Le 12 mars 2025, le gouvernement a lancé un nouveau plan national d’adaptation au changement climatique.
Les calculs de l’intelligence artificielle qui rédigent les discours de nos ministres, prévoient un réchauffement de la France de 4 degrés en 2100.
Le troisième plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC), prévoit des actions concrètes pour adapter notre pays aux impacts visibles et attendus du changement climatique. L’accent est mis sur la dimension territoriale et sur le financement des mesures.
Disons que ce plan vise uniquement le financement qui est un blanchiment d’argent au profit des banques qui ont organisé la création du premier fonds vert pour remplacer le pétrodollar auprès de la banque des Règlements Internationaux.
Le nouveau PNACC comporte 52 mesures concernant le changement climatique. Il se compose de plus de 200 actions pour les territoires, et plus spécifiquement pour le littoral, la montagne, les forêts, l’agriculture), et finalement tous les secteurs d’activité.
Tout ce qui était libre sera règlementé comme le demande Bruxelles et les lobbyistes financiers.
L’écologie consiste-t-elle à vacciner la population et à engendrer des catastrophes sanitaires ?
L’écologie doit se lire comme « économie-logie » où la place de l’homme est comparable à un problème.
C’est le peuple qui pollue, c’est le peuple qui fait perdre des bénéfices. Le but de la finance est d’éliminer tous les risques qui peuvent s’opposer à leur stratégie : les risques structurels. Le structurel c’est le réel, le concret, donc il faut créer un environnement qui n’existe pas pour pouvoir imposer une logique économique qu personne ne peut contester.
Et qui peut contester l’écologie ?
Les français y parviennent parfaitement avec une courbe des températures qui n’augmentent pas même si les médias tentent de nous faire croire que la météo c’est le climat.
Le climat est une moyenne de température sur une période de trente années et les résultats du GIEC n’ont pu confirmer les analyses de l’intelligence artificielle pour l’année 2100.
Ce n’est plus la boule de cristal qui gère les tendances du ministère d’Agnès Pannier‑Runacher, ce sont les algorithmes des banques qui établissent le ratio à apporter à leur politque de la finance qui est verte comme les billets en dollar.
“Peut‑être qu’un jour, le ministère portera ce nom : le ministère de l’Urgence écologique. Les choses seraient sans doute plus claires qu’avec le mot “transition”, dont il faut bien reconnaître que les Français ne savent pas trop où est quoi. ”
“Cette rentrée 2025 n’est pas une rentrée comme les autres, c’est une rentrée sous haute tension, c’est une rentrée de tous les périls, a‑t‑elle insisté. Mais le premier n’est pas celui auquel pensent les uns et les autres : c’est celui de notre défense climatique et écologique.”
Au vu de l’urgence et de la conviction de notre ministre, sa situation semble bien compromise et à juste titre, puisque aucune démonstration n’a été faite à ce jour concernant l’augmentation de 4 degrès du climat pour 2100.
On aurait pu dire que cette prédiction était écrite dans la bible ou la torah, mais comme aucun ministre ne croit en rien ni dans les politiques qui leur sont dictées, il doivent demander à un programme ce qu’ils doivent raconter comme bobards.
Pour mieux comprendre l’urgence de ces prédateurs financiers, il faut se pencher sur le financement, qui reste la partie la mieux étudiée pour nous voler encore une fois.
Financement du troisième plan national d’adaptation au changement climatique
Il se compose ainsi :
- Fonds Barnier : 300 millions d’euros en 2025 (soit +75 millions par rapport à 2024) ;
- Fonds vert : 260 millions d’euros de crédits consacrés à l’adaptation ;
- Agences de l’eau : 1 milliard d’euros de crédits orientés vers l’adaptation, dont 40 % vers des solutions fondées sur la nature ;
- 30 millions d’euros consacrés à la prévention du retrait-gonflement des sols argileux.
Plusieurs mesures ont évolué et cela concerne la rénovation d’été des logements, la mobilisation du secteur bancaire, la réserve citoyenne… Mais ce n’est pas tout, le gouvernement, avec les collectivités, devront donner une valeur juridique à la trajectoire de réchauffement de référence pour l’adaptation au changement climatique (TRACC) en la rendant opposable.
La finalité sera encore plus d’impôts volés.
Pour ellaborer cette stratégie, nous avions annoncé que la fraude climatique nous fait confondre climat et météo, et c’est météo France qui va s’occuper de nous distiller les petits mensonges du ministère de la transition écologique qui est en alerte.
DRIAS Les futurs du climat
Sur le site du DRIAS nous pouvons avoir un premier apperçu du montage médiatique de la fausse alerte climatique.
- Trois niveaux de réchauffement planétaire (Monde) sont pris en compte par la TRACC et illustrés ici : +1.5°C, +2°C et +3°C par rapport à l’ère pré-industrielle, correspondant à des valeurs moyennes de réchauffement pour la France métropolitaine (Fr-Met) respectivement de +2°C, +2.7°C et +4°C.
Le climat futur de la France pour chaque niveau de réchauffement est présenté à travers les évolutions de quelques indicateurs synthétiques, où les changements correspondent à des écarts pour les températures (°C) et des écarts relatifs pour les précipitations (%) par rapport à la période de référence 1976-2005.
Pour chaque indicateur, la carte issue de la médiane des 17 projections climatiques de l’ensemble « Explore2 - ADAMONT » sélectionnées (au centre) est encadrée par les cartes “minimum” (en bas) et “maximum” (en haut) indiquant en chaque point de grille la valeur la plus basse et la valeur la plus haute de l’ensemble des projections sélectionnées. Les valeurs minimales et maximales de chaque carte sont indiquées en dessous.
Qui dit projections climatiques, dit scénarios climatiques de Hollywood.
Scénarios et projections climatiques
Les cinq trajectoires socioéconomiques partagées du Giec
Le Giec a publié son premier rapport d’évaluation (AR – Assessment Report) en 1990. Le premier volume de son sixième rapport (AR6) est paru en 2021. Dans ces publications, le Giec présente l’état des connaissances scientifiques sur le changement climatique et communique des projections climatiques fondées notamment sur des hypothèses de concentration de GES.
Un ensemble de cinq scénarios socioéconomiques (SSP – Shared Socioeconomic Pathways) est utilisé dans l’AR6. Ces scénarios correspondent à des évolutions possibles vers différents modèles de société, qui se déclinent en plusieurs trajectoires d’émissions de GES :
le scénario SSP1 correspond à une évolution vers le développement durable ;
le scénario SSP2 envisage une continuité des trajectoires socioéconomiques et technologiques actuelles ;
dans le scénario SSP3, les politiques se concentrent sur les questions de sécurité nationale et régionale ;
le scénario SSP4 correspond à une exacerbation des inégalités mondiales ;
enfin, le scénario SSP5 illustre un développement fondé sur les énergies fossiles.
Ce qu’il faut retenir, c’est que le discours de l’alerte climatique est basé sur du vent. Et le vent est une énergie renouvelable pour distiller des bobards climatiques.
Si le ministère est en panique c’est que plus personne n’y croit et c’est justice devant ce braquage à l’arme verte.
Jean de La Fontaine aurait pu écrire une fable sur notre ministre avec pour titre : L’idiote et le climat












