Bilderberg est une émanation du Council of Foreign Relations, créé par l’organisme de contrôle politique des Rothschild La Table Ronde.
Bilderberg a pris le relais du CFR qui s’est fait attrapé la main dans le sac pour des affaires politiques et des ingérences étrangères. Un aspect important de cet organisme concerne Jeffrey Epstein qui était membre du CFR. Après son arrestation en 2019, le CFR a redistribué aux associations de protection de l’enfance les dons qu’ils avaient reçus d’Epstein. Le CFR utilisait le trafic des enfants pour contrôler des politiciens corrompus de la planète.
KKR représente 252 milliards de dollars d’actifs sous gestion et 20 bureaux à travers le monde. Ils ont entre autre, tué la société Pages Jaunes aidés par la banque Goldman Sachs sous le mandat de Sarkozy.
Maintenant ils convoitent Orange par l’intermédiaire de Xavier Niel. Le pivot qui unit KKR Niel et Macron c’est la digitalisation de l’économie et de l’administration française sous les hospices du cabinet McKinsey. Tout se tient à travers ce prisme de corruption et de trahison.
Macron a créeé le chaos avec la dissolution, pour qui et pourquoi ?
Invité du club Bilderberg en 2014, en tant que secrétaire de l’Elysée, Macron avait détruit la politique de François Hollande. Chaque réunion de ce club annonce la trahison d’un proche du président. Cette année, c’est Edouard Philippe qui a préféré aller au Bilderberg plutôt que d’assister à la conférence du groupe renaissance de Valérie Hayet pour les européennes. Et comme Macron l’a fait en 2014, Edouard Philippe a trahi le président.
Bilderberg n’est ni de droite, ni de gauche, c’est un forum dédié aux puissants de la planète.
Depuis l’annonce de la dissolution, Edouard Philippe a revu ses plans qui ont été chamboulés par Macron dès sa défaite aux européennes. Le parti Horizon d’Edouard Philippe comptait 31 députés, et dans le cadre d’une non réélection, ce sera un coup dur pour Edouard Philippe et un coup de génie pour Macron.
Le patron du parti Horizon a dû réagir dans la précipitation et confirmer sa rupture avec Emmanuel Macron : « Le président de la République a tué la majorité ». Edouard Philippe dit comprendre la colère des Français vis-à-vis du président après la dissolution de l’assemblée nationale.
“J’ai travaillé avec peu d’hommes politiques, j’ai travaillé avec Alain Juppé, avec Antoine Rufenacht, mon prédécesseur à la mairie du Havre qui m’a beaucoup appris. Ni l’un ni l’autre n’auraient jamais mis sur le compte du comportement d’un collaborateur quelque chose qui venait de leur maison”,
« Pour moi, il n’y a pas de collaborateurs, il y a un patron », « Et c’est lui qui est responsable de ce qui sort de sa maison ».
Sur ces belles paroles Edouard Philippe devra faire du Macron sans Macron puisqu’il faut dégager une nouvelle majorité pour être élu et cela passe par le centre et la résurrection des députés détruits par Emmanuel Macron.
La rumeur dit que Macron démissionnera après les législatives pour se représenter en 2027, mais s’il n’a pas encore compris, c’est Edouard Philippe qui va bénéficier de sa stratégie pour sa future élection.
Blanc bonnet ou bonnet blanc, ceux qui décident de l’élection présidentielle en France sont toujours ceux qui imposent la trahison des proches pour conserver leur pouvoir.
Edouard Phlippe a été motivé à se présenter à ces législatives par des proches. Il se refuse de revenir dans l’hémicycle avant la campagne de 2027. Un confident d’Edouard Philippe a confirmé son refus “ça l’emmerdait éperdument d’être député, il n’aime pas cette mêlée-là, elle l’empêche de penser”.
Les rivaux potentiels d’Edouard Philippe sont Gérald Darmanin et Gabriel Attal. Un proche d’Attal raconte comment il va gérer l’après des législatives : « Il n’a plus qu’une chose en tête : le jour d’après. Il est prêt à lancer un mouvement politique au lendemain du second tour ».
« C’est le seul mec qui, devant moi, a dit qu’il voulait devenir président de la République. Ce n’est pas simplement de l’égoïsme, ça va au-delà. Toute son activité est tournée vers la conquête du pouvoir. »
Édouard Philippe a révélé que Gabriel Attal n’était pas son premier choix pour le poste de Premier ministre. Même si Édouard Philippe a salué sa nomination, il a « plaidé pour le maintien d’Élisabeth Borne ». Il a été surpris de la composition de ce nouveau gouvernement pensant que la nomination d’Attal, était un signe de défiance de Macron.
« Pour ma part, j’avais plaidé pour le maintien de la première ministre au moins jusqu’aux échéances européennes en me fondant sur l’idée qu’il est difficile de changer de Premier ministre si vous ne changez ni de politique, ni de majorité ».
L’ascension éclair de Gabriel Attal est une promotion Bilderberg. La lutte Attal Philippe convergera vers une disparition de la macronie, et la grenade dégoupillée d’Emmanuel Macron est un acte de rébellion de la dernière chance.
Macron partage la même situation que le président Biden, le pouvoir n’en veut plus, en conséquence de quoi ils vont générer un tel chaos que personne ne sortira vainqueur de ce désordre.
Geopolintel Juillet 2024