oui da  ! Mais restent-ils en ce pays, et en nombre suffisant, des gens prêts à manier le bâton et la massue afin de bouter le «  Parti de l’étranger  » dehors  ? Souhaitons-le parce que, pour l’heure, hormis quelques éveillés, nous descendons deux à deux les degrés de l’escalier menant droit à l’enfer du Meilleur des mondes libéral-collectiviste… issu des épousailles incestueuses de la carpe koï et du lapin toxico de Manhattan, oscillant et titubant entre coke et algorithme10.

1er juin 2020

Notes

[1Drames que le président Trump considérait le 6 mai comme des « attaques » dirigées contre les États-Unis au même titre que l’épidémie de coronavirus « la pire attaque à laquelle notre pays ait jamais été confronté ». Mais au chapitre des mensonges sidérants, il oublie bien évidemment la fiole d’anthrax qu’agita sous le nez du Conseil de Sécurité le Secrétaire d’État Colin Powell, le 5 février 2003… et les alunissages à répétition avec des véhicules aérospatiaux qui eurent le bon goût de ne jamais faillir les dix années que dura le programme Apollo 1961/1972), mais qui ne purent – fatalitas - jamais y retourner depuis… jusqu’à ce que l’on salue comme un exploit indescriptible l’envol de la fusée SpaceX d’Elon Musk après neuf ans d’absence des É-U sur la scène spatiale, uniquement occupée par les Soyouz russes qui eux, n’ont jamais déposé que de modestes robots sur le sol poudreux de Séléné.

[2La biorésonance électromagnétique est un nouveau champ de recherche en biologie et en médecine. Basée sur la mécanique quantique et ondulatoire, elle fait l’objet des recherches conduites par des savants aussi éminents que décriés tels le Pr. Gérard Montagnier.

[3Une mention spéciale pour l’excité Maurice Szafran sur LCI, vaguement désigné comme « éditorialiste », et dont la haine rabique à l’égard du grand médecin marseillais, est digne de la plus vive admiration.

[4Sentines génétiques” image que l’on doit à l’écrivain new-yorkais Norman Spinrad in « Rêve de fer » (1972).

[5Une enquête (2019) du magazine VSD nous apprend que Nikos Aliagas sous contrat d’exclusivité avec TF1, touche 35.000 € mensuels pour animer ses émissions. Cyril Hanouna n’en perçoit “que” 25.000 par mois, mais en tant que producteur de son émission il perçoit plusieurs centaines de milliers d’euros en dividendes par le biais de sa société H20 ! Jean-Luc Reichmann 125.000 €/mois ; Arthur : 250.000 € par émission… France Télévision, Service public comme garantissant davantage de sécurité à ses salariés, rémunère beaucoup moins bien : David Pujadas (Fr2), toucherait 12.000 € par mois et Elise Lucet seulement 10.000. De quoi crier misère !

[6Le décès le 25 mai du présumé délinquant afro-américain George Floyd, 46 ans, à Minneapolis causé par d’inexcusables brutalités policières (mais la violence n’est-elle justement pas consubstantielle à l’Amérique ?) a été l’occasion d’émeutes ethniques (à ne pas confondre avec les manifestations regroupant blancs, noirs et hispaniques) d’une ampleur inégalée depuis celles d’avril 1992 à Los Angeles après l’acquittement de quatre policiers blancs accusé d’avoir passé à tabac un dénommé Rodney King. Il faut remonter trois ans en arrière(washingtonpost.com/graphics/national/police-shootings-2017/) pour avoir une idée de la maltraitance des noirs par les “pigs” (porcs – alis policiers de race caucasienne) : 19 noirs non armés ont été tués en 2017 par les forces de l’ordre contre 17 en 2016 et 36 l’année précédente. Meurtres qui représentent 22% des 68 personnes désarmées abattues par l’autorité publique (51 en 2016 et 94 en 2015), « alors - écrit le “Post” - que les hommes noirs ne représentent que 6% de la population ». Argument fallacieux s’il en est, voire vicieusement crypto-marxiste, puisque l’on sait que la population noire est sur-délinquante. Toutes communautés confondues, les policiers ont abattu, toujours en 2017, 735 personnes en possession d’armes blanches ou à feu, 693 en 2016 tandis que 46 policiers trouvaient la mort dans l’exercice de leurs fonctions pour 66 en 2016. Concluons que sur l’année de référence, 78% des individus désarmés tués par les forces de police n’étaient pas des afro-américains, ce qui montrent que certaines morts ont plus d’intérêt que d’autres.

[7http://statcorona.fr/#!/ - 50% environ des 28.802 décès recensés en France au 31 mai 2020, ont essentiellement concerné des octogénaires. Au 25 mai - sante.journaldesfemmes.fr - depuis le 1er mars 2020 : 10 256 décès transmis électroniquement à Santé Publique France contenaient une mention de Covid-19 parmi les causes médicales de décès renseignées. L’âge médian du décès était de 84 ans et 91% avaient 65 ans et plus. Les hommes représentaient 54% de ces décès.

[8Entretien dans le “Bureau ovale” de la Maison-Blanche le 24 mai 2020 https://abc3340.com/news/nation-wor... - Traduction E&R - Trump à propos de l’Obamagate, un Watergate à la puissance dix : « J’ai une chance de briser l’État profond » https://www.youtube.com/watch?v=tri...

[9Morceau d’anthologie : « On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade ». Après son échec à la mairie de Paris, l’ex-ministre de la Santé soupire : « Je me demande ce que je vais faire de ma vie ». La pauvrette ! « Agnès Buzyn est enfin rentrée chez elle, lundi 16 mars, en milieu d’après-midi. Elle vient de fermer la porte du QG de sa campagne parisienne et a posé son sac, seule, « effondrée », dit-elle. Elle pleure, et ses larmes n’ont rien à voir avec celles d’émotion et de « déchirement » essuyées entre deux sourires lors de la passation de pouvoir au ministère de la santé, il y a un mois. Ce sont des larmes lourdes, de fatigue, d’épuisement, mais aussi de remords » [lemonde.fr17mars20]. Dieu que ces gens, ces geignards, sont à plaindre !

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