L’intégration de ce patrimoine génétique à nos cellules est très rapide, et on ne peut plus contrôler ensuite les synthèses protéiques qui se font, puisqu’elles sont intégrées à notre patrimoine.
Problème : lorsqu’on vous injecte un vaccin, qui sait exactement ce qu’il y a à l’intérieur ?
Qui sait s’il s’agit d’un vaccin « traditionnel » ou d’un vaccin à cristaux liquides ?
Même le médecin qui vous l’administre en toute bonne foi l’ignore peut-être !!! Mais la question qui se pose ici est encore une fois en relation avec le contrôle des individus : cet A.D.N. finalement étranger que l’on nous implante par vaccin n’est-il pas une « antenne » programmable de l’extérieur et que l’on introduit dans notre organisme à des fins qui pourraient être bien différentes peut-être des fins humanistes de santé ?
N’y a-t-il aucun risque par exemple que, étant stimulées par un phénomène extérieur (une certaine longueur d’ondes émise par des satellites et qui serait relayée par une micro-puce implantée dans le corps, par exemple), ces particules d’A.D.N. (et de virus) intégrées par notre organisme se mettent non pas à activer notre système immunitaire, mais à le ralentir ou à le stopper, ou encore à produire des toxines ou des virus mortels ? Il s’agirait encore, dans ce cas, de techniques d’actions de masse sur les gens, avec une antenne cellulaire qui court-circuiterait la conscience individuelle !
Certaines personnes se posent très sérieusement la question, notamment au Québec et aux U.S.A.
Le très brillant livre d’Anne Givaudan, « Les dossiers sur le gouvernement mondial », est d’ailleurs fort explicite en ce qui concerne le rôle finalement très peu curatif des vaccins (certains ont d’ailleurs des effets secondaires plus qu’indésirables !
NANOPUCES PAR VACCINATION des personnes sont-elles déjà pucées de force ou à leur insu aux USA et en Europe ?
Il est beaucoup plus difficile et plus délicat de répondre à cette question. Les firmes qui produisent les puces, pour l’instant, misent sur l’aspect « volontaire » de ces puces (= puces administrées selon la volonté de la personne et de son plein gré). Il s’agit là d’un stratagème hypocrite, bien entendu, afin de mieux faire accepter et de mieux commercialiser ces horreurs implantables. Mais il y a un cas pour lequel des puces cérébrales ont apparemment déjà été administrées de façon non volontaires (= imposées) sur des prisonniers, aux USA. C’est le cas de la puce neurale 2020 produite par la diabolique firme IBM (une firme qui, par le passé, a aidé les nazis à dénombrer les Juifs et leurs possessions) ; cette puce neurale aurait été testée sur des prisonniers américains de façon illégale et sans leur consentement.
Pour l’instant, administrer des puces à l’insu des gens est difficile, mais cela pourrait devenir très facile à l’avenir, à cause des nanotechnologies qui proposent une miniaturisation extrême puisqu’elles manipulent des atomes et des molécules. Il est d’ailleurs prévu que des nanopuces d’identification soient mises au point. A l’heure où je parle, cela pourrait déjà être d’actualité. Mais je n’en ai encore aucune preuve. En tout cas, c’est en développement, et là je suis formel.
Certains articles que j’ai traduits au sujet des nanotechnologies le signalent (cf. la rubrique adéquate sur le forum, qui est à présent verrouillée). Mais avec les nanopuces, on pourrait bientôt parvenir à implanter les gens à leur insu : ainsi, on pourrait injecter ces nanopuces (lors d’une vaccination, par exemple), les ingérer (nanopuces sur ou dans des aliments ou des boissons), les inhaler (nanopuces présentes dans l’air et pénétrant dans les poumons) et ces nanopuces pourraient même, une fois diffusées à l’aide d’un spray sur la peau, franchir sans difficuulté la barrière de la peau en raison de leur taille infime.
Enfin, signalons que des projets réels visant à implanter des bébés dès la naissance ou des vieillards existent, aussi bien en Europe qu’aux USA. Ceci pourrait donc se faire sans le consentement de ces personnes, voire à leur insu.
La doctoresse Rauni Kilde, dont j’ai traduit et publié l’article à ce sujet dans la rubrique consacrée aux puces et au liberticide, est formelle à ce sujet.
VeriChip Corp. possède aussi un programme de puçage des enfants nommé « verikid » et qui consiste à pucer en sous-cutané les mômes afin de soi-disant éviter les « kidnappings ». Ce programme est d’application au Brésil et au Mexique, où il y a de nombreux rapts d’enfants. En réalité, pour un criminel décidé, c’est presque une incitation à mutiler le pauvre enfant !
Notons aussi que des témoignages (mais tout à fait non vérifiables et peu fiables) de puçage non volontaire me sont déjà parvenus, mais sans aucune preuve (radiographie, par exemple). Etaient-ils sincères , ou n’était-ce que des canulars ? Mystère... En tout cas, je ne peux les prendre en compte ni les cautionner.
Date : 12. 06. 2009
Source
Projet : Implant de puce neuronale 2020
Document original d’IBM qui retrace les recherches secrètes d’implantation de puces neuronales pour une surveillance des criminels.
Ce projet date de 1995 et maintenant nous sommes en 2020
Intelli-Connection
A Security Division of IBM
1200 Progress Way
Armonk, New York 11204
October 20, 1995
LIMITED DISTRIBUTION ONLY
LEVEL 9 COMMUNICATION
Le contrôle de la criminalité sera un enjeu majeur au XXIe siècle.
Nous devons être prêts avec nos dispositifs de sécurité lorsque la demande deviendra importante. Notre division Recherche et Développement a été en contact avec le Bureau Fédéral des Prisons, le Département des Services Correctionnels de Californie, le Département de la Sécurité Publique du Texas et le Département des Services Correctionnels du Massachusetts pour mener des essais limités de l’implant de puce neurale 2020. Nous avons désigné des représentants de nos intérêts à des postes de direction et institutionnels au sein de ces départements.
La réglementation fédérale ne permet pas encore de tester les implants sur les prisonniers, mais nous avons conclu des accords contractuels avec des professionnels de santé non gouvernementaux et avec du personnel pénitentiaire, désignés pour effectuer des tests restreints avec nos produits. Nous avons également obtenu des progrès importants avec des sanatoriums privés qui utilisent la technologie des implants. Nous devons cependant étendre nos tests sur la recherche de l’efficacité de l’implant de puce neurale 2020 chez les personnes identifiées comme les plus agressives de notre société. Des tests effectués sur un faible échantillon ont produit de bons résultats.
En Californie, plusieurs prisonniers ont été répertoriés comme membres du groupe de menace pour la sécurité EME, ou mafia mexicaine. Ils ont été amenés à l’unité des services de santé de Pelican Bay et drogués à l’aide de sédatifs sophistiqués mis au point par nos laboratoires de Cambridge, dans le Massachusetts. La procédure d’implantation dure entre 60 et 90 minutes, selon le degré de connaissance du technicien. Nous travaillons sur un dispositif qui réduira ce temps jusqu’à 60% [30 min].
Les résultats des implants sur huit prisonniers ont donné les résultats suivants :
Les implants ont servi de dispositifs de surveillance pour contrôler l’activité des groupes de menace. Les implants ont neutralisé deux sujets lors d’une agression contre le personnel pénitentiaire. Les effets secondaires généralisés chez les huit sujets ont révélé que lorsque l’implant était réglé à 116 Mhz, tous les sujets devenaient léthargiques et dormaient en moyenne 18 à 22 heures par jour. Tous les sujets ont refusé des temps de loisirs pendant 14 jours lors de l’évaluation du test de 166 Mhz. Sept sujets sur huit n’ont pas fait d’exercice, dans la cellule ou en dehors de la cellule, et cinq sujets sur huit ont refusé des douches jusqu’à trois jours d’affilée. Chaque sujet a fait l’objet d’un contrôle de l’activité agressive pendant la période de test et les résultats sont concluants : sept sujets sur huit n’ont pas fait preuve d’agressivité, même lorsqu’ils ont été provoqués. Chaque sujet n’a subi que des saignements mineurs du nez et des oreilles 48 heures après l’implantation, en raison de l’ajustement initial. Chaque sujet n’avait aucune connaissance de l’implant pendant la période de test et chaque implant a été récupéré sous le couvert d’un traitement médical.
Il convient de noter que la période d’essai était inférieure à deux mois. Cependant, au cours de cette période, notre équipe de recherche et développement a recueilli des données substantielles qui suggèrent que les implants dépassent les résultats attendus.
L’une des principales préoccupations de la Sécurité et de l’équipe de R&D était que le cobaye découvre le traitement chimique pendant la période de réglage initiale et que le test soit annulé. d’implantation.
Cependant, en raison des progrès obtenus dans le développement les sédatifs administrés, la période d’adaptation de 48 heures peut être attribuée aux médicaments prescrits aux sujets après la procédure d’implantation.
L’une des préoccupations soulevées par la R&D était l’origine de l’hémorragie et la manière de corriger ce problème. Un saignement inexpliqué pourrait amener le sujet à se renseigner davantage sur sa visite « de routine » à l’infirmerie ou dans un autre établissement de soins. Les perspectives d’une sécurité accrue, grâce à la brève période d’essai, sont énormes.
Les responsables de la sécurité connaissent désormais plusieurs stratégies employées par l’EME qui facilitent le trafic de drogues et d’armes illégales dans les établissements pénitentiaires. Un agent de renseignement a fait remarquer que s’ils ne peuvent pas utiliser les informations dont ils disposent dans un tribunal, ils savent maintenant qui surveiller et quelles sont leurs « connexions » extérieures. La prison de Solidad envisage maintenant de transférer trois sujets à Vacaville, où nous avons nos recherches en cours sur les implants. Nos techniciens ont promis qu’ils pourront réaliser trois implants de puces neurales 2020 en moins d’une heure. Les responsables de Solidad espèrent recueillir des informations auprès du trio afin de mettre un terme à une enquête de 14 mois sur le trafic de drogue menée par des agents pénitentiaires.
Les implants transforment le prisonnier en enregistreur vocal auprès de toutes les personnes qui rencontre. Seuls cinq agents de renseignement et le commissaire de l’administration pénitentiaire connaissent l’étendue des tests effectués sur les implants.
Au Massachusetts, le département de l’administration pénitentiaire a déjà entamé des négociations de haut rang sur la libération de certains délinquants dans la société grâce aux implants de puces neurales 2020. Notre peuple n’est pas tout à fait contre cette idée, cependant, les avocats d’Intelli-Connection ont déconseillé la technologie des implants en dehors de cadres de contrôle stricts. Dans la structure gouvernementale actuelle, notre responsabilité serait énorme. Bien que nous ayons un lobby puissant au Congrès et dans diverses assemblées législatives d’État en faveur de notre produit, nous devons procéder avec la plus grande prudence en ce qui concerne l’utilisation incontrôlée de la puce neurale 2020.
Les responsables du Massachusetts ont mis en place une équipe de renseignement à partir de leur Fugitive Task Force Squad qui effectuerait des tests limités sous des contrôles stricts avec des sujets en pré-release. Les responsables de l’administration pénitentiaire ont surnommé ces sujets d’essai potentiels « le groupe d’assurance » (le nom provient du concept selon lequel l’implant 2020 assure le respect de la loi et permet aux responsables de détecter les irrégularités).
Un inspecteur de police à la retraite de Charlestown Massachusetts, qui fait maintenant partie de l’unité de renseignement, nous a demandé d’envisager l’utilisation de la puce neurale 2020 sur des criminels endurcis soupçonnés de vol de banque et de voiture blindée. Il a déclaré : « Charlestown ne serait plus jamais la même ; nous saurions enfin ce qui se passe avant qu’ils ne le sachent ».
Nous continuerons nos recherches sur l’utilisation de la puce 2020 dans la société, mais notre représentant s’occupera des opérations de maintien de l’ordre avec une équipe qui interviendra de toute part et à tout moment en moins de deux heures.
Nous avons un groupe de négociation d’Intell-Connection en contact avec le directeur de la sécurité à Florence, l’unité fédérale de sécurité du Colorado. Les premières échanges avec le directeur ont été prometteur et nous espérons disposer d’une unité de R&D dans cette importante installation au cours des six prochains mois. Florence, Colorado, a remplacé Marion, Illinois, comme unité de haute sécurité du système pénitentiaire fédéral. Les efforts des pouvoirs législatif et exécutif se poursuivent pour légaliser la technologie des implants. (Voir la note de service interne n° 15 d’Intelli-Connexion).
End communication ... 10/20/95
Distribution : Eyes Only : Project Group 7A.