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Qui a peur de la future intelligence d’Elon Musk ?

vendredi 14 février 2025

Le service public français tente de dépeindre l’intelligence artificielle d’Elon Musk comme une machine à propagande en vertu de la non censure des images générées qui permettent aux utilisateurs du réseau social X de faire des parodies sur les acteurs mondialistes corrompus et de proposer des réponses qui sont jugées complotistes.

La commission sénatoriale qui auditionne le futur directeur du FBI Kash Patel, a confirmé, par le Sénateur Kennedy, qu’il fallait plus de complotisme dans le débat parlementaire, puisque toutes les prédictions qui avaient été émises par les supporters de Trump, s’étaient révélées vraies.

Les auditeurs du service public de Radio France sont constamment abreuvés de désinformation au sujet de l’IA de Musk, au point que même ceux qui ont salué la victoire de Trump doutent de la sincérité se ses intentions.

Mais le débat de l’IA ne se situe pas sur ce point là. Il faut remonter aux prédictions du mathématicien anglais Neil Ferguson de l’Imperial College, qui avait terrorisé les chefs d’état avec ses analyses prédictives sur le nombre de morts dans l’hypothèse où la France ne confinait pas sa population pour la préserver du virus SARS COV2.

Cette manière d’anticiper les évènements ne tient qu’à un algorithme qui dépend de données dîtes synthétiques, c’est à dire totalement artificielles et qui ne correspondent en rien à une collecte de données réelles.

L’IA Open Ai et ChatGPT ont cette problématique de rentrer des données synthétiques pour fausser les réponses apportées sur les sujets du réchauffement climatique, du LGBTisme et du Wokisme.
Quiconque utilise ces deux IA recevra des informations biaisées pour valider la politique de l’Agenda 2030 de l’ONU.

L’utilisation des données synthétiques est corrélé à ce que l’on appelle le « peack data ».

Elon Musk défend la théorie du « peak data » en assurant qu’il n’y a plus de données humaines pour entraîner l’IA : « Nous avons atteint la limite » .

L’IA générative se heurte à la pénurie de données d’entraînement pour générer un algorithme qui colle à la réalité. Les géants de la tech comme Google, Apple et Meta investissent massivement dans l’IA, mais disposent pas suffisamment de données pour nourrir ces systèmes gourmands en ressources aussi bien en data qu’en électricité. Ce concept utilisé pour la fin du pétrole semble cette fois ci réel pour les données avec un déclin de l’activité sur internet.

Cette tendance va dégrader la qualité de l’IA et même stopper les développements qui ont généré des sommes colossales et poussent les ingénieurs a créer à artificiellement des données de synthèses par des algorithmes d’IA, plutôt que des collectes du monde réel.

L’utilisation de données synthétiques permet de contourner les problèmes de confidentialité liés à l’utilisation de données personnelles, de réduire les coûts de collecte et de traitement des données, et d’augmenter le volume de données disponibles.

Une étude publiée dans la revue Nature

En mai 2023, la revue Nature a démontré les dangers des données synthétiques générées par IA. Cela peut entraîner un effondrement de l’IA avec une perte de diversité, une augmentation des biais et une dégradation des performances. Le résultat de cette utilisation entraînera des résultats erronés, discriminatoires et peu fiables et l’IA répliquera un monde totalement virtuel et qui ne correspond pas à la réalité comme le voulait les agences de propagandes payées par l’US AID pour valoriser la politique de l’Agenda 2030.

Même si l’Europe s’est dotée d’une législation sur l’IA, elle n’a pas pris en compte cette problématique qui peut devenir un instrument de désinformation comme on le reproche à Elon Musk qui lui joue dans le registre de la liberté d’expression.

Cette politique de l’IA ne doit pas devenir une chimère financière comme une vulgaire Start Up qui deviendra une licorne, valorisé à plusieurs milliards de dollars pour détourner encore une fois les investissements dont nous avons besoin dans la vraie vie.

Si Macron veut encore investir 105 milliards dans une telle opération, il faut se poser la question si ce n’est pas encore une fois une opération de blanchiment d’argent des contribuables qui va aller dans les poches des ingénieurs de la Silicon Valley et de la CIA.

Geopolintel 14 février 2025

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