Anthony Fauci, homologue américain de notre ministre de la santé, s’est inquiété dans un mail de février 2020, d’un article présentant des informations de présence de trace de VIH dans le virus du Covid.
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Fauci a acquis ses lettres de noblesse avec la lutte contre le sida. Dès 1981, il réalise l’ampleur du désastre et focalise son labo sur la maladie. Nommé en 1984 à la tête de l’Institut national des Allergies et Maladies infectieuses (Niaid), il devient le visage public de la recherche contre le VIH dans une administration Reagan encore largement indifférente. En 1988, quand des activistes manifestent pour avoir accès aux médicaments expérimentaux, il les invite dans son bureau et établit un dialogue fructueux. (Nouvel Obs 22 avril 2020)
Pourquoi les auteurs pensent-ils que le virus pourrait être d’origine artificielle ? Parce qu’en regardant les insertions, qui ne sont présentes dans aucune des familles de coronavirus les plus proches, « il est tout à fait improbable qu’un virus ait acquis naturellement des insertions aussi uniques en un court laps de temps. » Au lieu de cela, on les trouve dans des protéines d’identification cellulaire et de liaison membranaire situées dans le génome du VIH.
Étant donné que la protéine S du 2019-nCoV partage une ascendance très proche de celle du SRAS GZ02, les séquences codant pour les protéines spike de ces deux virus ont été comparées à l’aide du logiciel MultiAlin. Nous avons trouvé quatre nouvelles insertions dans la protéine du 2019-nCoV - « GTNGTKR » (IS1), « HKNNKS » (IS2), « GDSSSG » (IS3) et « QTNSPRRA » (IS4) (Figure 2). À notre grande surprise, ces insertions de séquences n’étaient pas seulement absentes de la protéine S du SRAS, mais n’étaient pas non plus observées chez un autre membre de la famille des Coronaviridae. Ce résultat est surprenant car il est tout à fait improbable qu’un virus ait pu acquérir naturellement des insertions aussi uniques en un court laps de temps.
Cette affaire sent la poudre, ce sont des morceaux du code génétique du virus que des chercheurs indiens, dirigés par Prashant Pradhan de l’Indian Institute of Technology, ont découvert et qui pourraient avoir été « intégrés » au VIH, qui appartient à une famille de virus totalement différente.