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L’ingérence de la CIA et de Soros dans les émeutes en France

lundi 3 juillet 2023

Le spectacle du défilé de la maman de Nahel pose question sur la souffrance et le respect du deuil.
Jamais nous n’avons vu une telle mise en scène, semblablement organisée par le Comité pour Adama Traoré.
Que faisait cette famille aux cotés de la maman de Nahel ?

La réponse en Une du magazine Time :
Comment Assa Traoré est devenue le visage du mouvement français pour la justice raciale, une figure de proue comme le fut la manipulation George Floyd.

En mai (2020), la vidéo de la mort de George Floyd, plaqué au sol par la police en disant « Je ne peux pas respirer », a été regardée par des millions de personnes dans le monde entier, horrifiées et révoltées. Assa Traoré, nommée parmi les gardiens de l’année 2020 par TIME, n’a pas pu se résoudre à se joindre à eux. Son jeune frère Adama est également mort en garde à vue, en 2016, en prononçant, semble-t-il, les mêmes paroles.

« L’Etat a un permis de tuer dans les quartiers » : après le décès de Naël, Assa Traoré ressort du bois.
On l’avait perdue de vue depuis quelques mois, l’activiste indigéniste Assa Traoré tente de revenir sous les feux de la rampe après la mort de Naël à Nanterre.
Valeurs Actuelles

Même la présence du Comité Adama a été repérée lors des manifestations des gilets jaunes en 2018 :
« Mais le symbole le plus récent de la greffe s’affiche sur l’Arc de triomphe le 1er décembre 2018, lors de la manifestation des gilets jaunes, au cours de laquelle une main non identifiée a tagué : »Justice pour Adama.« Le comité a pris en marche le train des contestataires, en lançant un cortège depuis la gare Saint-Lazare ce jour-là puis en participant à plusieurs rassemblements à Rungis. La préoccupation commune de la mobilité a servi de connexion : Beaumont se situe en effet en bout de ligne de RER. »Au départ, certains trouvaient leur présence un peu bizarre, raconte Laure, militante à SUD Rail. Ils se demandaient ce qu’ils faisaient là, y compris chez les cheminots. Mais avec les violences policières qui sont arrivées très vite, les problématiques ont été comprises."
L’Express

Mélenchon à la manœuvre :
"« Je sors de chez la maman de Nahel. Je lui ai promis qu’on crierait tous “pas de justice, pas de paix” », s’exclame, la voix écorchée, la représentante du collectif Rejoignons-nous, Mornia Labssi. Mercredi 28 juin à 19 heures, des centaines de personnes, réunies place de la République pour la mobilisation contre la dissolution des Soulèvements de la Terre (SLT), chantent la formule à l’unisson. Mornia Labssi filme, émue, puis promet qu’elle enverra la vidéo à la mère du jeune adolescent de 17 ans tué par un tir policier lors d’un contrôle routier mardi matin.

L’objectif de la mobilisation est multiple : initialement, il était prévu de s’opposer à la dissolution des SLT, prononcée le 21 juin par le ministre de l’Intérieur, et de protester contre les gardes à vues « abusives » de militants et syndicats écologistes. Mais, depuis mardi, il est aussi question de dénoncer la mort de Nahel.
Mornia Labssi est militante de la cgt-tefp au Ministère du travail et membre de LFI.

L’Open Society Foundation a commencé à travailler en France au début des années 2000, avec la communauté musulmane, pour contribuer positivement aux politiques d’intégration européenne.
L’Open Society a soutenu à la fois des groupes de défense des droits de l’homme, tels que la Ligue des Droits de l’Homme (LDH) et l’Observatoire International des Prisons et L’Accélérateur de la Mobilisation.
L’Open Society soutient les défenseurs de la communauté rom de France, ainsi que ceux qui luttent contre la violence et la haine à l’encontre des communautés minoritaires.
https://www.opensocietyfoundations....

Le comité Traoré est également financé par l’Open Society de George Soros, via l’European Network Against Racism (ENAR).

Communiqué LDH
Paris, le 12 juin 2020
La LDH se joint à l’appel du Comité Adama contre les violences policières et obtenir justice pour Adama.
Nouvelle mobilisation ce samedi 13 juin, à Paris, avec manifestation au départ de la place de la République en direction d’Opéra.

La Ligue des droits de l’Homme (LDH) se joindra aux rassemblements dans toutes les villes de France pour exiger vérité et justice pour Adama et toutes les victimes de la police ou de la gendarmerie.

Parce que les dérives des forces de l’ordre, qu’elles prennent la forme d’abus au quotidien ou de la répression des mouvements sociaux, doivent cesser et que les victimes et leurs familles doivent obtenir vérité et justice, nous appelons chacune et chacun à être présent ce samedi.

Au lieu d’apaiser les émeutes, le Comité Adama jette de l’huile sur le feu pour pousser à la révolte.
L’ombre de Soros plane sur la France pour activer l’Etat d’Urgence et imposer des mesures restrictives, et aussi pour dire à la France que l’Ukraine manque de finance que Macron peine à fournir.

Assa Traoré sur Nahel : “Un pays sans justice est un pays qui appelle à la révolte”

par Amélie Quentel
Mardi 28 juin, Nahel, 17 ans, a été tué par un policier lors d’un contrôle routier à Nanterre (Hauts-de-Seine). Figure de la lutte contre les violences policières et membre du comité Vérité pour Adama, Assa Traoré revient pour les “Inrockuptibles” sur ce “drame sans nom” tout en appelant les Français·es à se mobiliser.

Nahel, 17 ans, est mort hier abattu à bout portant par un policier à Nanterre. Quelle est votre réaction ?

Assa Traoré – Ma réaction est la même que celle de tous les Français qui ont pu voir cette vidéo d’une extrême violence : je suis choquée mais, en même temps, il faut tout de suite se ressaisir. Ce qui se passe est vraiment très grave, cela ne peut pas continuer comme ça, il faut se mobiliser. Avec cette vidéo, on a vu ce qu’on ne voit pas d’habitude : on a vu ce qu’on n’a pas vu, fautes d’images, pour Olivio Gomes, tué par balles en 2020 par un membre de la BAC. On a vu ce qu’on n’a pas vu pour Gaye Camara, tué par la police en 2018 d’une balle dans la tête. On a vu ce qu’on n’a pas vu pour tant d’autres victimes.

Affaire Adama Traoré : comment George Soros influence le mouvement

Source : lecourrierdesstrateges.fr
(https://lecourrierdesstrateges.fr/2... la page n’existe plus)

George Soros aide-t-il en sous-main le collectif pour Adama Traoré, ce fameux « Comité pour Adama » dont personne ne connaît les contours exacts, à s’organiser pour déstabiliser les institutions françaises ? La question est sur toutes les lèvres et mérite d’être posée, tant les points de jonction entre la sorosphère et ce mouvement racialiste sont nombreux.

L’agitation autour du prétendu racisme de la police et autour de la mort d’Adama Traoré en 2016 bénéficie-t-elle du soutien discret de George Soros, l’ami du multiculturalisme ? Cette conviction s’est largement répandue ces derniers jours, due en partie aux soupçons sérieux qui pèsent sur les interactions entre George Soros et le mouvement américain Black Lives Matter, même si l’ampleur de ces liens est contestée par des sources prêtes à nier beaucoup d’évidences. L’Open Society de George Soros intervient-elle dans le champ français ?

Voici les premiers éléments de réponse que nous avons pu glâner.

L’étrange opacité de « la vérité pour Adama »

L’analyse des liens entre la sorosphère et l’adamasphère est assez compliquée dans la mesure où les deux sphères fonctionnent de façon très opaque.

Dans le cas de « vérité pour Adama », il n’existe aucune structure juridique susceptible d’être décortiquée au calme. Tout se passe de façon informelle sur Facebook, sur une page contrôlée par des webmasters anonymes. Il n’existe pas non plus de site internet de référence avec un directeur de la publication qui donnerait un visage à cette mouvance qui fonctionne uniquement par impulsions ponctuelles et mobilisations opportunistes.

En soi, cette opacité pose question, car on se demande si ces impulsions sont parfois aidées. Et le contraire serait surprenant pour des gens qui parviennent à faire signer des tribunes par des Omar Sy, des Arthur H ou des Patrick Bruel…

On remarquera par exemple que, le 4 avril 2019, l’université Columbia avait prêté ses locaux parisiens à la famille Traoré [1] pour une soirée de mobilisation à laquelle participaient Olivier Besancenot et Camélia Jordana.

Pour des gens qui n’ont qu’une page Facebook en vitrine, cela fait beaucoup quand même…

Il serait quand même intéressant que la famille Traoré s’explique un peu plus sur la nature des soutiens dont elle bénéficie.

La sorosphère est tout aussi opaque…

De son côté, la Fondation de George Soros, l’Open Society, n’en dit pas beaucoup plus sur ses activités en Europe. On en déduit donc que le mot « open » dans le nom de la fondation ne s’applique pas à la gouvernance de celle-ci, mais plutôt à la gouvernance des démocraties qu’elle cherche à déstabiliser. On notera qu’une page du site de la Fondation donne quelques idées des interventions pratiquées par celles-ci [2]. On y découvre que Soros finance l’Accélérateur de la Mobilisation (structure elle-même très opaque, qui prétend aider à des mobilisations citoyennes…), la Ligue des Droits de l’Homme et l’Observatoire International des Prisons. La Fondation avoue par ailleurs avoir aidé des mouvements islamistes dans les années 2000 sur le territoire français…

On ajoutera que la Fondation annonce avoir financé une étude du CNRS sur les contrôles au faciès dans les transports parisiens. Si ces aveux sont déjà copieux, on reste un peu sur sa faim…

La clé se trouve dans l’ENAR

En réalité, pour mieux comprendre le lien affinitaire, et peut-être financier, entre la sorosphère et l’adamasphère, il faut lire l’excellent article d’Oriane Calligaro paru dans la revue Politix en 2018 (n°121) [3], qui décrit très bien comment l’Open Society de George Soros a beaucoup aidé à la structuration de l’European Network Against Racism (ENAR) qui coordonne de nombreux mouvements présents sur la scène « racialiste » en France.

Parmi les membres français de ce réseau européen, on trouve entre autres le Conseil Contre l’Islamophobie en France (CCIF) et le Conseil Représentatif des Associations Noires (CRAN), qui ne manquent pas une occasion d’expliquer que les Français sont des grands méchants. Mais le réseau revendique le soutien à des actions menées par des membres tout aussi intéressants. En particulier, le nom de Rokhaya Diallo y revient souvent.

Dans les membres du Réseau, on trouve aussi les Collectifs Justice et Liberté qui ne cachent par leur participation à la mobilisation en faveur de la famille Traoré.

Un rôle central pour la Ligue des Droits de l’Homme ?

Dans cet ensemble, toutes les recherches et tous les examens finissent par retomber sur la Ligue des Droits de l’Homme, dont on sait désormais qu’elle est financée par Soros, selon les aveux de l’Open Society elle-même.

De fait, la Ligue se mobilise énormément pour porter un message proche du Black Lives Matter et pour mobiliser les foules (qui tardent à venir) contre les violences policières. Il suffit de parcourir le site de l’association pour comprendre que le combat en cours est le sien.

Assez curieusement, la LDH publie un communiqué ces jours-ci contre la calomnie dont se rendrait coupable à son égard le syndicat Synergie. Ce communiqué est co-signé par le « Comité Adama », dont tout le monde parle, mais que personne n’a jamais vu en chair et en os. Sauf erreur de notre part, bien entendu, que nous reconnaîtrons bien volontiers. Mais redisons-le, le site internet, les statuts de ce comité sont pour le moins difficilement trouvables aujourd’hui.

Pour des gens qui se battent pour la transparence dans la police (sujet qui remporte toute notre sympathie), le moins que l’on puisse dire est que cette opacité fait tache.

Dans tous les cas, la Ligue des Droits de l’Homme semble aujourd’hui le noyau dur d’une mobilisation insaisissable, et dont certains sympathisants avancent des positions antisionistes qui feront tôt ou tard débat.

Une mobilisation liquide et virale

S’il est impossible aujourd’hui d’affirmer en toute certitude que George Soros finance et manipule la mobilisation en faveur d’Adama Traore, il est incontestable que les éléments les plus actifs de cette mobilisation ont reçu le soutien financier direct ou indirect de l’Open Society Foundation. Même si le caractère « liquide », horizontal et viral, de la mobilisation en faveur d’Adama Traoré, contribue à brouiller les pistes, le soutien financier direct de Soros à la Ligue des Droits de l’Homme, élément moteur de la mobilisation, ne fait aucun doute.

Ces interventions étrangères directes dans la vie politique française posent évidemment la question de la stratégie poursuivie par George Soros dans la déstabilisation des démocraties occidentales, et dans la construction méticuleuse d’une guerre raciale sur notre sol.

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