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Le diabolique Joe Biden triomphe au Capitole

mercredi 20 janvier 2021

Qui chantera, le 20 janvier l’hymne national américain lors de la cérémonie d’investiture du 46e président des États-Unis ? Je vous le donne en mille ! Stefani Germanotta, alias Lady Gaga la bien nommée. Vous m’en direz tant, seuls d’infâmes complotistes façon Alex Jones (infowar.com) se repaissent des innocentes facéties lucifériennes de Gaga et consœurs style Madonna pour y voir… ce qui n’existe pas, à savoir la consommation par les grossiums de l’entertainment (en français showbiz), de la coke et autre crack ou le recours à l’adrénochrome (le sang saturé d’adrénaline de jouvenceaux sacrifiés pour la bonne cause), un pur mythe né dans les cerveaux malades de jalousie des sans-dents et autres sans talent. Passons. Sheytan ne participe-t-il pas uniquement d’un (très innocent) folklore hollywoodien ? La question mérite d’être posée, notamment après que l’acteur Christian Bale eut remercié icelui en janvier 2019 sur la scène des Golden Globes, pour lui avoir donné l’inspiration nécessaire à incarner dans le film « Vice » l’ancien vice-président Dick Cheney ! Mauvais goût ou sincérité exhibitionniste ?

Trump fin de partie

Maintenant, à l’endroit de ceux qui font des gorges chaudes à propos de la soi-disant piteuse fin de partie du Quarante-cinquième président des États-Unis, poursuivi qu’il est par les Erinnyes lâchées par le Parti Démocrate et les prédateurs de la Silicon Valley, nous pouvons leur retourner le compliment. Quoi de plus pitoyable que d’inaugurer un nouveau mandat dans une ville en état de siège, occupée par vingt-cinq mille personnels en arme de la Garde nationale, du jamais vu ? Ce M. Biden hissé sur le pavois par un système vérolé jusqu’à la moelle, est bien peu reluisant et va illico s’empresser de démolir tout ce que son prédécesseur avait tenté d’édifier… et que pendant quatre années ses adversaires ont tout fait pour ruiner en continu avec l’aide du merveilleux covid arrivé à point nommé pour renverser la vapeur avec ses cent millions de votes par correspondances… Aujourd’hui les États-Unis doivent faire face chaque semaine à l’arrivée de 965.000 nouveaux demandeurs d’emploi avec un taux chômage de 6,7 %, soit 19 millions de chômeurs, au lieu des 3,5 % avant la crise du Covid-19 et à une dette publique atteignant 127 % du PIB [cf.MarcRoussetBdV18janvier21]. Du beau travail en somme que la presse nous présente comme le bilan désastreux de l’homme à abattre… celui en réalité de ses ennemis et inexpiables adversaires continuant à le poursuivre de leur vindicte… même après son départ de la Maison-Blanche, et ce, au moyen d’une grotesque procédure en destitution a posteriori dont le but est évidemment de l’empêcher d’ouvrir ses dossiers et de publier les éléments compromettants qu’ils contiennent.

Mr. Biden, nouvelle et peu gracieuse Pénélope, annonce tout de suite la couleur : par décret – donc sans passer par le Congrès – il entend régulariser (accorder la citoyenneté américaine ?) à onze millions d’illégaux présents sur le sol américain et lever toute restriction à l’entrée des ressortissants des pays musulmans pourtant susceptibles d’alimenter les filières terroristes. Il entend en outre intensifier la lutte contre l’actuel coronavirus - lequel, soit dit en passant, aurait été bien moins mortel à travers le monde que la grippe de 2017, tout étant affaire de présentation, de chiffres et de manipulations statistiques afin de créer la panique et entretenir une psychose incapacitante… pour mieux ainsi de développer un invasif contrôle social sous couvert de politique sanitaire. Vous voulez de la peur ? Et bien vous en aurez et même à satiété !

Certes, finalement, sur la ligne d’arrivée, M. Trump a échoué à curer le vaste marigot de toutes les turpitudes des élites déjantées des côte Est et Ouest. Ne lui en tenons pas rigueur, il a apparemment opté dans sa lutte contre l’establishment du mensonge pour la voie légale. Laquelle s’est avérée sans aucune issue face à une administration judiciaire Démocrate maniant avec insolence et virtuosité - à propos des preuves de fraudes - le « j’sais pas… j’veux pas savoir… ça ne m’intéresse pas… passez votre chemin y a rien à voir » ! Démarche légaliste de moindre casse que préconisait l’avocat Rudy Giuliani (et ancien maire de New York), au contraire de la stratégie de rupture et de grand déballage que recommandait la dynamiteuse Sydney Powell. Celle-ci n’est effectivement pas parvenue à relâcher son terrible Kraken (qui a fait pschitt et s’est rapetissé en un petit lézard !). Le marais n’a pas été drainé, les Écuries d’Augias n’ont pas été balyées par les eaux lustrales du fleuve Alphée, et au demeurant, Mr. Trump, furibard contre son conseiller (counselor) trop modéré et ses recours inaboutis (60 au total devant diverses juridictions et la Cour suprême), refuse de lui verser les 20.000 $ quotidiens (et ses frais) prévus initialement. Encore du rififi judiciaire en perspective !

Sorties de route

Au reste Rudy Giuliani n’en était pas à sa première fausse route… c’est apparemment sur son avis mal avisé que Donald Trump failli une première fois se voir destitué après avoir, au cours d’un échange téléphonique, suggéré à son homologue ukrainien, le président Volodymyr Zelensky de faire ouvrir une enquête visant Hunter Biden (tel père tel fils ?). Un geste de bon voisinage qui aurait contribué à hâter le versement d’une aide publique votée par le Congrès américain d’un montant de 400 millions de dollars. Savamment exploitée et dénaturée cette conversation servit de point de départ aux Démocrates (majoritaires à la Chambre des représentants sous la houlette de la virago Pelosi), pour lancer une mise en accusation du président en exercice au motif « d’abus de pouvoir » et « d’entrave à la bonne marche du Congrès ». Il s’en fallut de peu que le coup ne portât. Sauvé par le bloc Républicain du Sénat, D. Trump n’en sentit pas moins passer le souffle du boulet tout en persévérant – mal lui en prit - à accorder sa confiance à celui qui l’avait incité à commettre une bévue potentiellement politiquement létale [cf.parismatch.com15jan21].

In fine, en raison de l’adage suivant lequel la plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a, ne tenons pas trop rigueur à D. Trump s’il n’a pas tenu toutes les mirobolantes promesses - explicites ou implicites - qu’il nous a prodiguées au cours de son mandat et même s’il nous a bercés de quelques séduisantes illusions, nous devons tenir compte de sa très étroite marge de manœuvre. Si mince qu’elle est difficilement imaginables pour nous autres Céfrans, dociles sujets d’un monarque républicain au petit pied… Il n’en reste pas moins qu’avec ses 74 millions de suffrages pour sa candidature à un second mandat (dix de plus que quatre ans auparavant, de l’inédit intégral dans l’histoire de la démocratie américaine), D. Trump aura ouvert une brèche dans le Système… Il aura aussi mis en évidence la sournoise dictature des GAFAM, les géants de l’économie virtuelle, qui travaillent sans relâche à consolider leur hégémonie sur la pensée, les modes de vie et les habitudes des masses en promouvant la domination sans partage de leur idéologie : consumérisme ad libitum (marchandisation de l’homme, du vivant et du monde en général), messianisme et transhumanisme, ceci sur les décombres du Vieux monde et de la Civilisation helléno-chrétienne.

Que Twitter (lequel a aussitôt perdu deux milliards de $ en cotation boursière) avec son acolyte Facebook se soient crus autorisés à clore définitivement les comptes (88 millions d’abonnés sur Twitter et 30 millions sur Facebook) d’un président encore en exercice, montre à la fois la puissance décomplexée de ces monstres monopolistiques et leur faiblesse puisque ces décisions (inadmissibles dans l’ordre démocratique) signalent leurs fragilités systémiques en révélant leurs peurs… celle entre autre de la popularité d’un président honni dès le premier jour de son élection. Crainte enfin des armes cachées que pourrait sortir en dernière instance l’homme blessé… crainte encore (sans doute très exagérée) d’un déferlement le 20 janvier sur Washington de personnages hauts en couleurs, tatoués et coiffés de cornes de bison, armés pour certains, en un mot poisseuse inquiétude devant des masses flouées d’une élection gagnée… mais perdue par tricherie éhontée, vilaine frousse de leur légitime colère…

La face hideuse de la tyrannie cachée

Bref, non seulement les Titans de la Silicon Valley ont montré leur vrai visage (et, espérons-le, commencé à connaître un certain déclin eu égard à la concurrence commençant à s’engouffrer dans le vide dépressionnaire créé par leur boulimique arrogance), mais une réelle défiance a trouvé sa place et pur longtemps dans l’esprit d’une majorité d’Américains patriotes (blancs mais pas seulement avons-nous déjà dit). Profonde méfiance vis-à-vis de ceux qui se servent des Institutions pour les dévoyer à leur profit, les trahir et faire de la démocratie un décor à la Potemkine, cachant et protégeant les graves écarts de conduite de quelques grands prédateurs cosmopolitistes, déracinés, ayant rompu les amarres d’avec le monde d’avant, soucieux de jouir sans limites d’une puissance non née de leur génie propre mais de leur faculté à manier l’argent et à duper les hommes… jouissance tous azimuts, sans temps mort ni entraves.

Une lutte à mort est assurément engagée entre le progressisme Démocrate (du passé faisons table rase) qui s’est dernièrement incarné le 5 janvier dans la dernière élection sénatoriale de Georgie (qui donne au Sénat la parité au deux camps) remportée par deux membres de communautés appartenant à des minorités proactives, afro-américaine et hébreue. Le portrait craché de l’Amérique bidéniste. Maintenant, bis repetita, l’une des victoires les plus notables du taureau Trump, aura été d’ébranler le système jusqu’à lui faire montrer au grand jour sa fragilité… Le FBI ne vient-il pas de se voir confier la mission – un rôle similaire à celui des commissaires politiques doublant la hiérarchie militaire dans l’Armée rouge – de superviser le déploiement le 20 janvier de la Garde nationale dans la capitale Washington ? [AssociatedPress&Géopolinte18jan21]. Or çà, dès le 21 janvier, il est à supposer que ces nuées démocratiques seront appelées à se dissiper… La Nation devant consacrer toutes ses forces à lutter contre la pandémie et à vacciner à tour de bras, parce que l’ARN messager, le faux vaccin mais vraie thérapie génique c’est indubitablement la vie ! Une guerre chasse l’autre… si tant est que l’orage n’éclate pas au-dessus des eaux émeraudes du Golfe persique. Une Troisième guerre y est en effet à l’ordre jour nonobstant l’épaisse ignorance des affaires du monde dans laquelle les opinions publiques occidentales se trouvent hermétiquement confinées.

Le vaccin, c’est la vie !

Vous aurez toujours plus de masques, de distanciation sociale, d’interdits de toutes sortes, de puçage ou, dans un premier temps, de passeport sanitaire, au moins pour voyager. De ce fait, le mondialisme vulgaire va en prendre un coup et, peut-être, que cela n’en sera pas plus mal pour autant ! Frileuse la termitière humaine, va se calmer un peu. Les zones franches de la grande consommation sexuelles (Marrakech, Pattaya, etc.) seront plus difficiles d’accès et deviendront réservées à la “classe loisirs”1 avec moins au touriste de base en rut. Néanmoins tout n’est pas encore parfaitement rose tendre au pays des Moderna et Pfizer et autre Astrazeneca… Ainsi, Bloomberg, un site fréquenté par des gens réputés sérieux, met les pieds dans le plat : ses rédacteurs commencent à poser des questions incongrues quant à une « éventuelle corrélation existant entre la vaccination de masse et un regain d’attaques virales.

Car dans l’état actuel des choses, il devient « assez difficile de nier une possible corrélation entre la vaccination de masse et une forte hausse des cas de Covid-19 en Grande-Bretagne et en Israël ». Dans ce très petit pays, sur 170.000 injections [info-irael.news17jan21], 4500 vaccinés2 auraient été infectés une nouvelle fois par le coronavirus [europe-israel15jan21]. Commentaire impertinent : “il est en effet difficile de nier le fait que les Arabes israéliens qui dans l’ensemble évitent le vaccin, sont moins atteints par le Covid que les juifs orthodoxes qui, eux, semblent croire en Pfizer dur comme fer. Merci aux Israéliens qui se montrent dans cette occurrence d’excellents indicateurs de l’impact vaccinal” [Ctim] !

Par ailleurs, soucieux de ne pas nous étendre outre mesure sur le chapitre scabreux de l’instauration d’une dictature sanitaire à l’échelle mondiale… repérable à l’intensité des bombardements de fausses nouvelles, et entretenue par de perverses confusions entre mortalité et contamination supposée, par les médias grands publics s’employant à déverser chaque jour la propagande la plus anxiogène possible… afin de pousser le troupeau vers les seringues des employés vaccinateurs. Relevons toutefois que – sans aucune relation de cause à effet, Ô grand jamais ! – que la mortalité semble augmenter chez les grands vieillards récemment vaccinés : Mauricette, la pionnière française en la matière, serait décédée dans son Ephad. Dieu ait son âme. Un peu plus haut, en Scandinavie, « 13 décès [dans les heures qui ont suivies la piqûre fatale !] ont été recensés et évalués ; 16 autres décès sont également en cours d’examen… ces patients ont ressenti les effets secondaires attendus du vaccin, tels que nausées et vomissements, fièvre, réactions locales au site d’injection… [hélas très vite suivi] d’une aggravation de leur état sous-jacent ». Or relevons que : « jusqu’au 15 janvier le vaccin Pfizer et BioNTech SE était était le seul disponible en Norvège, par conséquent tous les décès ne peuvent qu’être liés à celui-ci »… ainsi que l’a déclaré la très officielle Agence norvégienne des médicaments dans une réponse écrite à Bloomberg [bloomberg.com16jan21].

En Hexagonie nous n’en en sommes pas encore, mais l’on peut expressément compter sur les autorités sanitaires et politiques pour ne pas porter à la a connaissance de l’opinion les éventuelles bavures vaccinales… Et puis gageons qu’aucune autopsie médicolégale ne sera jamais conduite pour déterminer la cause exacte des décès survenus dans les Établissements hospitaliers pour personnes dépendantes après séance vaccinatoire plus ou moins contrainte.

Durant la vague de mars, nous eûmes droit au morbide décompte quotidien des morts. Puis en octobre il s’est agi de dénombrer « les cas » (sur la foi de tests déficients comportant quelque 97 % de faux positifs)… Aujourd’hui, faute de vrais malades, l’on brandit l’épouvantail du « variant » anglais ou Sud-africain, peut-être plus contagieux mais vraisemblablement beaucoup moins dangereux ! Si chaque fois qu’un nouveau mutant apparaît c’est la panique à bord (le détestable pdg de Moderna clame à la cantonade que désormais le monde devra « pour toujours » vivre avec le covid !), non seulement notre économie aura défuncté une bonne fois pour toutes et la planète macdonalisée sera la proie de méga monopoles tels que décrit dans le mauvais roman de Claude Farrère « Les condamnés à mort » (1920). Le Grand reset sera passé par là… À moins qu’il ne soit subverti par le Grand réveil des âmes… ou à défaut, le Grand réveil des consciences. L’Amérique profonde nous montrera-t-elle la route à suivre ?

18 janvier 2021

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