Selon Alain Damasio, auteur français de science-fiction, le Smartphone a dépassé ses fonctions initiales pour devenir un outil totalitaire. Il permet non seulement aux géants du numérique (GAFAM) de collecter et d’analyser des quantités énormes de données sur les utilisateurs, créant ainsi un champ de vision sans précédent pour la surveillance de masse. Mais surtout ils ont envahi tous les aspects de la vie moderne, faisant de leurs utilisateurs de vrais serfs technologiques, enchainés à la folie 2.0, mais dévoués corps et âme à cette bête numérique immonde.

Le danger évident et visible réside dans la perte de capacités cognitives pour s’exprimer et argumenter des idées différentes dès lors que l’on utilise cette forme d’expression. Les égyptiens avaient déjà vécu cette chute de l’esprit en favorisant les dessins et hiéroglyphes pour communiquer son savoir à la population. Et ce, juste avant le déclin de leur empire ! C’est ce qui va arriver à cette France devenue FrOnce, comme le dit si bien Nicolas Bonnal.

À l’instar du fameux « émoji » au visage jaune et rond, doté d’une paire d’yeux et d’un large sourire, nommé « smiley », et né dans les années 60, dont les variantes sont dorénavant exponentielles, est le symbole le plus « parlant » de la décadence littéraire française. En un seul dessin, des millions d’abrutis ce sont reconnus ! De fait, communiquer avec des « émoti-connes » démontre le manque de capacité, de culture, et d’intelligence de ses utilisateurs acharnés, quel que soit le genre…

A la différence des émojis, les émoticônes sont, quant à elles, des assemblages de ponctuation destinés à représenter une expression faciale, comme par exemple un sourire «  :) », un visage tirant la langue «  :-P » ou encore, au Japon, avec les émoticônes horizontaux, un air amusé « ^_^ » ou surpris « 0.0 » qu’utilisent tous les « émoti-connes » de la planète pour communiquer ! Mais les mots ne sont pas remplaçables par de grossiers visages ronds et caricaturaux, aux traits et sourires forcés.
Ces applications de réseau social et ces systèmes d’exploitation de Smartphones collectent et analysent les données des utilisateurs, créant un champ de vision et d’exploration sans précédent pour la surveillance de masse. Car elles ne sont plus réservées aux États totalitaires de fiction. Elles sont devenues une réalité dans de nombreux pays qui se disent démocratiques, où les gouvernements et les entreprises utilisent les technologies de surveillance pour collecter et analyser les données des citoyens comme de leurs employés.

C’est du fascisme 2.0, doublé d’une volonté malfaisante. Et les exemples sont nombreux :

• La Belgique a proposé un texte visant à scanner toutes les images envoyées par Signal ou Whats-App pour soit disant lutter contre la diffusion de contenus pédopornographiques. Mensonge éhonté dont aucun ne rougit dans ce pays si protecteur avec les pédocriminels.
• Les drones de surveillance ont été déployés en France par le gouvernement Macron pour surveiller les populations qui respiraient sur la plage ou à la montagne (mais en marchant !) pendant la fausse pandémie de Covid, alors que les élus se retrouvaient dans des boites à Partouzes, seuls établissements ouverts à ce moment là !
• Pour le JO de 2024, c’est une véritable débauche ultra militarisée de systèmes de contrôles numériques qui sont déployés, dans un pays endetté jusqu’au cou, afin de soumettre les populations aux contrôles incessants par leur milice corrompue que l’on nomme pourtant toujours « Police ». Usant et abusant des caméras de surveillance, des drones et des « Idiots-codes » pour toujours plus sanctionner, humilier et soumettre la population à cette mafia issue du Forum Économique Mondial.

Le QR code, initialement conçu pour faciliter l’accès à des informations et des services, a évolué pour devenir un outil omniprésent dans nos vies quotidiennes. Cependant, cette ubiquité peut et va avoir des conséquences extrêmement négatives sur nos libertés, allant jusqu’à dorénavant prohiber l’entrée de certains citoyens dans des lieux publics, s’ils ne remplissent pas les critères exigés. En effet, ils sont souvent utilisés pour authentifier et identifier les individus, ce qui peut entraîner une surveillance accrue et un contrôle plus étroit de nos mouvements et de nos activités. Et finalement seuls les idiots se soumettent volontairement à cette dictature numérique violente et impitoyable. On peut donc facilement les nommer les « Idiots-codes », ceux qui utilisent au quotidien ces menottes numériques, et qu’ils soient flics ou badauds.

Hier, ils voulaient plus de sexualité et de libertés (anticléricales). De nos jours, ils ne savent plus si ils sont homme, femme ou grille pain. Demain, ils seront « augmentés », pucés, transhumanisés pour mieux servir leurs bourreaux oligarques. Et les exemples sont de plus en plus nombreux. En passant par les « laissez-passer électroniques » pour les événements sportifs ou culturels, ou encore les systèmes de gestion des flux de personnes dans les lieux publics, sans parler des applications de suivi sanitaire et sensibles, telles que les habitudes de consommation, les mouvements géographiques, les préférences politiques ou religieuses...
Cette collecte de données peut être utilisée pour influencer nos choix et nos comportements. Tous ces systèmes peuvent être utilisés pour collecter et analyser nos données personnelles, nous menant directement à la perte de liberté individuelle grâce au « Pass Carbone » à venir, justifié par l’arnaque du Changement climatique créé artificiellement (comme le pseudo COVID) par les chemtrails de Bill Gates et ScoPex.

Le Smartphone a donc très largement dépassé ses fonctions initiales pour devenir un outil totalitaire de premier ordre permettant la surveillance de masse à grande échelle. La dépendance à la technologie et aux iodiots-codes peut également avoir des conséquences négatives sur notre civilisation toute entière. Si nous sommes incapables de fonctionner sans ces outils, nous sommes vulnérables à la perte de nos données et de nos moyens de communication si les systèmes technologiques échouent ou sont compromis, comme avec le cas récent de Windows et de Crowdstrike. Ou encore précédemment avec le vol des données de France Travail ou de la CPAM… Et si c’était les codes nucléaires qui étaient ainsi volés ?

La perte des libertés liée à l’idiot-code est donc un risque réel qui émerge de l’adoption massive de cette technologie. Il est essentiel de rester vigilant et de promouvoir des pratiques de confidentialité et de sécurité pour protéger nos données et nos libertés individuelles. Il est également important de débattre et de réglementer l’utilisation des idiots-codes, comme du Smartphone, pour éviter cette surveillance excessive et un contrôle systématique des mouvements et des activités des citoyens.

Ainsi, « l’idiotisation » générale de notre civilisation se traduit notamment par une numérisation fondée sur les données et sur une gouvernance algorithmique. Depuis le début de la fausse crise sanitaire mondiale du WEF, le contrôle de la circulation des personnes à travers des dispositifs numériques, la surveillance et la répression ont été constitués et renforcés par l’usage de l’idiot-code, en tant qu’outil de gouvernance numérique largement adopté par un nombre croissant de dirigeants corrompus dans divers pays tels que la France.
Il est donc essentiel de rester vigilant et de défendre nos libertés individuelles face à ces technologies puissantes en adoptant des réflexes simples mais salvateurs, comme de limiter ses interactions numériques en payant en espèces, en écrivant des lettres manuscrites à ses proches, en éteignant la télévision comme son Smartphone, puisque ces écrans nous abrutissent et nous enchainent à leurs émissions et leurs programmes… Émissions, programmes, chaines ! Relisez ces trois derniers mots une fois encore pour bien comprendre de quoi il s’agit et comment ils jouent avec votre cerveau et votre esprit.

En résumé, la conception et l’usage du « pass sanitaire » ont favorisés l’émergence du contrôle technologique à outrance et la gouvernance numérique en France. De plus, bien que l’usage technique de l’idiot- code soit différent dans la forme, il est identique dans le fond car il construit une surveillance totalitaire du grand public à travers un dispositif numérique carcéral en France, comme en Chine. Enfin, elle renforce une potentielle classification des individus reposant sur la collecte des données personnelles.

Gardons à l’esprit que : Le Smartphone est la clé de l’Enfer numérique tant promis par les Young Leaders. Et si vous l’abandonniez demain, rien de tout ceci ne serait possible ! Pensez-y… L’utilisation de plus en plus massive de dessins pour communiquer prouve la déchéance de l’intelligence et de l’art de s’exprimer (car les mots utilisés signifient les maux que nous avons !) entrainant de fait la chute de la civilisation. Si l’on ne sait pas communiquer, on ne peut progresser… Souvenez-vous de la Tour de Babel ! La perte totale de nos libertés est un danger évident et le but ultime des oligarques sanguinaires de Davos.
Elle est liée à l’adoption massive du Smartphone par les nouvelles générations dégénérées ayant perdues tout esprit de liberté, de critique et de bon sens. L’illusion numérique a hypnotisé les esprits faibles, et ça en fait du monde !
Ainsi, le XXI^e siècle, s’il est numérique, propulsera notre civilisation droit dans l’abîme et nous rayera rapidement de l’histoire du monde. Nous ne serons qu’une civilisation perdue de plus dans l’histoire du monde, qui disparaitra sans heurts ni traces, mais par abus d’utilisation massive des Idiots-codes par tous ces Émoti-connes à l’esprit si étroit, qui peuplent notre pays sans jamais rien lui apporter !

Annie Chougars

Les Jeux Olympiques de Tokyo en 1964 inaugurent ainsi une signalétique imagée qui permet au monde entier de retrouver son chemin en fonction des épreuves.