En premier lieu avec un parc nucléaire important la France se lance dans un projet qui ne sera pas couvert par les ressources énergétiques et les investissements seront étrangers. L’énergie qui est au cœur même de l’économie aura de la peine à donner sa pleine mesure puisque l’économie représente de l’énergie transformée.
Le plan de réindustrialisation ne concerne pas le secteur secondaire qui transforme mais dans le tertiaire avec les services et surtout le futur remplacement des fonctionnaires de l’administration publique.
A près avoir voulu un système industriel en France sans usine, nos politiciens vont pousser le projet d’avoir une administration et une société de services sans salariés.
Si cette volonté de grand remplacement des salariés n’est pas franchement affichée, elle se dessine tout doucement avec le problème du financement que la France n’a plus avec une dette incontrôlable et une soumission totale auprès de ses débiteurs.
La question qui s’impose est de savoir comment Macron va augmenter le parc électrique avec l’éolien et les panneaux photovoltaïques ?
L’opération est en cours avec des pourparlers avec les communes rurales pour proposer aux agriculteurs d’arrondir leur fins de mois en installant des panneaux sur leurs terres. Pour cela des équipes de commerciaux œuvrent dans notre ruralité avec des personnes qui devant les conseils municipaux valorisent l’implantation de ces panneaux sans en donner les inconvénients. Ne parlons pas des tactiques de corruption qui sévissent avec les futures élections municipales et le ciblage des futurs nouveaux élus qui reçoivent des pots de vin pour ces installations.
Ces sociétés de « l’électricité verte » disposent de moyens très importants et misent sur le constat que l’électricité coute très cher aux agriculteurs et représentent en moyenne 10% à 30% des charges d’une exploitation.
Le secteur agricole est l’un des plus favorisés par le gouvernement français par le biais d’aides fiscales, subventions régionales, primes etc…
Mais les installations directement posées au sol, comme les “centrales solaires” ou “fermes solaires” du secteur agro photovoltaïque, ne sont pas éligibles à la prime à l’autoconsommation.
Ce système économique n’est à ce jour absolument pas rentable ni pour les agriculteurs ni pour l’Etat en raison des subventions locales, communales ou régionales accordées aux exploitants agricoles.
- Le bilan carbone démontre que ces énergies éoliennes et photovoltaïque ne correspondent pas aux accords de Paris :
Electricité hydraulique : 6g de CO2 par kwh produit
Electricité éolienne : 15g de CO2 par kwh produit
Electricité photovoltaïque : 44g de CO2 par kwh produit
Face à cette bulle spéculative qui enrichit notre voisin allemand et nos amis chinois, nos amis écologistes ne disent rien sur cette pollution environnementale de nos prairies et strictement rien sur les effets sur les élevages.
Pour clore le débat de cette chimère, rappelons que le risque incendie induit par l’exploitation des centrales photovoltaïques est un problème que l’Etat ne veut pas faire connaître, cela pourrait donner des certitudes à nos agriculteurs pour refuser l’installation de ces « verrues » qui défigurent notre belle campagne.
PARIS, 9 février (Reuters) - La France annoncera des investissements du secteur privé d’un montant total de quelque 109 milliards d’euros (112,5 milliards de dollars) dans son secteur de l’intelligence artificielle lors du sommet de Paris sur l’IA qui s’ouvre lundi, a déclaré le président Emmanuel Macron.
Le financement comprend les projets de la société d’investissement canadienne Brookfield d’investir 20 milliards d’euros dans des projets d’IA en France et le financement des Émirats arabes unis qui pourrait atteindre 50 milliards d’euros dans les années à venir, a déclaré le bureau de M. Macron.
Le palais de l’Élysée a déclaré que l’investissement des Émirats arabes unis comprendrait le financement d’un centre de données d’un gigawatt. Le journal La Tribune de Dimanche a rapporté que la majeure partie de l’investissement de Brookfield serait consacrée à un centre de données.
L’IA nécessite d’énormes quantités d’énergie pour alimenter les centres de données massifs, et l’Europe semble avoir du mal à répondre à la demande future.
En 2022, les centres de données, les cryptomonnaies et l’intelligence artificielle ont représenté presque 2 % de la consommation électrique mondiale. L’IA nécessitent beaucoup de ressources de calcul et sont donc très consommatrices en électricité.












