Le rêve ultime de ces nouveaux bourreaux de la vérité est calqué sur le modèle de la Chine, qui collecte l’ADN, les scans de l’iris, les échantillons de voix et de démarche, les empreintes digitales et les groupes sanguins de TOUS les citoyens, les suivant à l’aide de caméras de reconnaissance faciale, de sécurité et de vidéosurveillance, d’applications de surveillance/contrôle sur les smartphones et de technologie de reconnaissance vocale. C’est à dire tout le panel carcéral numérique de surveillance et d’aliénation des masses, inventé par la CIA, développé par les Chinois, exploités par les Israéliens et que nos gouvernants a la solde du Deep state US tentent de nous imposer.
Cette manipulation grossière de la vérité, et donc de l’Histoire avec un grand H, est actuellement visible par tous, et en Europe plus qu’ailleurs. A l’exception bien sûr de ceux qui, terrorisés par ce que la réalité révèle, refusent obstinément de la regarder en face, allant jusqu’à nier toutes les preuves factuelles, et/ou ceux qui ont tout intérêt à ne surtout pas la voir, ou la mettre en lumière, car ils en profitent largement. C’est ainsi que, depuis les ministres millionnaires et leurs « journalopes » soumises, jusqu’aux administrations ou associations lucratives sans but réels (mais dont l’existence même serait remise en cause si justement la pauvreté, le racisme ou la violence devaient disparaître), nous avons donc cette caste de malfaisants qui agit impunément au grand jour et sous couvert de vouloir nous protéger de ces turpitudes qu’ils créent au quotidien.
Le projet de loi SREN entend donc adapter le droit français aux nouveaux règlements débiles et liberticides européens, particulièrement le Digital Markets Act (DMA) et le Digital Services Act (DSA). Ce dernier, en vigueur depuis le mois d’août 2023, oblige déjà les réseaux sociaux à s’autocensurer. La même autorité est aussi dotée de nouveaux pouvoirs pour « lutter contre la désinformation ». C’est à dire la propagande qu’ils (les élites autoproclamées) n’ont pas validée ou inventée, mais qui se trouve être contestée systématiquement par quiconque a un cerveau... Car les mondialo-assassins n’aiment vraiment pas la vérité. Ils doivent donc se cacher derrière des paravents de « moraline » afin de pérenniser leurs méfaits. D’où la nécessité de reconstituer le cheptel « d’opposants », mais contrôlables grâce au traçage numérique et ainsi justifier des budgets iniques afin de lutter « contre » ces mêmes opposants tout à fait contrôlables. C’est ainsi que le racisme est apparu en France en même temps qu’ SOS Racisme, ou l’antisémitisme avec l’apparition de la LDJ, ou encore la pauvreté extrême avec les Restos du Cœur, etc. Si SOS Baleine veut sauver des baleines, il en de même pour les autres… CQFD.
C’est la raison pour laquelle des lois (ou plutôt des règles mafieuses), destinées à protéger les truands mondialistes en place, controversées et considérées comme attentatoires à la liberté individuelle, sont votées en masse et en catimini par cette caste de fripouilles néfastes à tous. Elles permettent notamment de censurer immédiatement un site internet qui leur déplait, sans avoir à recourir à la justice. Justice qui n’existait déjà plus depuis longtemps en France.
Avec le projet de loi SREN, les FAI (fournisseurs d’accès internet) ne seront pas les seuls à être sollicités pour censurer des sites web. Cette mesure qui vise à bloquer des sites web directement dans le navigateur serait un désastre pour un Internet libre et serait disproportionnée par rapport aux objectifs du projet de loi, à savoir la lutte contre la fraude. Mais cette mesure fournira également aux gouvernements autoritaires un moyen de minimiser l’efficacité des outils qui peuvent être utilisés pour contourner la censure. En somme, une tyrannie numérique est née sous nos yeux. Un fichage en règle de tout et de tous, recommence comme dans les pires moments de l’histoire... Il s’agit d’un plan global, orchestré depuis Davos et le WEF, pour s’approprier toutes les ressources de la planète, qu’elles soient vivantes ou non. L’oligarchie mondialiste qui l’a conçu se sert de « l’Etat », qu’elle a corrompu et colonisé depuis longtemps, comme d’un cheval de Troie pour annihiler toute résistance individuelle et collective à sa volonté pathologique de domination.
L’ancien vice-président de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, explique d’ailleurs pourquoi l’identification numérique et les CBDC doivent être rejetées à tout prix : « Ils prévoient de prendre le contrôle tyrannique numérique de tout le monde, puis de tuer la plupart des gens... Si je me trompe et que vous me suivez, on se moquera de vous. Si vous croyez au récit du gouvernement et que j’ai raison, Vous perdrez votre liberté et probablement votre vie. »
Tout ceci est très inquiétant, au regard de la mise à mal de l’anonymat en ligne, de l’atteinte à la liberté d’expression et de la négation du droit à la vie privée qu’ils instaurent, car « réguler l’accès au porno pour les jeunes », n’est qu’un prétexte de plus pour mettre fin à l’anonymat et contrôler toujours plus les peuples. Et il suffit de voir comment tous ces dégénérés sont en train de donner des cours de masturbation et de sodomie aux enfants de moins de 8 ans dans toutes les écoles de France, pour s’en convaincre. Ils se foutent de l’enfance, ce qu’ils veulent c’est pouvoir nous ficher pour nous surveiller. Et nous surveiller pour nous empêcher de nuire à leur plan génocidaire.
Je n’ai rien à ajouter de plus à cette déclaration, sinon que « Ce n’est pas parce que c’est difficile que vous avez peur, mais bien parce que vous avez peur que c’est difficile ». Et de vous inciter à résister, bec et ongles, à cette mafia sanguinaire par tous les moyens possibles, légaux ou non, pacifistes ou non...
Il en va de votre liberté, de votre vie, mais surtout de celle de vos enfants...
Donc de notre futur à tous !
Annie Chogars