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Les Etats Unis nous réservent une surprise pour ce mois d’octobre

mercredi 4 octobre 2023

Washington subit une tempête politique sans précédent, on parle même de October Surprise ou de Red October.

La persécution judiciaire de Donald Trump orchestrée par le clan Biden Obama Clinton, ne change pas les intentions de vote pour l’ancien président, au contraire elle augmente sa côte de popularité y compris dans l’électorat démocrate. La corruption et le financement militaire de l’Ukraine renforcent l’engouement républicain qui représente la solution pour endiguer la plus grande crise migratoire des Etats Unis que l’on peut qualifier d’invasion avec plus de deux millions d’étrangers entrés en toute illégalité sous le mandat de Joe Biden.

Ce mardi 4 octobre 2023, le président de la Chambre des représentants Kevin McCarthy a été destitué de son poste devant l’impatience du représentant Matt Gaetz qui attend une réponse à la crise migratoire, au non financement de l’Ukraine et à la destitution du président Joe Biden.

Kevin McCarthy avait conclu de reporter le vote du budget des administrations américaines à la mi-novembre pour tenter d’éviter un « Shutdown » qui signifie une paralysie du pays et de ménager la future aide militaire à l’Ukraine. La Constitution américaine impose une cessation d’activité, tant qu’un accord budgétaire n’a pas été validé.
Devant cette dispute politique, ce sera soit l’Ukraine soit l’Amérique, et à ce jeu Trump remporte les suffrages, comme s’il tenait sa revanche de 2020.
L’Ukraine a couté 113 milliards de dollars aux contribuables américains qui constatent que cette guerre est un échec financier et une défaite militaire. Même si le pays brûle, Biden continue à sacrifier les impôts des américains.
Ce financement de la dernière chance va sceller la chute de Biden qui doit faire face à une destitution pour corruption et prise illégale d’intérêts pendant son mandat de vice président des Etats Unis.

Trump a la possibilité de prendre la présidence du congrès pour tout faire basculer.

Enquête sur la famille Biden

Le président James Comer et les républicains de la commission de surveillance enquêtent sur les transactions commerciales nationales et internationales de la famille Biden afin de déterminer si ces activités compromettent la sécurité nationale des États-Unis et la capacité du président Biden à diriger avec impartialité.

Les membres de la famille Biden ont vendu leur accès à des fins lucratives dans le monde entier, au détriment des intérêts américains. Les documents financiers cités à comparaître montrent que de 2015 à 2017, les membres de la famille Biden - Hunter Biden, James Biden, Hallie Biden et un « Biden » inconnu - ont reçu collectivement 1,3 million de dollars de paiements provenant de comptes liés à Rob Walker, un associé de la famille Biden.

Le 1er mars 2017, moins de deux mois après que le vice-président Joe Biden a quitté ses fonctions publiques, la société chinoise State Energy HK Limited, a viré 3 millions de dollars à la société de Rob Walker.
Le lendemain, la société a viré 1 065 000 dollars à une société associée à James Gilliar, un autre associé de la famille Biden.

Après que la société chinoise ait viré les 3 millions de dollars à Robinson Walker, LLC, la famille Biden a reçu environ 1 065 692 dollars sur une période de trois mois sur différents comptes bancaires. Notamment, le GEIE, société affiliée de James Gilliar, a reçu presque exactement le même montant - 1 065 000 dollars - en mars 2009, sur différents comptes bancaires.

Le 5 novembre 2015, Robinson Walker, LLC a reçu un virement d’une société qui possédait un compte bancaire à l’étranger d’un montant de 179 836,86 $. Le lendemain, Rob Walker a transféré 59 900 dollars du compte de Robinson Walker, LLC vers l’un de ses comptes courants personnels. Trois jours plus tard, le 9 novembre 2015, Rob Walker a utilisé son compte chèque personnel pour envoyer un virement sur un compte bancaire de « Robert Biden » d’un montant de 59 900 $.

La connexion mafieuse de la famille Biden avec l’Ukraine

Le 16 avril 2014, le vice-président Biden a rencontré l’associé de M. Hisson, Devon Archer, à la Maison Blanche. Cinq jours plus tard, le vice-président Biden visite l’Ukraine, et sa visite est décrite dans la presse comme la « façade publique de la gestion de l’Ukraine par le gouvernement ».
Le lendemain de sa visite, le 22 avril, Devon Archer rejoint le conseil d’administration de Burisma. Six jours plus tard, le 28 avril, des fonctionnaires britanniques saisissent 23 millions de dollars sur les comptes bancaires londoniens du propriétaire de Burisma, Mykola Zlochevsky.
Quatorze jours plus tard, le 12 mai, Hunter Biden a rejoint le conseil d’administration de Burisma et, au cours des quelques années suivantes, Hunter Biden et Devon Archer ont reçu des millions de dollars d’un oligarque ukrainien corrompu pour leur participation au conseil d’administration.

Début 2015, l’ancien chef de mission adjoint par intérim à l’ambassade des États-Unis à Kiev, George Kent, a fait part de ses inquiétudes aux fonctionnaires du bureau du vice-président Joe Biden concernant un conflit d’intérêts lié au rôle de Hunter Biden au sein du conseil d’administration de Burisma.
Les préoccupations de M. Kent n’ont pas été prises en compte et, en septembre 2016, il a souligné dans un courrier électronique adressé à ses collègues :

  • « En outre, la présence de Hunter Biden au conseil d’administration de Burisma a été très gênante pour tous les responsables américains chargés de faire pression en faveur d’un processus anti corruption en Ukraine ».

L’ancienne secrétaire d’État Victoria Nuland, a déclaré que le fait de combattre les oligarques enverrait un message anti-corruption en Ukraine et que Zlochevsky était un « odieux oligarque ». « Cependant, en décembre 2015, au lieu de suivre les objectifs américains d’affronter les oligarques, l’équipe du vice-président Biden lui a conseillé d’éviter de faire des commentaires sur Zlochevsky et lui a recommandé de dire : « Je ne vais pas commencer à donner des noms ou à accuser des personnes ».

Hunter Biden a été protégé par les services secrets américains entre le 29 janvier 2009 et le 8 juillet 2014. Un jour avant son dernier voyage sous protection, le Time a publié un article décrivant les efforts de lobbying intensif de Burisma auprès des autorités américaines et la participation de Hunter au conseil d’administration de Burisma.
Avant la fin de son immunité, Hunter-Biden a bénéficié de la protection des services secrets pour des voyages dans de nombreux pays étrangers, notamment Moscou, Pékin, Doha, Paris, Séoul, Manille, Tokyo, Mexico, Milan, Florence, Shanghai, Genève, Londres, Dublin, Munich, Berlin, Bogota, Abu Dhabi, Nairobi, Hong Kong, Taipei, Buenos Aires, Copenhague, Johannesburg, Bruxelles, Madrid, Mumbai et Lake Como.

Andrii Telizhenko, de nationalité russe et agent du parti démocrate, a rencontré au moins dix fois des membres de l’administration Obama, dont Élisabeth Zentos, membre du Conseil national de sécurité d’Obama. La société de lobbying démocrate Blue Star Strategies a passé un contrat avec Telijenko de 2016 à 2017 et a continué à lui demander de collaborer jusqu’à l’été 2019.

Hunter Biden a continué de percevoir 4 millions de dollars par Burisma et 3,5 millions de dollars de la part d’Elena Baturina, l’épouse de l’ancien maire de Moscou.

Sources : Ukraine Report FINAL (PDF – 3.6 Mio) Rosemont-Seneca-Bohai-Bank-Records-Listing (PDF – 71.2 Mio)

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