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Macron externalise l’argent public vers les Start Up subventionnées

samedi 22 février 2025

Alors que le bateau coule et que la France ne représente plus qu’ un ghetto Lgbt et wokiste, Macron persiste à dérouler la politique mondialiste de l’agenda de l’ONU 2030.

L’audit réalisé par Elon Musk démontre que la politique du tandem Biden Obama appliquée par Macron, représente un détournement d’argent public au profit de structures privées subventionnées et corrompues qui appartiennent aux « copains » qui ont financé sa carrière.

C’est une fois de plus un bras d’honneur aux français qui constatent avec impuissance que le président et le gouvernement les volent en toute impunité.

Depuis la révolution industrielle, tout a été fait pour faire baisser le coût du travail par le licenciement. La Fintech a fait mieux, puisqu’en raison du profit généré par la suppression des intermédiaires, on détruit tout.
La Fintech est une entreprise qui développe une technologie numérique pour optimiser un service financier. C’est un « enfant » de la haute finance, qui introduit l’intelligence artificielle et des algorithmes pour établir une base de données pour spéculer ou coordonner.

La matrice de la Fintech se situe dans la création de Start Up.

La nouvelle législation Macron a transformé la France en véritable paradis fiscal. Les actionnaires étrangers de Start Up ne sont plus soumis à la taxe ni à l’impôt et bénéficient de la suppression de L’ISF.
Si la finance a été repensé depuis la crise de 2008, les financiers fossoyeurs ont adopté le slogan « Ni Dieu ni Maître » : sans autorité, ni régulation, la finance ne cessera plus d’être folle.

La French Tech est un échec qui a conduit à la privatisation des dépenses publiques et devrait en choquer plus d’un. Même si le constat peut être sévère, il faut admettre que les français sont atteints d’une apathie généralisée face au détournement de nos impôts.

Que se soit en France où aux Etats-Unis le taux de faillite des start-ups a augmenté de 70% entre 2022 et 2023, d’après le quotidien britannique Financial Times. La hausse des taux a conduit ces entreprises fantômes à cesser leur activités qui ne reposaient que sur du vent et ne servaient qu’à lever des fonds pour alimenter une bulle économique.

La réalité du marché ne peut être ignorée et ce n’est pas pour demain que la situation va s’arranger. Selon la Banque de France, entre janvier 2023 et mai 2024, 5,6 % des start-up majeures ont mis la clé sous la porte en France. Ces entreprises dites majeures sont celles qui ont vendu leur projet mais n’ont pas passé le cap de l’industrialisation. C’est encore une fois une économie du vide avec un contexte politique incertain et une réduction des aides publiques à destination des entreprises de la French Tech. Si nos impôts servent à fabriquer des faillites autant investir dans les structures déjà existantes pour éloigner le risque d’un effondrement de l’outil économique de la France.

Deux tiers des start-up sont directement placées en liquidation judiciaire. Une défaillance sur cinq concerne une start-up du secteur de la santé. Viennent ensuite les secteurs de l’énergie et de l’environnement, de l’alimentation et du e-commerce.
Le profil des start-up défaillantes se caractérise par une absence de fonds propres, la présence de lourdes pertes, la faiblesse de leur trésorerie. En cumul, les start-up défaillantes en 2023 employaient 2 318 salariés.

La Mission French Tech annonce le lancement de « Je choisis la French Tech » Académie : une formation pour aider les start-up à décrocher des marchés publics

La Mission French Tech lance « Je Choisis La French Tech » Académie, une formation en ligne gratuite destinée à former toutes les start-up à la commande publique. Conçue en partenariat avec OpenClassrooms, et grâce à la mobilisation de 40 experts de la commande publique, cette formation permettra aux start-up d’acquérir les compétences nécessaires pour décrocher des marchés publics.
Le projet « Je choisis la French Tech » Académie s’inscrit dans le cadre du programme « Je choisis la French Tech », lancé en 2023 par la Mission French Tech, qui vise à faciliter l’accès des start-up aux acheteurs privés et publics.
Le premier rapport de l’Observatoire des relations entre start-up et grands comptes, publié par le Médiateur des entreprises en mai 2023 indique que 52% des grands comptes publics interrogés estiment que le principal frein à l’achat auprès des start‑ups réside dans leur mauvaise connaissance de la commande publique.
Alors que la commande publique représente un levier de croissance important, mais encore sous-utilisé par les start-up, la Mission French Tech se mobilise pour faciliter l’accès des start-up aux marchés publics.

Disponible dès à présent sur la plateforme de formation d’OpenClassrooms, « Je choisis la French Tech » Académie est accessible à toutes les start-up, où qu’elles soient en France, gratuitement. En seulement 4 heures, elle leur permettra de :

  • Plonger dans l’univers des marchés publics, en apprenant leur fonctionnement et en identifiant les acteurs qui façonnent cet univers stratégique et incontournable.
  • Construire une stratégie efficace en ciblant les marchés innovants, en adoptant des stratégies gagnantes, en valorisant leurs solutions et en bâtissant des relations solides avec les acheteurs publics.
  • Gagner et gérer leurs premiers contrats en apprenant à gérer la relation contractuelle, à maîtriser l’exécution financière et à assurer un suivi rigoureux pour garantir des partenariats efficaces et durables.

C’est la première fois qu’une formation à la commande publique est 100% adaptée aux besoins des start-up.
Elle a été conçue par la Mission French Tech avec l’implication de 40 experts de la commande publique issus de différentes administrations : la Direction des Achats de l’État, la Direction des Affaires Juridiques, le Médiateur des Entreprises, la Mission ministérielle des achats du ministère de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, trois centrales d’achat (UGAP, RESAH, UniHA), le ministère des Armées, la Gendarmerie nationale.

Bordeaux Métropole et La French Tech Réunion[1] ont également été associées, ainsi que plusieurs start-up comme Malt, Altaroad et CountAct.

« Je choisis la French Tech » Académie est disponible sur ce lien https://openclassrooms.com/fr/cours...

Clara Chappaz, ministre déléguée chargée de l’Intelligence artificielle et du Numérique : « La commande publique est un élément clé pour notre souveraineté technologique et économique. Elle représente également un levier essentiel de croissance pour toutes les entreprises, notamment les start-ups, et un catalyseur d’innovation et d’efficacité pour les acteurs publics, comme l’a récemment illustré le partenariat entre France Travail et Mistral AI. Aux administrations, je dis : soyez ouvertes aux solutions innovantes de nos start-ups. Et aux start-ups : n’attendez plus, rejoignez l’Académie « Je choisis la French Tech » et proposez vos solutions aux acheteurs publics. »
Julie Huguet, directrice de la Mission French Tech : « Depuis le lancement du programme « Je choisis la French Tech » en 2023, l’enjeu du renforcement des relations entre start-up et grands comptes publics et privés a fédéré autour de lui plus de 600 entreprises et partenaires. Nous voyons l’émergence d’un ‘réflexe d’achat French Tech’, c’est très positif ! Pour aller encore plus loin et aider les start-up à proposer leurs solutions aux administrations, nous sommes fiers de lancer aujourd’hui « Je choisis la French Tech » Académie, une formation unique, accessible à tous et gratuite, construite avec et pour les start-up, grâce aux meilleurs experts de la commande publique. »

Guillaume Houzel, directeur général délégué au développement d’OpenClassrooms : « Depuis sa création, la mission d’OpenClassrooms est de rendre des savoirs complexes accessibles à travers une pédagogie innovante. Aujourd’hui, il est naturel pour nous de poursuivre cette mission en collaborant avec la Mission French Tech afin de renforcer les synergies entre start-up et acheteurs publics. Travailler avec autant d’experts de la commande publique a été une expérience inédite et enrichissante. Pour OpenClassrooms, c’est à la fois une fierté et un plaisir d’être partenaire de « Je choisis la French Tech » Académie. »

Contacts presse :

Cabinet de la ministre chargée de l’Intelligence artificielle et du Numérique : presse@cabinets.numerique.gouv.fr

Mission French Tech : ft.presse@finances.gouv.fr

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