La révolution « verte » n’est pas celle de l’écologie, mais celle qui nous rapproche de la pierre de Lucifer (Moi, Le Lumineux) qui est l’émeraude.
La BCE est membre du Network for Greening the Financial System, le réseau international des banques centrales, des autorités de surveillance et des organisations internationales qui promeuvent la responsabilité environnementale dans le secteur financier.
Le Network for Greening the Financial System (NGFS) est un réseau de 114 banques centrales et superviseurs financiers qui vise à accélérer la montée en puissance de la finance verte et à élaborer des recommandations sur le rôle des banques centrales en matière de changement climatique. Le NGFS a été créé en 2017 et son secrétariat est hébergé par la Banque de France. Son président actuel est Ravi Menon, directeur général de l’Autorité monétaire de Singapour.
Ursula von der Leyen a réuni en janvier 2025, les principaux dirigeants de l’industrie européenne pour le lancement du dialogue stratégique sur l’avenir de l’industrie automobile européenne.
Ursula von der Leyen, a déclaré : « L’industrie automobile européenne se trouve à un moment charnière et nous sommes conscients des défis qu’elle doit relever. C’est pourquoi nous agissons rapidement pour les relever. La question fondamentale à laquelle nous devons répondre ensemble est de savoir ce qu’il nous manque encore pour libérer le pouvoir d’innovation de nos entreprises et garantir un secteur automobile solide et durable. Ce jour marque le début d’un dialogue qui nous aidera à faire face aux changements à venir. Le résultat de ce dialogue sera un plan d’action complet que nous présenterons le 5 mars. Ce plan d’action tracera une voie claire qui permettra à notre industrie de prospérer en Europe et d’être compétitive sur la scène mondiale. »
Ce plan repose sur trois axes principaux : l’innovation et la numérisation, la transition vers une mobilité propre et le renforcement de la compétitivité industrielle. « L’avenir de l’industrie automobile européenne doit être compétitif, connecté et propre. Avec ce plan d’action, nous prenons des mesures décisives pour renforcer la base industrielle de l’Europe, accélérer la numérisation et stimuler la mobilité propre », a déclaré Apóstolos Tzitzikóstas, membre de la Comission européenne des transports.
En Europe, chaque constructeur doit respecter une limite moyenne d’émissions de CO2 par véhicule vendu. Ce dispositif, appelé CAFE (Corporate Average Fuel Economy), les oblige à commercialiser progressivement des modèles de plus en plus propres, avec pour objectif final la fin de la vente de voitures thermiques neuves en 2035.
Avec les récents accords de frais de douane entre l’Europe et les Etats Unis, de nombreux spectateurs ont qualifié l’Europe de vassal américain, alors que la stratégie européenne est une bulle spéculative qui ruine la totalité de nos industries. Devons nous soutenir aveuglément ceux qui nous mènent droit vers l’abîme ?
En 2024, l’Europe a produit deux millions de voitures de moins qu’avant la crise Covid.
Avec l’augmentation du coût de la vie et les taux d’intérêt élevés, les Européens ne peuvent plus s’offrir une voiture neuve. Le PDG de Renault avait confirmé cette tendance en déclarant que les Européens ont perdu leur pouvoir d’achat et cela fait baisser la demande.
La plus forte baisse de demande concerne la voiture électrique qui représente un coût énorme pour la classe moyenne et un coût d’entretien exorbitant pour le remplacement des pièces. Pour compenser ce déclin économique, les constructeurs ont dû se résoudre à fabriquer leurs véhicules en dehors de l’Europe pour limiter les coûts d’approvisionnement.
Puisque tout doit être détruit, les constructeurs allemands et français persistent à recourir aux cabinets de consulting comme McKinsey dans leur stratégie de développement.
Renault vient d’annoncer auprès des marchés que le groupe ne sera pas en capacité d’atteindre ses objectifs pour le premier trimestre 2025, Quant à Stellantis, le groupe vient d’annoncer une perte nette de 2 milliards au premier semestre 2025.
Ces chiffres ont été publiés avant les accords douaniers entre l’Europe et les Etats Unis. Stellantis exporte deux véhicules sur cinq vers les USA, le Canada et le Mexique. Avec les 15 % d’augmentation de tarifs douaniers, le secteur automobile va mourir coincé entre l’idéologie européenne et l’appétit de l’administration Trump sur les revenus douaniers.
La destruction de l’Empire mondialiste devient plus que nécessaire, même si cette destruction proviendra des trois acteurs économiques que sont les Etats Unis, la Russie et la Chine.
Geopolintel 2 août 2025













