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Le Covid Long est une réactivation du virus de la mononucléose

samedi 31 décembre 2022

Le Covid Long est un effet secondaire de la vaccination. Cette affirmation se base sur une analyse de sang provenant d’un homme de 52 ans, Christophe S, professeur de technologie qui a reçu trois doses de vaccination Covid.
Cet homme a décidé de réaliser une prise de sang pour savoir si son taux de cholestérol et de gamma GT était en baisse après avoir effectué un régime recommandé par son médecin généraliste.
L’analyse montre une baisse des hématies en dessous de la norme provoquant une légère fatigue chronique, son taux est à 4,48 alors qu’en avril 2020 il était à 5,01.
Le taux d’hémoglobine est lui aussi en baisse à 14,4 g/dl, la moyenne basse est à 14.

Les syndromes mononucléosiques sont caractérisés par l’apparition dans le sang, et en grand nombre, de cellules mononucléées, cela correspondant à une réaction immune de l’organisme.
Sur l’analyse le taux est de 6,6%

La mononucléose est bénigne et dure entre 4 et 6 semaines.

Les préoccupations de notre ministre de la Santé sur le Covid Long ne sont donc pas légitimes et surtout montre que le vaccin exerce une baisse immunitaire par inflammation des injections covid.

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Covid long : la réactivation du virus de la mononucléose en cause ?

Selon une étude récente, la réactivation du virus Epstein-Barr (EVB), le virus responsable de la mononucléose pourrait être l’élément déclencheur des Covid longs. 73% des patients atteints d’un coronavirus long possèdent des anticorps contre le virus EVB.

On connaît peut-être la cause des Covid longs. Selon une étude publiée le 17 juin dernier dans la revue Pathogens, la mononucléose serait responsable des cas de Covid longs. Selon les auteurs de l’étude, c’est la réactivation du virus Epstein-Barr (EBV), responsable de la mononucléose et qui est dormant dans l’organisme chez beaucoup d’adultes, qui serait l’élément déclencheur des symptômes à long terme chez certains malades atteints du coronavirus.

En réalité, le virus Epstein-Barr est présent chez 95% des personnes adultes en bonne santé sous une forme « dormante ». Après une contamination dans l’enfance ou l’adolescence, il ne provoque donc aucun symptôme chez les personnes qui l’ont contracté, mais peut se réactiver soudainement en cas de stress intense, de déficit immunitaire ou d’inflammation. Un état inflammatoire causé notamment en cas de coronavirus.

73% des Covid longs ont des anticorps contre l’EVB

Les symptômes de la réactivation du virus EVB, responsables de la mononucléose, sont la fatigue, le brouillard cérébral, les troubles du sommeil, l’arthralgie, la pharyngite, la myalgie, les maux de tête, la fièvre, les troubles gastro-intestinaux et diverses éruptions cutanées. Des symptômes similaires aux patients atteints de Covid long. Parfois appelé syndrome Covid chronique ou syndrome post-Covid-19, il touche environ 30% des patients ayant eu la Covid-19 selon l’étude.

Afin de déterminer un lien de cause à effet entre virus EBV et Covid-long, les scientifiques américains ont recruté 185 personnes ayant contracté le coronavirus, dont 55 avaient développé une forme longue. Ils ont alors recherché dans leur sang la présence d’anticorps spécifiquement liés au virus Epstein-Barr.

Résultat : 73% des patients atteints d’un coronavirus long possédaient des anticorps pour le virus EVB, prouvant sa réactivation.

Une réactivation induite par l’inflammation de la Covid

Les chercheurs ont également constaté que la réactivation du virus Epstein-Barr s’est produite peu de temps après, voire au même moment que l’infection au coronavirus. « De nombreux symptômes longs du Covid ne sont peut-être pas le résultat direct du virus SARS-CoV-2 mais peuvent être le résultat d’une réactivation de l’EBV induite par l’inflammation du Covid », concluent donc les auteurs de l’étude.

Si des études supplémentaires devront être faites pour comprendre le rôle exact du virus EVB dans la survenue de Coivd longs, c’est une étude qui pourrait améliorer le diagnostic des personnes atteintes de cette forme longue de coronavirus et donc améliorer leur prise en charge. Les chercheurs incitent en effet au dépistage de la réactivation de l’EBV chez les patients positifs au coronavirus afin de pouvoir réduire son intensité et sa durée, ce qui pourrait aider à inhiber le possible développement d’un Covid long chez les malades.

La persistance de symptômes plusieurs mois après l’infection a d’ailleurs été reconnue par l’Organisation mondiale de la Santé en septembre 2020. « La Covid-19 peut entraîner une maladie prolongée et des symptômes persistants, y compris chez les jeunes adultes et chez les personnes qui n’ont pas ou peu d’antécédents de santé chroniques et qui n’ont pas été hospitalisées ».

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