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Les mondialistes ne peuvent arrêter ce qui arrive

jeudi 11 septembre 2025

Deux événements majeurs se sont déroulés simultanément en France et aux Etats Unis :
L’assassinat de l’influenceur MAGA Charlie Kirk et le mouvement de protestation du 10 septembre.

Ils représentent à la fois le désir de libération de deux peuples du joug mondialiste et la folie destructrice d’un pouvoir qui perd le contrôle de la population.

La militarisation de l’information est un phénomène globaliste qui devait nous mener à la troisième guerre mondiale et rien ne s’est passé. Le déclin du changement climatique et l’arrêt brutal du financement du terrorisme ont été deux coups fatals dans la politique belliciste des faiseurs de guerre.

Maintenant, il faut analyser comment le même jour, un jeune père de famille est mort pour avoir prôné la liberté d’expression et comment un peuple est interdit d’exprimer librement son mécontentement concernant la gestion du budget de la France qui les appauvrit chaque jour de plus en plus.

Le mouvement « Bloquons tout » du 10 septembre 2025 a été annoncé dès le mois de juillet par l’intermédiaire des médias qui sont à la solde de Macron et des milliardaires qui ont fabriqué l’écosystème de la Macronie.

Cette théâtralisation est à l’opposé du mouvement spontané des « gilets jaunes » qui a fallii renverser Macron en 2018. Le premier quinquennat de Macron a été géré à la matraque pour mater une population qui en avait assez de voir comment le gouvernement augmentait les taxes sur le carburant pour éponger l’annulation de l’impôt sur la fortune et laissser la place à une fiscalité qui profitait aux investisseurs étrangers avec une flat tax, impôt à taux unique de 30%, alors que le taux habituel est proche des 60%. Concernant les actionnaires de ces start up, les investisseurs étrangers étaient assujétis à tout impôt et de facto, transformait la France en paradis fiscal pour recevoir des subventions de l’Etat et des cadeaux fiscaux.

Le maintien de Macron au pouvoir, a rendu nécessaire la mutilation des manisfestants avec les fameux LBD et l’instauration de la peur pour éviter que le mouvement prenne de l’ampleur.

Devant l’impossibilité de boucler un budget et après avoir essoré 3 premiers ministres, Macron a choisi de tester le niveau de protestation de la population en créant l’opération psychologique du mouvement « Bloquons tout ».

Selon le ministère de l’Intérieur, au moins 175.000 personnes ont participé au mouvement « Bloquons tout ! », à travers 550 rassemblements dans tout le pays. 540 interpellations ont été enregistrées, dont 211 à Paris.

En 2019, les « Gilets jaunes » ont représenté 10 000 gardes à vue, 3 100 condamnations, c’était une réponse pénale sans précédent. Pour le nombre de manifestants le chiffre de 2025 est en baisse par rapport à 2019 mais se maintient, même si les préfectures minimisent le nombre des participants.

D’après le ministère de l’Intérieur, « À 19 heures, le bilan consolidé fait état de 850 actions, dont 596 rassemblements et 253 blocages réunissant 197.000 participants ».

Ce test de la rue, né sur les réseaux sociaux, intervient après la démission du Premier ministre Bayrou, et aura servi à identifier le profil des manifestants afin d’adapter un discours qui devra endormir les velléités de révolte.
Le but de cette opération psychologique, grandeur nature, doit identifier si les manifestants appartiennent au mouvement de Jean Luc Mélenchon, puisque le Rassemblement National de Jordan Bardella ne votera pas la destitution de Macron.

Jean Luc Mélenchon peut-il obtenir la destitution d’Emmanuel Macron ?

C’est la deuxième fois que le groupe LFI de l’Assemblée nationale demande la destitution d’Emmanuel Macron.
L’idée consiste à remettre en cause la légitimité du président de la République par son irresponsabilité de la gestion du budget de l’Etat.
Cette gestion abusive de la dette pour faire fonctionner notre pays, est un paravent pour détourner de l’argent des Français au travers des faveurs qui sont accordées aux copains de la République macroniste.

Les articles 67 et 68 de la Constitution disposent, notamment, que « Le président de la République n’est pas responsable des actes accomplis en cette qualité », il « ne peut être destitué qu’en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat. La destitution est prononcée par le Parlement constitué en Haute Cour ».

Destitué, le président redevient un citoyen ordinaire, susceptible de poursuites pénales dans les conditions du droit commun.

C’est de cette manière que Macron a maté le groupe des Républicains en obtenant la condamnation de Nicolas Sarkozy, qui a dû porter un bracelet électronique.

Normalement, c’est le gouvernement qui est politiquement responsable devant le Parlement, et Bayrou en a fait les frais en devant démissionner.
Pour Macron, son irresponsabilité doit atteindre un tel degré de gravité, que la majorité et opposition s’accordent sur l’impossibilité pour le président de poursuivre l’exercice de ses fonctions.
Si Macron a maté les manifestants, il a instauré une grande peur dans ses propres rangs pour obtenir une obéissance totale envers ses troupes à l’assemblée.
C’est ainsi qu’il a nommé Attal, Barnier, Bayrou et enfin Lecornu pour satisfaire tout le monde sans oublier les socialistes qui se sont fait attrapés en pleine conspiration avec les journalistes de Radio France pour monter une stratégie pour les municipales de 2026 et les présidentielles de 2027.

Pour finir sur cette opération psychologique du 10 septembre, la destitution de Macron ne peut être prononcée qu’à la majorité des deux tiers des membres des deux assemblées parlementaires réunies en Haute Cour.

Comment Macron et Lecornu vont ils s’organiser pour éviter la destitution ? Voilà la seule question qu’il faut se poser, sachant que de nombreux parlementaires détestent Macron, mais l’affaire Epstein a joué un rôle non-négligeable en France, et le CRIF a jeté son dévolu sur le Rassemblement National.

Assassinat de Charlie Kirk, influenceur du mouvement trumpiste MAGA

Charlie Kirk a été assassiné lors d’une conférence sur un campus de l’Utah. Ce militant conservateur et cofondateur de Turning Point USA, débâtait avec des étudiants de l’université d’Utah Valley lorsqu’il a été mortellement blessé par balle.

Dans les rangs du président Trump, c’est la stupeur. Ce jeune père de famille organisait ses conférences avec pour stratégie la liberté d’expression pour ouvrir les yeux des jeunes Américains sur la nécessité de respecter la constitution du pays qui donne le plein droit d’exprimer son opinion.
L’expression libre est une arme redoutable et a permis à Trump de renverser le mouvement mondialiste aux Etats Unis.
Donald Trump avait exprimé cette priorité de la libre expression au pupitre de l’ONU en 2018. Il avait prédit que les démocraties menaçaient la liberté d’expression.
La mort de ce jeune homme confirme que la libre parole peut déstabiliser le pouvoir. L’information est une arme de la guerre de cinquième génération et nous avons pu constater la militarisation des réseaux sociaux depuis l’élection de Trump en 2016.

Si la vérité éclate, c’est tout un pan de la mondialisation qui s’écroule. Le phénomène a commencé par l’action du mouvement Wikileaks et de son fondateur Julian Assange, qui a purgé 13 années reclus dans l’ambassade du Pérou à Londres puis en prison de haute sécurité.
Sa libération en 2024 a été le signe de la victoire de la libre expression et de la réélection de Donald Trump à la Maison Blanche.

Le discours du vice-président Vance à la conférence de Munich sur la sécurité le 14 février 2025 a bouleversé l’Europe. L’Amérique, notre plus grand allié, a critiqué le modèle européen et pointé du doigt le manque de liberté d’expression. Vance a exprimé son mécontentement sur la non prise en compte des doléances des peuples européens qui en ont assez de la guerre en Ukraine, de la dette et du pouvoir dictatorial de Bruxelles.

« La démocratie repose sur le principe sacré que la voix du peuple compte. Il n’y a pas de place pour les cordons sanitaires. Ou bien vous défendez ce principe, ou bien vous le rejetez. »

Cette voix du peuple qui était représentée en la personne de Charlie Kirk, qui n’avait pas pu retenir ses larmes lors le soir de l’élection de Donald Trump a été tué d’un coup de revolver alors qu’il tentait de libérer les jeunesses des campus universitaires américains. La mort du Wokisme aux Etats Unis ne plait pas au pouvoir ni à la gauche radicale, dont sont issus Hillary Clinton et Barack Obama, qui ont reçu la formation du gourou Saul Alinsky.

Une voix s’est éteinte, d’autres vont surgir, et notre libération du mondialisme viendra.
Si le pouvoir repose sur le mensonge, la liberté vient de la vérité.

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