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2000 Mules : documentaire sur le « trafic de vote » aux présidentielles américaine de 2020

lundi 23 mai 2022

Le documentaire 2000 Mules expose les « preuves » d’une élection présidentielle volée par Joe Biden en 2020.

Réalisé par le journaliste Dinesh D’Souza et sorti le 7 mai, ce documentaire raconte l’opération massive de collecte illégale de bulletins de vote.
Dinesh D’Souza : « Ils ont truqué et volé l’élection présidentielle de 2020 ».
Comme pour le trafic de drogue, les démocrates ont utilisé des « mules » non pas pour porter la drogue mais des bulletins de vote qui une fois ouvert cessent de donner l’identité des votants, et le Covid a aidé à utiliser le vote par correspondance.

Le rôle des « mules » a été observé par les caméras de surveillance qui se situaient près des boîtes aux lettres électorales. Des électeurs américains effectuaient plusieurs trajets par jour pour déposer plusieurs bulletins.
En France on appelle cela le bourrage des urnes, la fraude reste toujours la même, et les partis politiques sont toujours prêt à tricher pour conserver le pouvoir.

L’AFP a tenu à vérifier cette information sans enquête avec comme toujours les propos hautain d’un certain Daniel Funke, qui semble être un agent de propagande vu son passé de lobbyiste pour BurdaVerlag, média allemand appartenant à Hubert Burda.

Les relations troubles entre les journalistes et la CIA

Daniel Funke peut appartenir au projet de la CIA Mockingbird.
En 1948, l’agent de la CIA Frank Gardiner Wisner a été nommé directeur du Bureau des projets spéciaux pour créer le Projet Mockingbird (« oiseau-moqueur »), un programme visant à influencer les médias américains.
Wisner reçut l’ordre de créer une organisation dont l’un des objectifs principaux serait de créer la propagande.
Le journaliste allemand Udo Ulfkotte a été retrouvé mort après avoir avoué appartenir à la CIA. Il avait déclaré que « La CIA contrôle tout ! ».
Ses révélations en tant qu’ ancien rédacteur en chef du Frankfurter Allgemeine Zeitung (l’un des plus grands quotidiens allemands), prétendaient que la plupart des journalistes occidentaux travaillent avec la CIA.
Il affirme que tous les médias les plus importants sont contrôlés par la CIA et que celle-ci œuvre à une guerre avec la Russie… Fatigué de tromper ses lecteurs et effrayé par la guerre qui s’annonce, il a décidé de parler.

  • “J’ai été soutenu par la CIA, pourquoi ? Parce que je suis pro-américain”

“Les médias allemands et américains essaient d’amener la guerre aux gens en Europe, d’amener la guerre en Russie. C’est le point de non retour et je vais dire ce que j’ai à dire… Ce que j’ai fait dans le passé est mal, manipuler les gens, de construire une propagande contre la Russie.”

Ulfkotte a dit que la plupart des journalistes de la corporation médiatique aux Etats-Unis et en Europe sont “soi-disant des couvertures non-officielles”, ils travaillent pour une agence de renseignement. “Je pense que c’est particulièrement le cas pour les journalistes britanniques, parce qu’ils ont une relation bien plus étroite (avec leur service de renseignement). C’est très certainement le cas avec les journalistes israéliens et bien sûr les journalistes français… C’est également le cas avec les journalistes australiens, néo-zéalndais, taïwanais, bref, de beaucoup de pays.”

Daniel Funke semble être lui aussi « pro américain » et s’est fait prendre dans la rédaction d’un article pour le magazine Bunte sur le diplomate et homme politique américain Richard Grenell.
L’article ne révélait pas que Funke était ami avec Grenell et pouvait donc être considéré comme une faveur politique pour faciliter l’entrée de Grenell dans la politique allemande en tant qu’ ambassadeur des États-Unis.

Daniel Funke, doit être furieux de la complaisance de son article sur Richard Grenell, ce dernier est un supporter de Trump et fait la promotion du documentaire 2000 Mules.
Depuis 2017 Funke est mariée à l’homme politique allemand et ancien secrétaire fédéral à la santé Jens Spahn (CDU)

Le fact-checker de USA Today (Daniel Funke) est critiqué pour avoir joué la « victime » après un reportage bâclé sur la gaffe de la montre de Biden.

Les journalistes ne croient pas Daniel Funke lorsqu’il affirme que son faux reportage était une « erreur ».
Joey Jones (de Fox News) reproche à Biden d’avoir vérifié sa montre lors d’une cérémonie à la mémoire des héros morts au combat.
Le journaliste a pesté contre le fait que les familles de « Gold Star » (drapeau américain recouvrant le cercueil des victimes) méritent davantage de la part du commandant en chef.

Le vérificateur de faits à l’origine du rapport bâclé de USA Today sur la gaffe de la montre du président Biden est confronté à de vives critiques qui l’accusent de jouer « la victime ».

USA Today a été critiqué pour sa « soi-disant » vérification des faits mercredi, déclarant que les accusations selon lesquelles Biden aurait vérifié sa montre pendant la cérémonie de transfert des 13 membres des services américains tués dans une attaque terroriste à l’extérieur de l’aéroport de Kaboul étaient « partiellement fausses », insistant sur le fait que cela s’est produit « seulement après » la cérémonie.

Le lendemain, le journal a publié une correction admettant que Biden avait vérifié sa montre « plusieurs fois » pendant la cérémonie, mais a changé sa conclusion de « partiellement faux » à « contexte manquant ».

USA TODAY APPORTE UNE CORRECTION À SON ARTICLE « FACT CHECK » APRÈS AVOIR AFFIRMÉ QUE BIDEN AVAIT VÉRIFIÉ SA MONTRE « SEULEMENT APRÈS LA CÉRÉMONIE » À DOVER.

Daniel Funke, le journaliste de USA Today qui a rédigé le fact-check, a fait son mea culpa sur Twitter vendredi.

« Comme beaucoup d’entre vous le savent déjà, cette histoire a été corrigée. Biden a vérifié sa montre plusieurs fois pendant la cérémonie. Je regrette cette erreur », a écrit M. Funke. « Les journalistes et les vérificateurs de faits sont humains (oui, même moi !) Nous faisons des erreurs. Lorsque c’est le cas, nous les corrigeons et nous essayons d’arranger les choses. »

Après avoir partagé un lien vers les directives de vérification des faits de USA Today expliquant les « principes que nous essayons de faire respecter », Funke a ajouté : « Il est facile de se jeter sur les journalistes lorsque nous faisons des erreurs. Je le comprends - pour beaucoup, nous ne sommes qu’un nom de plus sur un écran. Mais derrière cet écran se trouve une personne qui essaie de faire de son mieux. »

Fox News

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