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La fille de Klaus Schwab, milite pour la privatisation du vivant

lundi 6 septembre 2021

Comme Ghislaine Maxwell qui voulait sauver les Océans, le fille de Klaus Schwab, milite pour la privatisation du vivant avant l"agenda 2030 de l’ONU et de l’établissement du Nouvel Ordre Mondial qui proposera la privatisation de tout ce qui nous permet de vivre. Ce projet de Business Case sera l’asservissement des humains, qui se débattent en ce moment pour juguler le génocide vaccinal.

Fille du fondateur du World Economic Forum (WEF) Klaus Schwab, Nicole Schwab a cofondé en 2009 « The Gender Equality Project », qui encourage les entreprises à favoriser la diversité. Après avoir étudié à Harward et à Cambridge, elle a été, de 2004 à 2006, à la tête du Forum of young global leaders (voir Marlène Schiappa), ce cénacle de personnages de moins de 40 ans à l’avenir prometteur réunis sous l’égide du WEF. De formation scientifique, elle est également membre du conseil d’administration de la Fondation d’entreprise Chanel, qui œuvre pour améliorer la condition des femmes et est une partisane des quotas féminins dans les entreprises.

Nicole Schwab est issue de la lignée transhumaniste et compte bien modifier le monde.
Ceux qui croient à la vaccination pour retrouver la santé se feront prendre dans le mensonge de l’écologie pour privatiser la vie sur terre.
Notre élite se prend pour Dieu, alors qu’elle sert le diable.

Nous devrons protéger 30 % de la planète d’ici 2030.

WEF

Des espèces disparaissent à un taux 1 000 fois supérieur au taux d’extinction naturel.

Tandis que le monde se bat pour respecter l’accord de Paris sur le climat et tenter d’empêcher la sixième extinction de masse sur Terre, une équipe internationale de scientifiques a publié une voie à suivre : le Global Deal for Nature (accord mondial pour la nature).

Le plan basé sur des résultats scientifiques, publié dans Science Advances, propose des objectifs ambitieux pour la conservation de la nature ; ces derniers constitueraient le moyen le plus efficace de faire face à la menace d’extinction et de nous aider à éviter un changement climatique catastrophique avant qu’il ne soit trop tard.

L’accord prévoit que 30 % de la planète soient protégés d’ici 2030, et que 20 % supplémentaires soient maintenus ou restitués à un état naturel et qualifiés de zones de stabilisation climatique.

Biodiversité et changement climatique

La biodiversité - la diversité de la vie sur Terre, des espèces aux écosystèmes - est étroitement liée au changement climatique. Les forêts tropicales, par exemple, abritent plus de la moitié des espèces terrestres et absorbent plus de pollution par le carbone que tout autre écosystème terrestre. Elles retiennent également beaucoup plus de carbone que les monocultures plantées.

Il en va de même pour d’autres écosystèmes, tels que les mangroves intactes et les herbiers marins, habitats d’une grande biodiversité qui stockent plus de carbone que des zones côtières dégradées.

Mais nous avons déjà transformé plus de la moitié des terres de la planète pour produire notre nourriture et gravement endommagé nos océans. En conséquence, non seulement des espèces disparaissent à un taux 1 000 fois supérieur au taux d’extinction naturel, mais nous perdons également la capacité du monde naturel à nous débarrasser de notre propre pollution.

À l’heure actuelle, 45 % de la planète est encore à l’état naturel ou semi-naturel. Mais ce nombre diminue rapidement, ce qui fait fortement pression sur la survie de nombreuses espèces et contribue à accélérer le changement climatique. Ces dernières années, le déboisement et les feux de forêts en Indonésie et au Brésil ont été responsables à eux seuls de 15 % des émissions annuelles de gaz à effet de serre.

Les données scientifiques montrent que nous approchons des points de bascule sur tous les fronts. Si les tendances actuelles des émissions de gaz à effet de serre, de la conversion des habitats naturels et du braconnage des grands animaux ne sont pas inversées, il sera impossible de maintenir le réchauffement en dessous de 1,5 °C. De nombreux écosystèmes et espèces vont simplement s’amenuiser et disparaître.

Le cas de la conservation

Nous savons que des aires protégées bien gérées sont efficaces pour préserver la biodiversité et accroître la résilience des écosystèmes, à la fois terrestres et océaniques. Dans les réserves marines où la pêche commerciale est interdite, la biomasse de poisson est six fois supérieure à celle des zones non protégées adjacentes. Les zones voisines bénéficient également de « l’effet de débordement », qui aide à améliorer la production des pêcheries locales.

Les gouvernements ont convenu de protéger 17 % des terres et 10 % des océans d’ici 2020. Mais aujourd’hui, nous ne sommes pas à la hauteur, avec 15 % des terres et 7 % des océans protégés.

Plus important encore, selon la plupart des textes scientifiques, ces objectifs ne suffiront pas à éviter les extinctions, mettre un terme à la perte de biodiversité ou maintenir les services écosystémiques essentiels.

Un nouvel accord

Le Global Deal for Nature a analysé la partie de la planète à préserver pour que nos écosystèmes continuent d’abriter une grande quantité d’espèces et de fournir des services essentiels à la vie humaine, notamment la séquestration du carbone.

L’étude a utilisé les classifications existantes des écorégions comme cadre pour évaluer le pourcentage de ressources en terres, en eau douce et en océans devant être couvertes par des mesures de protection. L’analyse s’est également intéressée aux zones clés et aux points chauds de la biodiversité, aux réservoirs de carbone anciens, ainsi qu’à la connectivité entre les zones protégées, ce qui est important pour les espèces migrant ou nécessitant de grands habitats.

Le Global Deal for Nature conclut qu’il est essentiel de protéger au moins 30 % de la surface de la Terre d’ici 2030 et fournit un cadre pour la répartition de ces 30 % dans les zones les plus importantes pour la biodiversité.

Mais cela ne suffit pas. Étant donné que les puits de carbone terrestres absorbent actuellement un quart des émissions, les scientifiques concluent que si nous voulons rester en deçà d’un scénario de réchauffement de 1,5 °C, nous devons désigner 20 % supplémentaires de la planète comme zones de stabilisation climatique.

Ces zones couvriraient les réserves naturelles de carbone, telles que les mangroves, les toundras et les forêts boréales et tropicales. Dans ces zones, la conversion des terres doit être limitée. Par exemple, dans des endroits critiques tels que l’Amazonie, nous devons conserver au moins 85 % de la couverture forestière pour éviter que la zone devienne une savane. L’Amazonie génère ses propres régimes pluviaux et météorologiques. Mais si plus de 15 % de la forêt actuelle est défrichée, elle perdra sa capacité à générer elle-même suffisamment de pluie pour rester telle quelle, avec des conséquences sur les conditions météorologiques mondiales.

Pour atteindre 30 % d’aires protégées et 20 % d’aires de stabilisation climatique, le Global Deal for Nature souligne le rôle essentiel des peuples autochtones en tant que gardiens traditionnels de leurs terres et de leurs moyens de subsistance.

Qu’en est-il des autres menaces ?

En complément des objectifs de protection, le Global Deal for Nature propose des recommandations politiques visant à réduire les menaces qui pèsent sur le monde naturel, telles que :

  • Ralentir et arrêter le défrichage des habitats naturels intacts pour l’agriculture, déplacer les cultures vers des terres déjà dégradées et mettre l’accent sur la réduction du gaspillage alimentaire
  • Mettre en place des approches proactives pour régir les projets de développement des routes, des barrages et de l’énergie
  • Gérer les pêcheries en se basant sur des objectifs scientifiques
  • Réduire la pollution plastique et chimique, qui nuit à l’air, à l’eau, au sol et aux espèces dont nous dépendons

Combien cela coûtera-t-il ?

Le Global Deal for Nature estime que le coût des mesures de conservation de la nature sur la moitié de la Terre pourrait atteindre 100 milliards de dollars par an. Les dépenses actuelles en matière de conservation représentent moins de 10 % de ce montant. Des sources de financement supplémentaires seront nécessaires, y compris des investissements du secteur privé. Cependant, la conservation créera de nouvelles opportunités et des avantages financiers directs. Selon les estimations, les bénéfices annuels accrus pourraient aller de 53 milliards de dollars dans le secteur des produits de la mer à 4 300 milliards de dollars dans le secteur des assurances.

Il est temps d’agir

La bonne nouvelle est que la combinaison de l’Accord de Paris sur le climat et du Global Deal for Nature est claire sur les actions à mener. Si nous veillons à ce que la moitié au moins de la planète soit dans un état naturel intact d’ici 2030 et que nous combinons cela avec des mesures de transition énergétique, nous pouvons encore enrayer la tendance actuelle à la perte d’espèces et maintenir la hausse des températures moyennes mondiales en dessous de 1,5 °C.

Le message est clair, le chemin à prendre aussi. Mais le temps est compté. Nous devons adopter une position audacieuse et agir dès maintenant. Voulez-vous nous rejoindre ?

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