Combien avons-nous de chômeurs ?
Combien avons-nous eu de faillites depuis le confinement ?
Quelle est le déficit de notre balance commerciale ?
Combien empruntons-nous pour retarder la faillite de notre pays ?
Toutes ces questions ne sont pas traitées par l’opposition au régime de Macron.
D’ailleurs il n’a de compte à rendre à personne sinon à ses maîtres.
Que ce soit les salariés ou les chefs d’entreprises, tous les actifs de l’économie dépendent des aides de l’Etat.
Même les grands patrons seront absorbés, il n’y a pas de place pour la liberté d’entreprendre dans l’industrie avec la dictature du Zéro carbone.
Renault, en difficulté financière,15.000 emplois supprimés dans le monde, dont 4600 en France.
Renault Trucks, suppression de 463 cadres.
Air France 8000 à 10.000 suppressions d’emplois.
2 203 entreprises ont été recensées comme défaillantes en Île-de-France au deuxième trimestre 2022.
En cumul sur les 12 derniers mois (entre décembre 2021 et novembre 2022), le nombre de défaillances s’élève à 39 858 entreprises.
Pour 2023, c’est plus de 20% d’entreprises en plus qui vont fermer.
Les procédures collectives ouvertes auprès des tribunaux de commerce entre le 1er juillet et le 30 septembre ont augmenté de 69%.
L’Occitanie détient le record de France de faillite avec une augmentation de plus de 91%.
Quand ce massacre va-t-il se terminer ?
Macron ne fera que l’accélérer avec des normes débiles liées au World Economic Forum et avec l’aide financière à l’Ukraine, jusqu’à sa victoire finale.
Sa victoire finale sera la destruction de la France pour parachever l’objectif de son maître Rothschild, qui a subi une nationalisation en 1981 et qui a mis plus de quarante ans pour placer un des ses assassins économique en la personne de Macron.
Pourquoi le déficit commercial de la France n’en finit plus de se creuser
En octobre, le déficit commercial s’est légèrement réduit. Mais sur un an, il a dépassé 154 milliards d’euros, un record. Au-delà de la facture énergétique, la France souffre toujours de sa désindustrialisation. Le ralentissement économique mondial fait peser une menace sur ses excédents dans les services.
En octobre, le déficit du commerce extérieur de la France lié à la facture énergétique a été ramené à 9,3 milliards d’euros, contre près de 13 milliards un mois plus tôt.
Une hirondelle ne fait pas le printemps. Le déficit commercial de la France s’est réduit au mois d’octobre à 12,2 milliards d’euros, après 17 milliards en septembre, ont annoncé ce mercredi les Douanes. Avec des stocks quasiment reconstitués, la France a diminué ses importations de gaz. Elle a également réduit ses achats d’électricité dont les prix ont de plus fortement baissé. En conséquence, le déficit lié à la facture énergétique a été ramené à 9,3 milliards d’euros , contre près de 13 milliards un mois plus tôt.
Pour la première fois de son histoire, le déficit du commerce extérieur dépasse toutefois la barre des 150 milliards d’euros sur un an, à précisément 154,2 milliards d’euros selon les Douanes, un chiffre proche de la prévision de Bercy pour l’année 2022 , à savoir 156 milliards. « Les chiffres d’octobre ne modifient pas les tendances structurelles de la balance commerciale de la France », souligne Thomas Grjebine économiste au Cepii.
Nathalie Silbert
